Lors d'un point de presse la semaine dernière, Brett McGurk avait critiqué l'idée d'un retrait des 2.000 soldats américains stationnés en Syrie, indiquant que «naturellement, il serait imprudent si nous disions, le califat est vaincu, alors nous pouvons partir».
Le départ de Brett McGurk intervient à quelques jours de la démission surprise du ministre de la Défense Jim Mattis qui avait annoncé jeudi qu'il quitterait l'Administration américaine en février sur fond de désaccords sur la politique étrangère et militaire du président américain.