"Nous sommes engagés dans un combat que nous allons gagner", pour défendre la liberté d'expression, a promis le républicain, dans son club de golf de Bedminster, dans le New Jersey.
Mais les chances que cette plainte aboutisse sont maigres, selon des experts en droit.
"Les réseaux sociaux ont donné un pouvoir extraordinaire à un groupe de géants de la Big Tech", a accusé le 45e président des Etats-Unis, qui flirte avec une nouvelle candidature en 2024.
Devant un parterre d'invités, le milliardaire a expliqué avoir déposé des plaintes collectives contre les géants de la tech comprenant Facebook, Google et Twitter, ainsi que leurs patrons Mark Zuckerberg, Sundar Pichai et Jack Dorsey.
Ces trois patrons "mettent en oeuvre une censure illégale", a-t-il affirmé. "Il n'y a pas de meilleure preuve que la Big Tech est hors de contrôle que le fait qu'ils aient banni le président des Etats-Unis en fonctions" de leurs plateformes.
Avec cette plainte, présentée aux côtés d'une organisation qui promeut ses politiques défendant "l'Amérique d'abord", l'America First Policy Institute, M. Trump a dit espérer que le tribunal fédéral du district sud de la Floride ordonne "l'arrêt immédiat de la censure illégale et honteuse de la part" des réseaux sociaux.