Le Président américain George W.Bush a affirmé qu'il faut encore du temps pour pouvoir examiner l'exactitude de cette déclaration, tout en considérant que le désarmement de l'irak est un aspect fondamental dans la guerre contre le terrorisme. Le Président américan a mis en garde le régime irakien des conséquences de toute tentative de cacher certains détails en les omettant dans ladite déclaration.
Malgré la reprise des inspections et la remise par Baghdad de cette déclaration sur ses programmes à vocation militaire, l'administration américaine continue ses préparatifs pour ormer une coalition internationale en vue d'une intervention militaire contre l'Irak. Les responsables américains affirment qu'ils ont à leur disposition des informations qui prouvent que l'Irak détient des armes de destruction massive. Dans une réaction à ces déclarations, le chef des inspecteurs en désarmement, Hans Blix, a affirmé que son équipe n'a pas reçu de documentation de la part de Washington et Londres qui prouverait leurs accusations. Il a ajouté qu'il ne peut affirmer que Baghdad a des armes de destruction massive et qu'il devait encore examiner les preuves que les Américains affirment détenir. Moscou s'est montrée prudente dans sa réaction tout en se félicitant du fait que l'Irak a soumis la déclaration dans les délais prévus. D'autre part, le Président irakien Saddam Hussein a fait, samedi, dans une déclaration lue par son ministre de l'Information Mohammad Saïd Al-Sahhaf, des excuses au peuple koweïtien pour l'invasion de son pays en août 1990. Ce geste vise à atténuer les accusations contre l'Irak d'être un danger pour ses voisins. La classe politique au koweït a rejeté ces excuses, accusant le Président irakien de vouloir diviser les Koweitiens en exigeant des actes et non pas des paroles en guise d'excuses.
Malgré la reprise des inspections et la remise par Baghdad de cette déclaration sur ses programmes à vocation militaire, l'administration américaine continue ses préparatifs pour ormer une coalition internationale en vue d'une intervention militaire contre l'Irak. Les responsables américains affirment qu'ils ont à leur disposition des informations qui prouvent que l'Irak détient des armes de destruction massive. Dans une réaction à ces déclarations, le chef des inspecteurs en désarmement, Hans Blix, a affirmé que son équipe n'a pas reçu de documentation de la part de Washington et Londres qui prouverait leurs accusations. Il a ajouté qu'il ne peut affirmer que Baghdad a des armes de destruction massive et qu'il devait encore examiner les preuves que les Américains affirment détenir. Moscou s'est montrée prudente dans sa réaction tout en se félicitant du fait que l'Irak a soumis la déclaration dans les délais prévus. D'autre part, le Président irakien Saddam Hussein a fait, samedi, dans une déclaration lue par son ministre de l'Information Mohammad Saïd Al-Sahhaf, des excuses au peuple koweïtien pour l'invasion de son pays en août 1990. Ce geste vise à atténuer les accusations contre l'Irak d'être un danger pour ses voisins. La classe politique au koweït a rejeté ces excuses, accusant le Président irakien de vouloir diviser les Koweitiens en exigeant des actes et non pas des paroles en guise d'excuses.