Connexion
«Nous entrons dans une nouvelle ère de perturbations climatiques et nous avons besoin de tous les outils pratiques maintenant pour faire face à cette crise», a déclaré Amina Mohamed lors de la Conférence sur l'investissement privé du Fonds vert pour le climat, tenue de manière virtuelle.
Le Fonds vert pour le climat (GCF) est un mécanisme financier officiel visant à aider les pays en développement à adopter des pratiques d’adaptation et d’atténuation des effets du changement climatique.
A cet égard, la numéro deux de l’Onu a souligné l’intérêt de prioriser les investissements qui contribuent à une reprise sobre en carbone et résiliente au changement climatique.
La vice-secrétaire générale des Nations unies a, également, appelé les gouvernements à définir une vision à long terme en alignant leurs plans de relèvement en cas de pandémie sur leurs engagements nationaux en matière de climat.
Evoquant le rôle des entreprises privées, la vice Secrétaire générale les a appelé à intégrer les risques climatiques dans leurs prises de décision et à aligner leurs portefeuilles sur les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat et les Objectifs de développement durable (ODD).
La vice-secrétaire générale a, de même, souligné que l'augmentation du financement de l'adaptation et de la résilience sera essentielle pour protéger les personnes, affirmant que le travail du Fonds vert pour le climat est «plus que jamais nécessaire alors que nous accélérons la décarbonisation de l'économie mondiale».
