Adhérant à une Déclaration commune déjà souscrite par un grand nombre de communes siciliennes, la mairie de Roccalumera s'est félicitée de «la décision du gouvernement marocain de poursuivre le processus de négociation malgré les comportements irresponsables et provocateurs des autres parties visant à déstabiliser la région et à bloquer les pourparlers entamés par l'Onu».
La solution prônée par le Maroc «consentirait de libérer les énergies permettant aux pays du Maghreb de se consacrer à la construction d'une entité régionale solidaire, acteur indispensable à l'instauration d'une zone stable et prospère en Méditerranée et partenaire privilégié de l'UE», souligne cette déclaration signée du maire, Giovanni Miasi.
S'agissant des événements de novembre dernier à Laayoune, la ville de Roccalumera «condamne fermement les actes de vandalisme et de violence orchestrés par des éléments séparatistes du polisario» et exprime ses regrets suite aux décès enregistrés dans les rangs des forces de l'ordre.
De nombreuses autres Communes de Sicile avaient déjà exprimé au Consulat général du Maroc à Palerme leur adhésion inconditionnelle à la Déclaration commune.
Des réactions similaires avaient également été exprimées par plusieurs parlementaires et personnalités politiques, tels les membres du Groupe d'amitié parlementaire Maroc-Sicile et du Groupe parlementaire Mouvement Pour les Autonomies (MPA) du Parlement autonome de Sicile.
La solution prônée par le Maroc «consentirait de libérer les énergies permettant aux pays du Maghreb de se consacrer à la construction d'une entité régionale solidaire, acteur indispensable à l'instauration d'une zone stable et prospère en Méditerranée et partenaire privilégié de l'UE», souligne cette déclaration signée du maire, Giovanni Miasi.
S'agissant des événements de novembre dernier à Laayoune, la ville de Roccalumera «condamne fermement les actes de vandalisme et de violence orchestrés par des éléments séparatistes du polisario» et exprime ses regrets suite aux décès enregistrés dans les rangs des forces de l'ordre.
De nombreuses autres Communes de Sicile avaient déjà exprimé au Consulat général du Maroc à Palerme leur adhésion inconditionnelle à la Déclaration commune.
Des réactions similaires avaient également été exprimées par plusieurs parlementaires et personnalités politiques, tels les membres du Groupe d'amitié parlementaire Maroc-Sicile et du Groupe parlementaire Mouvement Pour les Autonomies (MPA) du Parlement autonome de Sicile.