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S'exprimant, vendredi, devant près de 400 personnes réunies par cette Association pour «écouter et débattre» avec les ministres, hauts-responsables de l'Administration centrale, de la Région et de la province, Azoulay a souligné le caractère «inédit et emblématique de la modernité du Maroc» de l'Université conviviale d'Essaouira «rendez-vous déterminant d'un agenda souiri qui refuse la complaisance, l'immobilisme et la démagogie pour discuter des défis, des fragilités et des ambitions de la ville».
Exprimant la gratitude des Souiris aux ministres et responsables qui ont répondu à l'invitation d'Essaouira et formulant le vÂœu de voir cette représentation s'élargir dans le futur, Azoulay a passé en revue, secteur par secteur, la situation à Essaouira, en analysant «les acquis pour hier, les leçons pour aujourd'hui et les actions pour demain».
Du désenclavement aux infrastructures, du développement hôtelier et touristique à l'urbanisme, la santé, le patrimoine, la culture, les sports ou l'assainissement, le conseiller de S.M. le Roi a procédé à une «radioscopie exhaustive» de la situation économique et sociale à Essaouira.
Une radioscopie jalonnée par des acquis décisifs et structurants, comme la mise en service début février de l'autoroute double-voie Marrakech-Essaouira, la desserte d'Essaouira par TGV (Train à Grande Vitesse) à moyen et long-terme, la place d'Essaouira dans le nouveau plan de développement régional récemment présenté à S.M. le Roi par Hamid Narjisse, président de la Région Marrakech-Tensift-Al Haouz ou les nouveaux projets hôteliers et touristiques annoncés par Yassir Zenagui, ministre du Tourisme et de l'Artisanat et qui vont prolonger la dynamique créée par la station Mogador (plusieurs milliers de lits), dont le premier hôtel de nouvelle génération va ouvrir ses portes en mars 2011.
Ce sont-là des étapes majeures sur la route de la renaissance d'Essaouira, a encore indiqué le Conseiller de S.M. le Roi, soulignant en contrepoint la nécessité urgente et prioritaire de redonner au paysage urbain d'Essaouira «les équilibres, les couleurs et les caractéristiques de son identité historique» aujourd'hui en partie compromises.
Cela est particulièrement vrai pour le Mellah d'Essaouira en ruine, de la partie nord de la ville qui offre un spectacle de désolation et d'abandon a ajouté Azoulay, en se félicitant du lancement par la province d'Essaouira de plusieurs études sur les différents scénarios de «requalification urbaine et sociale» de ces quartiers d'Essaouira en situation de précarité.
En conclusion, Azoulay a formulé l'espoir de voir dès que possible l'Université conviviale d'Essaouira «virtuelle par son concept mais très concrète par son contenu» se transformer en une Université «réelle», dont l'absence fait cruellement défaut à Essaouira et à sa province.
Exprimant la gratitude des Souiris aux ministres et responsables qui ont répondu à l'invitation d'Essaouira et formulant le vÂœu de voir cette représentation s'élargir dans le futur, Azoulay a passé en revue, secteur par secteur, la situation à Essaouira, en analysant «les acquis pour hier, les leçons pour aujourd'hui et les actions pour demain».
Du désenclavement aux infrastructures, du développement hôtelier et touristique à l'urbanisme, la santé, le patrimoine, la culture, les sports ou l'assainissement, le conseiller de S.M. le Roi a procédé à une «radioscopie exhaustive» de la situation économique et sociale à Essaouira.
Une radioscopie jalonnée par des acquis décisifs et structurants, comme la mise en service début février de l'autoroute double-voie Marrakech-Essaouira, la desserte d'Essaouira par TGV (Train à Grande Vitesse) à moyen et long-terme, la place d'Essaouira dans le nouveau plan de développement régional récemment présenté à S.M. le Roi par Hamid Narjisse, président de la Région Marrakech-Tensift-Al Haouz ou les nouveaux projets hôteliers et touristiques annoncés par Yassir Zenagui, ministre du Tourisme et de l'Artisanat et qui vont prolonger la dynamique créée par la station Mogador (plusieurs milliers de lits), dont le premier hôtel de nouvelle génération va ouvrir ses portes en mars 2011.
Ce sont-là des étapes majeures sur la route de la renaissance d'Essaouira, a encore indiqué le Conseiller de S.M. le Roi, soulignant en contrepoint la nécessité urgente et prioritaire de redonner au paysage urbain d'Essaouira «les équilibres, les couleurs et les caractéristiques de son identité historique» aujourd'hui en partie compromises.
Cela est particulièrement vrai pour le Mellah d'Essaouira en ruine, de la partie nord de la ville qui offre un spectacle de désolation et d'abandon a ajouté Azoulay, en se félicitant du lancement par la province d'Essaouira de plusieurs études sur les différents scénarios de «requalification urbaine et sociale» de ces quartiers d'Essaouira en situation de précarité.
En conclusion, Azoulay a formulé l'espoir de voir dès que possible l'Université conviviale d'Essaouira «virtuelle par son concept mais très concrète par son contenu» se transformer en une Université «réelle», dont l'absence fait cruellement défaut à Essaouira et à sa province.
