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Les avis formulés par des responsables des Nations unies et les analyses effectuées par le Haut commissariat au Plan (HCP) aussi bien par le biais de la méthode de projection préconisée par le Pnud que par des modèles macroéconomiques confirment cette conclusion, a indiqué M. Lahlimi lors d'un atelier consacré à la présentation du rapport national sur les OMD pour 2009.
Grâce à la vigilante volonté Royale, le Maroc a pu résorber les déficits enregistrés au terme des années 90 dans les domaines de la croissance et du développement humain, a-t-il ajouté, mettant l'accent en particulier sur les réalisations accomplies en matière d'infrastructures économique, social et urbaine qui ont contribué à délocaliser l'économie nationale et à mieux répartir l'emploi, les revenus et les opportunités d'accès de la population aux services sociaux de base.
En terme quantitatif, le déficit que le Maroc avait dans domaine de l'enseignement par exemple est en cours de résorption, permettant de réaliser les objectifs fixés par la communauté internationale, a insisté M. Lahlimi, notant que le Maroc a mis au point un programme pour améliorer la qualité de l'enseignement dans le Royaume et lutter contre la déperdition scolaire d'une manière plus efficiente.
Ce programme doit impérativement réussir et cela implique non seulement de meilleures performances dans la gestion de ce secteur, mais également une très grande participation de la part des enseignants et une large mobilisation des parents d'élèves, pour répondre aux besoins du Maroc en cadres qualifiés de niveaux supérieur et moyen, a-t-il dit.
Evaluant, les réalisations du Maroc pendant les dix dernières années en matière de lutte contre le chômage et la pauvreté, M. Lahlimi a indiqué que l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) en synergie avec les programmes sociaux auxquels le budget de l'Etat consacre plus de 50% des crédits a un impact indéniable sur l'amélioration des conditions de vie des populations en particulier dans le milieu rural.
M. Lahlimi a souligné, par ailleurs, que même si le Maroc a pu montrer une relative résilience aux effets de la crise économique, il n'en demeure pas moins qu'il en a perdu 0,9 points de croissance du PIB en 2008 et 2,4 points en 2009.
L'évolution de l'économie internationale à la suite de cette crise sans précédent s'oriente vers de nouvelles sources technologiques et sectorielles de croissance et de création de richesses, a-t-il fait observer, notant que le Maroc se devait de s'inscrire dans cette évolution comme en a décidé S.M. le Roi en initiant de nouvelles réformes et de nouveaux projets pour inscrire son développement dans ces perspectives internationales.
Le Haut commissaire au Plan, a indiqué que la création du Conseil économique et social avec des prérogatives en matière de planification stratégiques, et la régionalisation avancée, appelée à transformer le paysage institutionnel, économique et social du pays en parallèle avec les projets de développement de nouvelles sources d'énergie et de croissance verte s'inscrivent en droite ligne avec ces perspectives.
Pour M. Lahlimi, les Orientations Royales montrent que le Maroc, après avoir résorbé les déficits sociaux, s'engage résolument dans l'édification du modèle futur de son développement économique et social.
Grâce à la vigilante volonté Royale, le Maroc a pu résorber les déficits enregistrés au terme des années 90 dans les domaines de la croissance et du développement humain, a-t-il ajouté, mettant l'accent en particulier sur les réalisations accomplies en matière d'infrastructures économique, social et urbaine qui ont contribué à délocaliser l'économie nationale et à mieux répartir l'emploi, les revenus et les opportunités d'accès de la population aux services sociaux de base.
En terme quantitatif, le déficit que le Maroc avait dans domaine de l'enseignement par exemple est en cours de résorption, permettant de réaliser les objectifs fixés par la communauté internationale, a insisté M. Lahlimi, notant que le Maroc a mis au point un programme pour améliorer la qualité de l'enseignement dans le Royaume et lutter contre la déperdition scolaire d'une manière plus efficiente.
Ce programme doit impérativement réussir et cela implique non seulement de meilleures performances dans la gestion de ce secteur, mais également une très grande participation de la part des enseignants et une large mobilisation des parents d'élèves, pour répondre aux besoins du Maroc en cadres qualifiés de niveaux supérieur et moyen, a-t-il dit.
Evaluant, les réalisations du Maroc pendant les dix dernières années en matière de lutte contre le chômage et la pauvreté, M. Lahlimi a indiqué que l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) en synergie avec les programmes sociaux auxquels le budget de l'Etat consacre plus de 50% des crédits a un impact indéniable sur l'amélioration des conditions de vie des populations en particulier dans le milieu rural.
M. Lahlimi a souligné, par ailleurs, que même si le Maroc a pu montrer une relative résilience aux effets de la crise économique, il n'en demeure pas moins qu'il en a perdu 0,9 points de croissance du PIB en 2008 et 2,4 points en 2009.
L'évolution de l'économie internationale à la suite de cette crise sans précédent s'oriente vers de nouvelles sources technologiques et sectorielles de croissance et de création de richesses, a-t-il fait observer, notant que le Maroc se devait de s'inscrire dans cette évolution comme en a décidé S.M. le Roi en initiant de nouvelles réformes et de nouveaux projets pour inscrire son développement dans ces perspectives internationales.
Le Haut commissaire au Plan, a indiqué que la création du Conseil économique et social avec des prérogatives en matière de planification stratégiques, et la régionalisation avancée, appelée à transformer le paysage institutionnel, économique et social du pays en parallèle avec les projets de développement de nouvelles sources d'énergie et de croissance verte s'inscrivent en droite ligne avec ces perspectives.
Pour M. Lahlimi, les Orientations Royales montrent que le Maroc, après avoir résorbé les déficits sociaux, s'engage résolument dans l'édification du modèle futur de son développement économique et social.
