Connexion
«Des représentantes du polisario ont essayé, comme à l'accoutumée, d'étayer la thèse séparatiste qui constitue le cheval de bataille du gouvernement algérien, en instrumentalisant les derniers événements de Laayoune mais nous avons pu contrer cette opération de désinformation», a indiqué Chekrouni, vice-présidente de l'Internationale Socialiste (IS), un organisme regroupant les partis socialistes et la mouvance sociale-démocrate à travers le monde.
L'intervention de l'USFP, a-t-elle indiqué, a «éclairé les participantes au Conseil de l'ISF sur la nature des évènements en dénonçant la tentative désespérée du polisario de faire avorter le processus de négociations sous l'égide des Nations unies et sur la base du projet d'autonomie présenté par le Maroc et qualifié de sérieux et de crédible par la Communauté internationale».
La délégation marocaine, composée également de Ouafae Hajji, a mis l'accent sur le caractère réglementaire de l'opération de démantèlement du campement Gdeim Izik, où «des individus se sont infiltrés, instrumentalisés par le polisario pour semer le désordre». Cette tentative risquait de transformer ce campement en «une bombe à retardement» comme le prouve «la découverte d'un véhicule bourré d'armes et de drogues», a-t-elle ajouté.
«L'opération qui s'est déroulée sous la supervision du parquet, s'imposait pour assurer la sécurité de la population», a expliqué la délégation, soulignant que le Maroc «ne peut accepter sur son territoire une zone de non-droit».
Avec ces mises au point, la délégation marocaine a «mis un terme aux surenchères et aux allégations fallacieuses des porte-voix du gouvernement algérien et du parti-pris de la présidence en exercice de l'ISF», a indiqué Chekrouni.
Par la même occasion, elle a interpellé le Conseil de l'ISF sur la situation de Mustafa Salma Ould Sidi Mouloud, séquestré depuis le 21 septembre par les milices du polisario, pour avoir eu le courage de défendre le plan d'autonomie.
Lors de cette rencontre, tenue sous le thème «L'impact de la crise mondiale : la perspective des femmes pour une solution juste», la délégation marocaine a rappelé les avancées et réalisations du Maroc, dans différents domaines, notamment celui de la promotion des droits des femmes (codes de la famille et de la nationalité, représentation politique nationale et locale, stratégie nationale de lutte contre la violence, dynamique de la société civile).
Cette réunion de l'Internationale socialiste des femmes est marquée par la participation de plus de 40 délégations de partis socio-démocrates représentant l'Europe, l'Afrique, l'Asie et l'Amérique latine.
En marge du Conseil, les participantes marocaines ont eu des rencontres avec les représentantes des délégations d'autres pays pour examiner les moyens de développer la coopération bilatérale.
Cette réunion intervient en prélude à celle du Conseil de l'Internationale socialiste (IS), prévue lundi et mardi à Paris.
Outre Chekrouni et Hajji, l'USFP est représentée à cette rencontre par Fathallah Oualalou, Larbi Ajjoul, Abdelmalek Jeddaoui et El Hassane Bouqentar.
L'ordre du jour portera sur trois thèmes principaux : «L'économie mondiale», «Le changement climatique» et «La résolution des conflits».
L'intervention de l'USFP, a-t-elle indiqué, a «éclairé les participantes au Conseil de l'ISF sur la nature des évènements en dénonçant la tentative désespérée du polisario de faire avorter le processus de négociations sous l'égide des Nations unies et sur la base du projet d'autonomie présenté par le Maroc et qualifié de sérieux et de crédible par la Communauté internationale».
La délégation marocaine, composée également de Ouafae Hajji, a mis l'accent sur le caractère réglementaire de l'opération de démantèlement du campement Gdeim Izik, où «des individus se sont infiltrés, instrumentalisés par le polisario pour semer le désordre». Cette tentative risquait de transformer ce campement en «une bombe à retardement» comme le prouve «la découverte d'un véhicule bourré d'armes et de drogues», a-t-elle ajouté.
«L'opération qui s'est déroulée sous la supervision du parquet, s'imposait pour assurer la sécurité de la population», a expliqué la délégation, soulignant que le Maroc «ne peut accepter sur son territoire une zone de non-droit».
Avec ces mises au point, la délégation marocaine a «mis un terme aux surenchères et aux allégations fallacieuses des porte-voix du gouvernement algérien et du parti-pris de la présidence en exercice de l'ISF», a indiqué Chekrouni.
Par la même occasion, elle a interpellé le Conseil de l'ISF sur la situation de Mustafa Salma Ould Sidi Mouloud, séquestré depuis le 21 septembre par les milices du polisario, pour avoir eu le courage de défendre le plan d'autonomie.
Lors de cette rencontre, tenue sous le thème «L'impact de la crise mondiale : la perspective des femmes pour une solution juste», la délégation marocaine a rappelé les avancées et réalisations du Maroc, dans différents domaines, notamment celui de la promotion des droits des femmes (codes de la famille et de la nationalité, représentation politique nationale et locale, stratégie nationale de lutte contre la violence, dynamique de la société civile).
Cette réunion de l'Internationale socialiste des femmes est marquée par la participation de plus de 40 délégations de partis socio-démocrates représentant l'Europe, l'Afrique, l'Asie et l'Amérique latine.
En marge du Conseil, les participantes marocaines ont eu des rencontres avec les représentantes des délégations d'autres pays pour examiner les moyens de développer la coopération bilatérale.
Cette réunion intervient en prélude à celle du Conseil de l'Internationale socialiste (IS), prévue lundi et mardi à Paris.
Outre Chekrouni et Hajji, l'USFP est représentée à cette rencontre par Fathallah Oualalou, Larbi Ajjoul, Abdelmalek Jeddaoui et El Hassane Bouqentar.
L'ordre du jour portera sur trois thèmes principaux : «L'économie mondiale», «Le changement climatique» et «La résolution des conflits».
