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Afin d’éviter de tomber malade durant la saison froide, beaucoup de personnes optent pour le vaccin contre la grippe. D’ailleurs la campagne de vaccination qui débutera dans quelques semaines, attirent chaque année plus de personnes. Si l’on continue à croire qu’il s’agit du meilleur moyen pour se protéger contre le virus de la grippe, de nombreuses études pensent le contraire.
Outre le manque de preuves réelles d’efficacité pointé souvent du doigt par les chercheurs, le vaccin contre la grippe serait également soupçonné de causer d’autres dommages, tels que la suppression médicale du système immunitaire, le risque d’Alzheimer, affaiblissement des réactions immunologiques, sensibilité à la pneumonie et autres maladies contagieuses, risque accru de narcolepsie (trouble de sommeil chronique), troubles neurologiques…
«Concernant le vaccin de la grippe en particulier, il comporte évidement des effets indésirables potentiels. Il faut simplement garder à l’esprit que certains d’entre eux, notamment neurologiques, dont la fréquence est malheureusement encore indéterminée, sont suffisamment graves, pour justifier de ne l’administrer qu’aux personnes auxquelles il est susceptible d’apporter un bénéfice pour leur santé, à savoir : les sujets âgés de plus de 65 ans, les diabétiques, les personnes souffrant d’un déficit immunitaire, d’une maladie rénale grave, d’une maladie cardiaque ou broncho-pulmonaire chronique, et quelques autres cas particuliers», indique Dr Amine Joundy, généraliste.
