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«Maroc : premiers regards» de José Ortiz-Echague

L'espace culturel de la caisse de dépôt et de gestion (C.D.G), a ouvert la saison d'automne 2001, en accueillant le célèbre José Ortiz-Echagüe, artiste espagnol de renom dans le monde de la photographie artistique professionnelle, dont une partie de son œ

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Or, montée avec la collaboration, notamment de la Fondation de l'Université de Navarre, l'Ambassade d'Espagne et l'Institut Cervantès de Rabat, cette exposition intitulée «Maroc : premiers regards».Sera de toute évidence une grande première pour l'artiste qui a mémorisé à jamais le vécu et la réalité marocaine d'une certaine époque ! Certes, primé à plusieurs occasions pour l'ensemble de ses œuvres, José Ortiz-Echague a reçu le premier prix du concours 110nal des Beaux-Arts (en 1915) ainsi que de nombreuses autres distinctions, particulièrement «l'Américain Photographic Compétition» de Borton, décernées alors par les 116iétés photographiques du monde entier, en hommage à son riche répertoire photographique artistique et professionnel.E en revanche, ce Grand Monsieur de la Photo, a oublié de nombreux ouvrages sur la photographie, tout en exposant l'ensemble de ses œuvres, ou l'essentiel, dans plusieurs pays, notamment en Afrique du Sud, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, aux Etats-Unis, en France, en Irlande, en Italie, au Mexique, puis entre autres en Zélande et en Russie. C'est dire que José, Ortiz-echague est une notoriété à l'échelle mondiale. Cependant, toujours au service de l'Art de la photo artistique, il a crée «La mémoire du temps» dans lequel il a vécu et surtout pour les pays qu'il a aimés passionnément, dont le Maroc à qui il a octroyé un «Legs-civilisationnel» en saisissant des scènes ou des instants exceptionnels d'une époque révolue de la 116iété marocaine : traditions, US et coutumes confondues ! selon les propos de M.Arthuro-Lorenzo directeur de l'Institut Cervantès de Rabat, le véritable instigateur de cette superbe et magnifique exposition de photos artistiques consacrée au Maroc des temps passés.
Mais pour réussir ce «coup de cœur» en la mémoire, cette fois-ci, de José Ortiz-echague, il fallait la présence d'un autre passionné des Arts, et j'ai nommé monsieur Kaïsse Ben Yahia, Responsable de la Communication et de la hestion de la galerie, qui pour la circonstance de cet événement des plus remarquables nous a révélé que «la galerie d'art C.D.G a été mise au service du public depuis un peu plus d'une année. Or, l'idée de transformer cet espace en lieu de rencontre et de partage entre le public et l'artiste est née de la volonté de l'entreprise dans le but d'exprimer davantage sa citoyenneté et de participer objectivement et pleinement dans la dynamique des échanges culturels de la 116iété marocaine.
Toutefois, la C.D.G disposé d'un Savoir-Faire indiscutable en matière d'investissement, mais ne prétend développer aucune expertise en matière d'art ! ce n'est pas notre métier» ! dira-t-il... Néanmoins, selon les propos de monsieur Kaïsse Ben Yahia «l'objectif majeur est de valoriser cette dimension humaine et 116iale du groupe C.D.G qui comme vous le savez est constitué d'une vingtaine de filiales et de près de 2500 collaborateurs. Ainsi, toutes ces femmes et ces hommes font partie de la 116iété marocaine, et contribuent à son développement.Il est donc tout à fait naturel de manifester cet aspect important. Dès lors, le choix a porté sur la diversité et l'ouverture culturelle, laquelle ouverture sera orientée vers l'intérieur et vers l'étranger...l'art est universel , la beauté est un idéal humain...aussi, la galerie d'art C.D.G est ouverte sciemment et à juste raison pour tout ce qui est beau et donc éminemment humain.
Ça peut être un tableau, un livre, une photo !
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