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Une dynamique économique sans précédent

«Fête du Trône : douze ans de travail acharné pour une économie imperméable aux grisailles».

Une dynamique économique sans précédent
Le Trône, pilier de l'unité nationale et artisan des réformes, S.M. le Roi inaugure la station d'épuration de la ville d'Oujda. (Photo : MAP)
Le Royaume célèbre, le 30 juillet, la Fête du Trône, une occasion de démontrer la solidité de l'économie marocaine qui a fait preuve, ces dernières années, de résilience et de résistance aux chocs, et su attirer la confiance des grands organismes économiques et financiers internationaux.

Grâce à la vision clairvoyante de S.M. le Roi le Roi Mohammed VI qui a impulsé, en douze ans de règne, une dynamique économique sans précédent et lancé des projets de développement de grande envergure, l'économie nationale a affiché des indicateurs de bonne santé qui ont mérité l'estime des institutions économiques internationales de renommée.

Bonne réputation qui dépasse les frontières
L'économie nationale jouit, désormais, d'une bonne réputation qui dépasse les frontières. Ainsi, les grandes instances internationales s'accordent à saluer les performances économiques enregistrées par le Maroc. Le maintien de la note du Maroc inchangée à BBB par l'agence de notation internationale, Standard&Poor's en est la parfaite illustration. S&P, qui a abaissé, au cours de l'année, les notes souveraines en devises de plusieurs pays de la région Mena, estime que «les réformes annoncées récemment par S.M. le Roi devraient soutenir la stabilité politique du pays, contrairement aux incertitudes persistantes dans la région Mena».

Les ratings du Maroc sont supportés par la stabilité macroéconomique à long terme, une position extérieure solide, et par une gestion financière globalement prudente.

Pour sa part, la Coface maintient, dans son évaluation 2011 du «risque pays», la note A4 pour le Maroc, jugeant que la probabilité moyenne d'un défaut de paiement «reste acceptable» avec un environnement des affaires qui demeure «convenable».

Les experts de la Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur, notent qu'après avoir fait preuve d'une «très bonne résistance» à la crise en 2009, la croissance de l'économie marocaine continuera à être portée en 2011, comme en 2010, par la demande interne.

De son côté, le FMI a publié, en avril 2011, un rapport sur les perspectives de l'économie mondiale, dont les estimations sont favorables pour le Maroc. Cette institution de Bretton Woods prévoit une hausse de 2,9% des prix à la consommation en 2011 et d'autant au cours de 2012 et une baisse du taux de chômage, respectivement à 8,9% et 8,7%.

La confiance des investisseurs internationaux au Maroc s'est traduite également par le succès indéniable, en octobre 2010, de l'opération d'emprunt obligataire de 1 milliard d'euros sur le marché international.

D'une maturité de 10 ans, un taux d'intérêt de 4,5% et une prime de risque de 200 points de base, cette opération «montre la confiance des investisseurs internationaux en la bonne santé de l'économie marocaine, ses perspectives de croissance et la solidité de ses fondamentaux», selon le ministre de l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar.

Des indicateurs de bonne santé
L'image du Maroc à l'extérieur n'est que le reflet des indicateurs de la bonne santé de l'économie nationale qui a créé 120.000 postes d'emploi en 2010, permettant ainsi au taux de chômage de se stabiliser à 9,1%, selon le Haut Commissariat au Plan (HCP).

En dépit de la crise économique et financière qui a secoué le monde et des crises céréalières qui se sont succédées au Maroc, l'économie nationale a démontré sa capacité de résilience. Elle a réalisé, en 2009, une croissance de 4,9%, une des meilleures performances de la région Mena, selon le rapport économique et financier de 2011 de la Direction des études et des prévisions financières du ministère de l'Economie et des Finances.

L'année 2010 a connu aussi une dynamique positive due à une hausse significative de 96,6% des exportations de phosphates et dérivés, qui se sont établies à 35,63 milliards de dirhams (MMDH) contre 18,12 MMDH en 2009, et à une progression de 30,8 % des exportations de marchandises, selon l'Office des Changes.

L'année 2011 devrait se caractériser, à son tour, par une accélération de la demande intérieure ainsi que par une consolidation de la croissance des exportations, ce qui impacterait positivement l'activité des différentes branches, selon les prévisions du ministère de l'Economie et des Finances.

D'autre part, le montant des investissements étrangers en actions cotées en bourse est passé de 145,1 milliards de dirhams (MMDH) en 2009 à 167,5 MMDH en 2010, affichant une hausse de 15%, selon un rapport du Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) sur «l'investissement étranger à la Bourse de Casablanca pour l'exercice 2010».

Tous ces indicateurs sont les résultats d'une démarche Royale réfléchie et pondérée qui incite à regarder l'avenir avec beaucoup d'optimisme.
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