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«Les fait historiques sont déterminants et ne doivent pas être négligés» pour bien comprendre cette question, a insisté le journal.
Celui qui «veut créditer la thèse selon laquelle la population sahraouie est une entité détachée du Maroc, montre qu'il ne connait qu'une version des faits, mais pas l'histoire, ni la réalité de la société marocaine, caractérisée justement par une diversité culturelle et éthique qui en font un modèle unique en son genre», écrit «Il Sole 24 ore».
«Sur le plan démographique, la généalogie des tribus du Sahara démontre aussi que ce territoire constitue une partie intégrante du Maroc et reste un des foyers ethnico-culturels les plus importants de la Nation marocaine», observe-t-il.
L'auteur de l'article cite à ce propos un des chapitres les plus significatifs, à savoir celui de la dynastie Almoravide, fondée par Youssef Ibn Tachfine, qui provenait d'une fraction de la tribu Lemtouna.
Le quotidien rappelle également les liens de fidélité et d'allégeance qui ont toujours existé entre les tribus sahraouies et les Souverains marocains. Le terme de «fidélité» a d'ailleurs été utilisé par les juristes de la Cour internationale de Justice dans l'avis consultatif de 1975, confirmant ainsi le «lien de nationalité», poursuit le quotidien.
L'article relève, par ailleurs, que durant l'époque coloniale, la population sahraouie a été assujettie au droit marocain et non pas aux règles du droit colonial espagnol en vigueur, avec la reconnaissance du drapeau marocain, de la devise nationale, le Dirham, aux dépens de la Peseta espagnole.
Et d'estimer ensuite que «derrière ce conflit, il ya surtout une guerre froide voulue par l'Algérie à l'encontre de la Monarchie alaouite pour des raisons géostratégiques évidentes».
S'agissant de la situation dans les camps de Tindouf, en Algérie, le journal indique que ces dernières années, ces camps sont «devenus une cage trop étroite pour ceux qui s'avisent de changer d'avis et qui ont vu une réponse positive dans la proposition (d'autonomie, ndrl) du Maroc».
«Il sole 24 Ore» rappelle ainsi que «2000 personnes sont retournées récemment dans leur patrie, rejoignant ainsi ceux qui, depuis des dizaines d'années, ne renoncent pas à leurs origines sahraouies ni à leur marocanité».
Et de s'interroger enfin s'il n'est pas «contre-productif et politiquement aveugle de songer à instaurer un nouvel Etat dans le Sahara alors que des mouvements supranationaux et supracontinentaux comme Al-Qaïda sont de plus en plus actifs» dans cette région.
Celui qui «veut créditer la thèse selon laquelle la population sahraouie est une entité détachée du Maroc, montre qu'il ne connait qu'une version des faits, mais pas l'histoire, ni la réalité de la société marocaine, caractérisée justement par une diversité culturelle et éthique qui en font un modèle unique en son genre», écrit «Il Sole 24 ore».
«Sur le plan démographique, la généalogie des tribus du Sahara démontre aussi que ce territoire constitue une partie intégrante du Maroc et reste un des foyers ethnico-culturels les plus importants de la Nation marocaine», observe-t-il.
L'auteur de l'article cite à ce propos un des chapitres les plus significatifs, à savoir celui de la dynastie Almoravide, fondée par Youssef Ibn Tachfine, qui provenait d'une fraction de la tribu Lemtouna.
Le quotidien rappelle également les liens de fidélité et d'allégeance qui ont toujours existé entre les tribus sahraouies et les Souverains marocains. Le terme de «fidélité» a d'ailleurs été utilisé par les juristes de la Cour internationale de Justice dans l'avis consultatif de 1975, confirmant ainsi le «lien de nationalité», poursuit le quotidien.
L'article relève, par ailleurs, que durant l'époque coloniale, la population sahraouie a été assujettie au droit marocain et non pas aux règles du droit colonial espagnol en vigueur, avec la reconnaissance du drapeau marocain, de la devise nationale, le Dirham, aux dépens de la Peseta espagnole.
Et d'estimer ensuite que «derrière ce conflit, il ya surtout une guerre froide voulue par l'Algérie à l'encontre de la Monarchie alaouite pour des raisons géostratégiques évidentes».
S'agissant de la situation dans les camps de Tindouf, en Algérie, le journal indique que ces dernières années, ces camps sont «devenus une cage trop étroite pour ceux qui s'avisent de changer d'avis et qui ont vu une réponse positive dans la proposition (d'autonomie, ndrl) du Maroc».
«Il sole 24 Ore» rappelle ainsi que «2000 personnes sont retournées récemment dans leur patrie, rejoignant ainsi ceux qui, depuis des dizaines d'années, ne renoncent pas à leurs origines sahraouies ni à leur marocanité».
Et de s'interroger enfin s'il n'est pas «contre-productif et politiquement aveugle de songer à instaurer un nouvel Etat dans le Sahara alors que des mouvements supranationaux et supracontinentaux comme Al-Qaïda sont de plus en plus actifs» dans cette région.
