«Le Président va prononcer un discours important à l'adresse du peuple syrien, lié aux questions intérieures et aux derniers développements en Syrie», écrit Sana.
La veille, un haut responsable syrien ayant requis l'anonymat avait annoncé que Al-Assad s'adresserait «mercredi dans la matinée à la nation (en prononçant) un discours au Parlement» et qu'il présenterait à cette occasion «ses projets de réformes».
Il s'agira de la première intervention publique du chef de l'Etat depuis le début des manifestations dans le pays le 15 mars.
Al-Assad devrait annoncer l'abrogation de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963, la libéralisation de la presse, l'instauration du pluralisme politique et des mesures anti-corruption. L'état d'urgence avait été imposé après l'arrivée au pouvoir du parti Baas, qui reste le parti unique en Syrie.
Dans un entretien accordé dimanche à l'AFP, la principale conseillère du président syrien, Boussaïna Chaabane, a annoncé que la décision d'abroger la loi d'urgence en vigueur depuis 1963 en Syrie avait été prise mais qu'elle ne savait pas quand elle serait appliquée.
L'état d'urgence en Syrie prive la population de la quasi-totalité des libertés publiques, notamment celle de manifester son opposition au régime.
La veille, un haut responsable syrien ayant requis l'anonymat avait annoncé que Al-Assad s'adresserait «mercredi dans la matinée à la nation (en prononçant) un discours au Parlement» et qu'il présenterait à cette occasion «ses projets de réformes».
Il s'agira de la première intervention publique du chef de l'Etat depuis le début des manifestations dans le pays le 15 mars.
Al-Assad devrait annoncer l'abrogation de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963, la libéralisation de la presse, l'instauration du pluralisme politique et des mesures anti-corruption. L'état d'urgence avait été imposé après l'arrivée au pouvoir du parti Baas, qui reste le parti unique en Syrie.
Dans un entretien accordé dimanche à l'AFP, la principale conseillère du président syrien, Boussaïna Chaabane, a annoncé que la décision d'abroger la loi d'urgence en vigueur depuis 1963 en Syrie avait été prise mais qu'elle ne savait pas quand elle serait appliquée.
L'état d'urgence en Syrie prive la population de la quasi-totalité des libertés publiques, notamment celle de manifester son opposition au régime.