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1er Grand Prix d'Essaouira

La ville d'Essaouira clôturera les 12 et 13 janvier 2002 la saison des 114s mécaniques en apothéose.
Louables initiatives que celles du groupe Chaabi et des automobiles Menara, en collaboration avec l'A.S.R.A.CM de faire évoluer pour la première fo

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Après Casablanca - Khouribga - Meknès - Rabat - Fès - Essaouira viendra compléter un calendrier étoffé de six épreuves.
Les pilotes n'en demandaient pas tant et ils sont maintenant comblés à l'annonce de cette ultime épreuve du championnat du Maroc des pilotes (saison 2001-2002).
Un début d'année en fanfare pour couronner également les vainqueurs de ce Trophée avec les primes conséquentes qui les récompenseront.
Pour un coup d'essai ce fut véritablement un coup de maître réussi pour leurs organisateurs.
Leurs annonceurs (Fiat auto-Maroc, BMCI Salaf, Afriquia, DMA Michelin) contribuent pleinement à la bonne médiatisation de cette formule 110nale.
Avec 27 voitures engagés, une quarantaine la saison prochaine, le 114 Auto a incontestablement resurgi de sa léthargie, alors qu'un nouveau plateau en 2003 sera présenté avec des Alfa Romeo 147.
Si la bonne ambiance règne désormais sur les circuits, on le doit en particulier à ce trophée qui a su maintenir fair-play, rigueur et discipline.
Avec un règlement strict et conforme à la législation en vigueur sur les circuits du Maroc, les pilotes sont conscients de leur capacité de pilotage au détriment de chevaux vapeurs souvent démesurés sur nos circuits.
Tous bénéficient de la même préparation ce qui évite certains débordements.
C'était le but de l'opération, y participer avec des voitures de tous les jours.
Ce trophée a incontestablement révolutionné le milieu du 114 auto.
Certes l'absence d'un circuit permanent demeure encore le maillon faible, mais depuis le temps, les pilotes s'y sont fort bien aguerris à évoluer entre palmiers et trottoirs occasionnant quelque fois que de gros dégâts matériels.
Aux côtés de pilotes chevronnés, l'on retrouve également des débutants qui prennent aussi «leur pied», jeunes et moins jeunes s'y côtoient.
Un jeunot de 21 ans domine actuellement les débats, c'est encore l'âge où les réflexes sont présents, car dans cette formule la moindre erreur ne pardonne pas.
Dirigeants, spectateurs, sponsors, pilotes, organisateurs y trouvent tous leur compte si bien qu'à leur demande une nouvelle manifestation d'un «Slalom-Gymkhana» à Casablanca sera organisé en nocturne durant le mois de Ramadan.
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