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Fin de semaine donc fatidique pour le onze wydadi et surtout son coach Rachid Taoussi actuellement sur la sellette depuis la double défaite face au même adversaire, l'OCK, en Coupe du Trône et lors du tournoi Antifit. Le technicien a été pris à partie par une importante frange du public wydadi qui n'a pas apprécié ces contre-performances. A quelques encablures du coup d'envoi du championnat, le WAC paraît bien fébrile et cela n'est pas du goût aussi bien des membres du comité que des supporters. Et pourtant un effort a été consenti au niveau du recrutement avec pas moins de huit joueurs qui ont renforcé l'effectif.
Après ces faux pas, des rumeurs ont circulé sur le remplacement de l'entraîneur Rachid Taoussi. Du coup, c'est tout le groupe qui se trouve démobilisé. Cette semaine de tension n'a pas facilité la préparation à cette rencontre qui devient bien difficile à gérer. Il est vrai que le petit but encaissé à l'aller ne parait pas insurmontable à condition que les Marocains ne manquent pas de rigueur à l'approche du but adverse. Les Congolais vont certainement mettre en place un dispositif défensif très rigoureux face à leur gardien de but. Il restera à Boujemaâ, Daoudi, Emersson, Aït Laârif, Mabrouk de faire sauter le verrou congolais et trouver le chemin de la demi-finale. Depuis le départ de Benchrifa, la défense wydadie a du mal à retrouver sa sérénité. Malgré l'ardeur d'un Talha ou la finesse de Louissi, ce compartiment n'est guère à l'abri de surprise. A l'aller, les Bidaouis ont raté un nombre incalculable d'occasions, ce qui irrita le coach Rachid Taoussi : “nous avons raté notre qualification là bas, explique-t-il, avec toutes ces occasions qui se sont présentées et dont nous n'avons pas profité. Si on ajoute à cela les erreurs d'arbitrage, alors je vous laisse le soin de juger vous-mêmes. Ici, il va falloir que l'on se ressaisisse. Ce sera une autre paire de manche avec un adversaire qui ne viendra pas en victime expiatoire. Notre unique solution est d'attaquer sur tous les fronts, éviter l'excès de confiance et surtout faire preuve de plus de rigueur…” Abrami et ses coéquipiers sont conscients de leur lourde tâche. Une défaite risque d'être lourde de conséquences et précipiterait le club vers une crise sans précédent.
Les joueurs auront, pourtant, besoin d'un soutien du public pour arracher la qualification. On sait que les supporters ont jusque là été très exigeants. Aux jeunes de montrer qu'ils méritent le respect et qu'ils peuvent donner quelques satisfactions même dans les conditions les plus difficiles.
Après ces faux pas, des rumeurs ont circulé sur le remplacement de l'entraîneur Rachid Taoussi. Du coup, c'est tout le groupe qui se trouve démobilisé. Cette semaine de tension n'a pas facilité la préparation à cette rencontre qui devient bien difficile à gérer. Il est vrai que le petit but encaissé à l'aller ne parait pas insurmontable à condition que les Marocains ne manquent pas de rigueur à l'approche du but adverse. Les Congolais vont certainement mettre en place un dispositif défensif très rigoureux face à leur gardien de but. Il restera à Boujemaâ, Daoudi, Emersson, Aït Laârif, Mabrouk de faire sauter le verrou congolais et trouver le chemin de la demi-finale. Depuis le départ de Benchrifa, la défense wydadie a du mal à retrouver sa sérénité. Malgré l'ardeur d'un Talha ou la finesse de Louissi, ce compartiment n'est guère à l'abri de surprise. A l'aller, les Bidaouis ont raté un nombre incalculable d'occasions, ce qui irrita le coach Rachid Taoussi : “nous avons raté notre qualification là bas, explique-t-il, avec toutes ces occasions qui se sont présentées et dont nous n'avons pas profité. Si on ajoute à cela les erreurs d'arbitrage, alors je vous laisse le soin de juger vous-mêmes. Ici, il va falloir que l'on se ressaisisse. Ce sera une autre paire de manche avec un adversaire qui ne viendra pas en victime expiatoire. Notre unique solution est d'attaquer sur tous les fronts, éviter l'excès de confiance et surtout faire preuve de plus de rigueur…” Abrami et ses coéquipiers sont conscients de leur lourde tâche. Une défaite risque d'être lourde de conséquences et précipiterait le club vers une crise sans précédent.
Les joueurs auront, pourtant, besoin d'un soutien du public pour arracher la qualification. On sait que les supporters ont jusque là été très exigeants. Aux jeunes de montrer qu'ils méritent le respect et qu'ils peuvent donner quelques satisfactions même dans les conditions les plus difficiles.
