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Il est natif de Tikiouine, petit bled dans la région d'Agadir en 1960; marié, père de trois enfants. Après ses études primaires, il a suivi un cursus technique et industriel jusqu'en 1985. Il travaillait à l'OCP, puis dans une entreprise spécialisée dans la construction métallique. Après son travail, il rejoint son atelier pour dorloter le pinceau-nous raconte notre artiste- car la flamme de l'art s'est déjà ébranlée en lui.
Autodidacte, il s'est intéressé à plusieurs écoles et plusieurs mouvements, mais il reste très attaché aux orientalistes et aux impressionistes.
Il tombe amoureux de Ouarzazate à partir des années 90. Contrastes, lumières, paysages, monuments, tous ces ingrédiens ont fertilisé l'épanouissement de l'artiste. Il passerait ses congés, chaque année pour découvrir cette contrée devantage. Enthousiasmé et fasciné par cet atmosphère artistique, il s'y installe depuis 1993.
Les racines
dans la terre
Le thème de ses prédilections reste toujours l'environnement du Sud: lumière, culture et architecture. C'est la touche qui lui a donné toute sa dimension. Le monde de cet artiste ne tarit jamais, car son œuvre puise ses racines dans la terre: kasbahs, ksours, désert, palmeraies, et dans l'air: luminosité du ciel et liberté d'horizon, mais autant l'imagination peut s'adonner à toute sorte d'extrapolation, autant Driss Essahel s'accroche au conformisme et au respect de l'ordre établi. Ses reproductions, paysages, kasbahs, palmeraies, ressortent toujours un souci indéniable pour le respect de la réalité.
Son approche agit dans le sens de tout faire fondre dans un espace harmonieux et spaciaux. Il se sent près de Jean Jacques Majorelle, de Robtzoff et de Van Goh : orientaliste et impressionniste à la fois.
L'itinéraire artistique de Essahel est riche et varié par ses expositions, notamment une avec l'Association 88 d'art plastique en 1993 à Agadir, à Idou-Anfa à Casa en 1994, une exposition permanente dans le grand sud dans presque tous les hôtels de Ouarzazate, et la célèbre de 1994 à 1999 à Karam palace.
Une idée lui tient à cœur, est la création d'une galerie dans la ville de Ouarzazate dans le but d'en faire une sorte d'Agora pour les artistes, servant comme pôle de rayonnement du label touristique et culturel de la région. C'est un souhait qu'il manifeste du fin fond de son cœur pour l'investissement dans ce créneau. Ses toiles accrochées à la salle d'exposition, arrivent en effet, avec une nouvelle perception, signe d'une maturité indéniable.
C'est dans ce sens que les travaux de Driss débordant de liberté, une liberté à laquelle les couleurs et les formes, presque immuables, donnent plus d'oxygène quitte à ce que l'espace devienne plus réduit.
Généralement ses œuvres sont puisées dans le sud profond. Un champ plus que fertile pour donner libre court à son imagination. Celle ci se bloque devant l'ingratitude et l'indifférence de certaines personnes devant l'art, nous confirme notre artiste avec amertume : «J'ai fait une aquarelle, reproduite dans une carte postale enregistrée dans la propriété intellectuelle sous le N° 7818 du 1/7/97, il s'agit d'une œuvre d'homme bleu que j'ai nommée «Face à l'aventure».
C'est un tableau qui m'est très cher, et que par plaisanterie entre amis, je l'ai trouvé reproduit à mon insu par une agence internationale de voyage, dans des prospectus, dans des brochures, et même dans des cartes de vœux. Je me sens lésé dans mon art, lequel je ne peux pas vivre sans» conclu notre artiste-peintre, qui s'intéresse récemment à une autre activité à côté des arts plastiques, intitulée : Au mystère de l'art de ferronnerie.
Autodidacte, il s'est intéressé à plusieurs écoles et plusieurs mouvements, mais il reste très attaché aux orientalistes et aux impressionistes.
Il tombe amoureux de Ouarzazate à partir des années 90. Contrastes, lumières, paysages, monuments, tous ces ingrédiens ont fertilisé l'épanouissement de l'artiste. Il passerait ses congés, chaque année pour découvrir cette contrée devantage. Enthousiasmé et fasciné par cet atmosphère artistique, il s'y installe depuis 1993.
Les racines
dans la terre
Le thème de ses prédilections reste toujours l'environnement du Sud: lumière, culture et architecture. C'est la touche qui lui a donné toute sa dimension. Le monde de cet artiste ne tarit jamais, car son œuvre puise ses racines dans la terre: kasbahs, ksours, désert, palmeraies, et dans l'air: luminosité du ciel et liberté d'horizon, mais autant l'imagination peut s'adonner à toute sorte d'extrapolation, autant Driss Essahel s'accroche au conformisme et au respect de l'ordre établi. Ses reproductions, paysages, kasbahs, palmeraies, ressortent toujours un souci indéniable pour le respect de la réalité.
Son approche agit dans le sens de tout faire fondre dans un espace harmonieux et spaciaux. Il se sent près de Jean Jacques Majorelle, de Robtzoff et de Van Goh : orientaliste et impressionniste à la fois.
L'itinéraire artistique de Essahel est riche et varié par ses expositions, notamment une avec l'Association 88 d'art plastique en 1993 à Agadir, à Idou-Anfa à Casa en 1994, une exposition permanente dans le grand sud dans presque tous les hôtels de Ouarzazate, et la célèbre de 1994 à 1999 à Karam palace.
Une idée lui tient à cœur, est la création d'une galerie dans la ville de Ouarzazate dans le but d'en faire une sorte d'Agora pour les artistes, servant comme pôle de rayonnement du label touristique et culturel de la région. C'est un souhait qu'il manifeste du fin fond de son cœur pour l'investissement dans ce créneau. Ses toiles accrochées à la salle d'exposition, arrivent en effet, avec une nouvelle perception, signe d'une maturité indéniable.
C'est dans ce sens que les travaux de Driss débordant de liberté, une liberté à laquelle les couleurs et les formes, presque immuables, donnent plus d'oxygène quitte à ce que l'espace devienne plus réduit.
Généralement ses œuvres sont puisées dans le sud profond. Un champ plus que fertile pour donner libre court à son imagination. Celle ci se bloque devant l'ingratitude et l'indifférence de certaines personnes devant l'art, nous confirme notre artiste avec amertume : «J'ai fait une aquarelle, reproduite dans une carte postale enregistrée dans la propriété intellectuelle sous le N° 7818 du 1/7/97, il s'agit d'une œuvre d'homme bleu que j'ai nommée «Face à l'aventure».
C'est un tableau qui m'est très cher, et que par plaisanterie entre amis, je l'ai trouvé reproduit à mon insu par une agence internationale de voyage, dans des prospectus, dans des brochures, et même dans des cartes de vœux. Je me sens lésé dans mon art, lequel je ne peux pas vivre sans» conclu notre artiste-peintre, qui s'intéresse récemment à une autre activité à côté des arts plastiques, intitulée : Au mystère de l'art de ferronnerie.
