Les participants à cette rencontre, organisée à l'initiative de l'Association «Saadia» pour le développement présidée par Samira Chabib, ont débattu en particulier des outils de nature à permettre à la communauté marocaine établie en Italie de faire valoir les dispositions de ce code auprès des administrations italiennes.
Devant une assistance constituée d'importantes personnalités marocaines et italiennes, les intervenants se sont ainsi évertués à relever les innovations introduites par le texte dans le sens d'une plus grande égalité entre hommes et femmes avant de procéder à une analyse de ses fondements les plus significatifs et de passer en revue les différents points de rencontre avec la législation italienne en la matière.
L'accent a été mis notamment sur la nécessité de disposer d'une version en langue italienne du code de la famille marocain afin de faciliter l'accès à ses dispositions aux agents en charge des questions s'y rapportant en Italie.
Pour la présidente de l'association «Saadia», les droits de la femme ne doivent être liées ni à la territorialité ni à la conjoncture, mais faire partie des valeurs universelles auxquelles nul ne peut déroger et que la communauté internationale reconnait comme fondements d'une société symbole de progrès.
Chabib a insisté de manière particulière sur la nécessité de l'élaboration d'une version italienne de cette loi qui soit homologuée par les autorités compétentes, soulignant que plusieurs organismes et associations ont déjà donné leur accord pour financer ce travail.
Devant une assistance constituée d'importantes personnalités marocaines et italiennes, les intervenants se sont ainsi évertués à relever les innovations introduites par le texte dans le sens d'une plus grande égalité entre hommes et femmes avant de procéder à une analyse de ses fondements les plus significatifs et de passer en revue les différents points de rencontre avec la législation italienne en la matière.
L'accent a été mis notamment sur la nécessité de disposer d'une version en langue italienne du code de la famille marocain afin de faciliter l'accès à ses dispositions aux agents en charge des questions s'y rapportant en Italie.
Pour la présidente de l'association «Saadia», les droits de la femme ne doivent être liées ni à la territorialité ni à la conjoncture, mais faire partie des valeurs universelles auxquelles nul ne peut déroger et que la communauté internationale reconnait comme fondements d'une société symbole de progrès.
Chabib a insisté de manière particulière sur la nécessité de l'élaboration d'une version italienne de cette loi qui soit homologuée par les autorités compétentes, soulignant que plusieurs organismes et associations ont déjà donné leur accord pour financer ce travail.