En fait, ces expéditions atteignent leur plus haut niveau sur les cinq dernières années, selon l'Office des changes. Leur part dans les exportations globales des quatre premiers mois de l'année s'élève à 17%, contre 16,2% un an plus tôt.
Cette embellie profite aux engrais naturels et chimiques ainsi qu'aux phosphates bruts mais pas à l'acide phosphorique.