Quant à M. Youssoufi, il a choisi la ville de Casablanca comme thème introductif de son intervention inaugurale, en mettant en relief le passé récent de cette mégalopole, son développement rapide et les préoccupations culturelles de ses habitants.
A travers la destinée particulière de Casablanca, et sa capacité à intégrer un échange serein et fidèle entre les créateurs du monde entier, Casablanca reflète, en fait, les dimensions universelles de ce printemps marocain, de cette exception culturelle, politique et civilisationnelle, et de cette ère nouvelle incarnée par le règne de la démocratie, de la liberté et des droits de l'homme.
Dans un contexte international tendu, où la haine et la rancœur ne laissent pas fleurir la moindre parcelle de création, Casablanca et le Maroc ouvrent les portes aux serviteurs de la paix, promoteurs du dialogue et de la création.
Des poètes du monde arabe, de l'Amérique latine, d'Europe et d'Asie, ont, en effet, participé, quatre jours durant, à cette fête de la poésie, dont notre pays se fait l'hôte depuis trois ans, depuis son lancement, à l'initiative de la Maison de la poésie au Maroc. Ce festival s'est rapidement transformé en espace d'échange et de dialogue entre les créateurs du monde entier.
Un espace de liberté qui confirme l'ouverture du Maroc sur la révolution culturelle postmoderne et sa contribution à l'élargissement du champ de la créativité.
A travers la destinée particulière de Casablanca, et sa capacité à intégrer un échange serein et fidèle entre les créateurs du monde entier, Casablanca reflète, en fait, les dimensions universelles de ce printemps marocain, de cette exception culturelle, politique et civilisationnelle, et de cette ère nouvelle incarnée par le règne de la démocratie, de la liberté et des droits de l'homme.
Dans un contexte international tendu, où la haine et la rancœur ne laissent pas fleurir la moindre parcelle de création, Casablanca et le Maroc ouvrent les portes aux serviteurs de la paix, promoteurs du dialogue et de la création.
Des poètes du monde arabe, de l'Amérique latine, d'Europe et d'Asie, ont, en effet, participé, quatre jours durant, à cette fête de la poésie, dont notre pays se fait l'hôte depuis trois ans, depuis son lancement, à l'initiative de la Maison de la poésie au Maroc. Ce festival s'est rapidement transformé en espace d'échange et de dialogue entre les créateurs du monde entier.
Un espace de liberté qui confirme l'ouverture du Maroc sur la révolution culturelle postmoderne et sa contribution à l'élargissement du champ de la créativité.