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«Le Maroc connait une success story pour plusieurs raisons», a expliqué dans une interview à la MAP le haut responsable US, qui en veut pour preuve, entre autres, le choix stratégique du constructeur automobile français Renault d'installer un complexe industriel à Tanger pour produire des véhicules destinés essentiellement au marché européen.
Outre la proximité géographique du Maroc avec l'Europe, «ce qui a motivé le choix de la firme française est la conviction que ce projet sera porté par une infrastructure conséquente», a affirmé Fernandez, attendu dans le Royaume les 6 et 7 décembre prochain dans le cadre d'une tournée qui le mènera dans d'autres pays du Maghreb.
Le responsable américain, qui avait pris part au Forum économique mondial, tenu du 26 au 28 octobre dernier à Marrakech, a souligné que la libéralisation a consolidé la compétitivité de l'économie marocaine, notant que le Royaume dispose d'un «grand potentiel» en matière d'export non seulement vers l'Europe, mais également vers les Etats-Unis.
«Il reste beaucoup à faire en matière de consolidation des relations maroco-américaines», a soutenu le sous-secrétaire d'Etat US, ajoutant qu'il évoquera avec les responsables marocains les moyens d'impulser les échanges commerciaux entre le Maroc et les Etats-Unis, ainsi que les investissements US dans le Royaume.
Depuis l'entrée en vigueur en 2006 de l'accord de libre échange, le volume des échanges commerciaux entre le Maroc et les Etats Unis a connu une croissance de 150 pc pour atteindre de 2,3 milliards de dollars, rappelle-t-on.
Outre le Maroc, le responsable américain se rendra en Tunisie, en Libye et en Algérie où il doit prendre part à une conférence sur l'entrepreneuriat US-Maghreb, avait fait savoir mercredi le porte-parole du Département d'Etat.
Cette tournée a pour objectif de «promouvoir un nouveau partenariat public-privé entre l'Afrique du Nord et les Etats-Unis, axé sur le renforcement des opportunités économiques», souligne-t-on de même source.
Outre la proximité géographique du Maroc avec l'Europe, «ce qui a motivé le choix de la firme française est la conviction que ce projet sera porté par une infrastructure conséquente», a affirmé Fernandez, attendu dans le Royaume les 6 et 7 décembre prochain dans le cadre d'une tournée qui le mènera dans d'autres pays du Maghreb.
Le responsable américain, qui avait pris part au Forum économique mondial, tenu du 26 au 28 octobre dernier à Marrakech, a souligné que la libéralisation a consolidé la compétitivité de l'économie marocaine, notant que le Royaume dispose d'un «grand potentiel» en matière d'export non seulement vers l'Europe, mais également vers les Etats-Unis.
«Il reste beaucoup à faire en matière de consolidation des relations maroco-américaines», a soutenu le sous-secrétaire d'Etat US, ajoutant qu'il évoquera avec les responsables marocains les moyens d'impulser les échanges commerciaux entre le Maroc et les Etats-Unis, ainsi que les investissements US dans le Royaume.
Depuis l'entrée en vigueur en 2006 de l'accord de libre échange, le volume des échanges commerciaux entre le Maroc et les Etats Unis a connu une croissance de 150 pc pour atteindre de 2,3 milliards de dollars, rappelle-t-on.
Outre le Maroc, le responsable américain se rendra en Tunisie, en Libye et en Algérie où il doit prendre part à une conférence sur l'entrepreneuriat US-Maghreb, avait fait savoir mercredi le porte-parole du Département d'Etat.
Cette tournée a pour objectif de «promouvoir un nouveau partenariat public-privé entre l'Afrique du Nord et les Etats-Unis, axé sur le renforcement des opportunités économiques», souligne-t-on de même source.
