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Essaouira, dans la foulée de ses grands prédécesseurs, s'efforce de maintenir allumée cette flamme qui puisse sa force et sa lumière dans la singularité, la différence et la générosité.
C'est tout le pari du Festival Gnaoua des musiques du monde qui pour sa cinquième édition, a choisi cette année de pousser encore plus loin son audace et sa créativité en invitant par exemple la jeune garde du Jazz européen et américain à rencontrer les grands maâlems et les musiciens des générations montantes qui à Casablanca, Marrakech ou Essaouira, cultivent avec passion et talent les musiques et les traditions du patrimoine gnaoui.
De grands moments en perspectives sur les scènes de la place Moulay Hassan et de Bab Sbaâ, à l'écoute du saxophone de Julien Loureau, du piano de Bojan Z ou des percussions de Karim Ziad et de combien d'autres grands talents qui ont choisi de faire d'Essaouira la ville culte de la World-Music.
C'est le même message que vont nous apporter cette année les Bauls du Bengale, Dimi Mint Abda, Oumou Sangaré, Amadou et Mariam ou le groupe Ifrikya. D'Asie et d'Afrique, comme les années précédentes, d'Amérique Latine et du Maghreb, la magie d'Essaouira va nous rappeler une fois encore, combien est plus forte, plus belle, plus riche la rencontre avec l'autre et l'écoute de tous les autres.
En ces temps de frivolité intellectuelle où les tentations du repli et d'exclusion culturelle et spirituelle trouvent parfois droit de cité, Essaouira camptée au pied de ses remparts, saura une fois encore, nous donner la bonne réponse ou plutôt la juste note.
C'est tout le pari du Festival Gnaoua des musiques du monde qui pour sa cinquième édition, a choisi cette année de pousser encore plus loin son audace et sa créativité en invitant par exemple la jeune garde du Jazz européen et américain à rencontrer les grands maâlems et les musiciens des générations montantes qui à Casablanca, Marrakech ou Essaouira, cultivent avec passion et talent les musiques et les traditions du patrimoine gnaoui.
De grands moments en perspectives sur les scènes de la place Moulay Hassan et de Bab Sbaâ, à l'écoute du saxophone de Julien Loureau, du piano de Bojan Z ou des percussions de Karim Ziad et de combien d'autres grands talents qui ont choisi de faire d'Essaouira la ville culte de la World-Music.
C'est le même message que vont nous apporter cette année les Bauls du Bengale, Dimi Mint Abda, Oumou Sangaré, Amadou et Mariam ou le groupe Ifrikya. D'Asie et d'Afrique, comme les années précédentes, d'Amérique Latine et du Maghreb, la magie d'Essaouira va nous rappeler une fois encore, combien est plus forte, plus belle, plus riche la rencontre avec l'autre et l'écoute de tous les autres.
En ces temps de frivolité intellectuelle où les tentations du repli et d'exclusion culturelle et spirituelle trouvent parfois droit de cité, Essaouira camptée au pied de ses remparts, saura une fois encore, nous donner la bonne réponse ou plutôt la juste note.
