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Intervenant à l'ouverture de la journée d'études organisée, lundi à Rabat, par le ministère de l'Education nationale en coopération avec le Haut commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de Libération sur le thème la préservation du patrimoine national et les moyens de son développement dans les systèmes pédagogiques et les espaces scolaires, M. Saâf a indiqué que son département a veillé, en révisant les programmes scolaires de différents niveaux, au respect des valeurs religieuses, de l'identité nationale, de la citoyenneté et des droits humains, considérées comme références fondamentales de ces programmes.
Pour sa part, M. Mustapha El Ktiri, Haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de Libération a souligné que le sujet de la mémoire collective nationale demeure, jusqu'à une certaine mesure, un domaine qui retient l'intérêt des spécialistes et la culture de l'élite. M. El Ktiri a également formulé le souhait de voir cette journée d'études aboutir à une nouvelle approche et à une stratégie solide à même d'assurer une large diffusion de ce que recèle la mémoire collective. Il a rappelé, à ce propos, les Hautes directives Royales qui insistent sur la nécessité de s'acquitter de cette noble mission de manière à rendre hommage à l'Histoire marocaine et à éclairer les jeunes esprits.
Dans une allocution lue en son nom, M. Saïd Bounaïlat, président du Conseil national des anciens résistants et anciens membres de l'Armée de Libération, a souligné que cette rencontre est une occasion pour la coordination et l'élaboration d'une stratégie de coopération entre les différentes parties concernées par la préservation de la mémoire nationale, dans la perspective de l'approfondissement de la connaissance de l'Histoire du Maroc.
Cette rencontre, à laquelle ont pris part des responsables du Haut commissariat aux anciens résistants, des représentants locaux et régionaux du M.E.N et des représentants de la société civile, a été marquée par des ateliers portant notamment sur le Maroc face à l'expansionnisme étranger à travers l'Histoire et la place réservée à la préservation du patrimoine national dans les activités éducatives et culturelles organisées dans le cadre scolaire.
Pour sa part, M. Mustapha El Ktiri, Haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de Libération a souligné que le sujet de la mémoire collective nationale demeure, jusqu'à une certaine mesure, un domaine qui retient l'intérêt des spécialistes et la culture de l'élite. M. El Ktiri a également formulé le souhait de voir cette journée d'études aboutir à une nouvelle approche et à une stratégie solide à même d'assurer une large diffusion de ce que recèle la mémoire collective. Il a rappelé, à ce propos, les Hautes directives Royales qui insistent sur la nécessité de s'acquitter de cette noble mission de manière à rendre hommage à l'Histoire marocaine et à éclairer les jeunes esprits.
Dans une allocution lue en son nom, M. Saïd Bounaïlat, président du Conseil national des anciens résistants et anciens membres de l'Armée de Libération, a souligné que cette rencontre est une occasion pour la coordination et l'élaboration d'une stratégie de coopération entre les différentes parties concernées par la préservation de la mémoire nationale, dans la perspective de l'approfondissement de la connaissance de l'Histoire du Maroc.
Cette rencontre, à laquelle ont pris part des responsables du Haut commissariat aux anciens résistants, des représentants locaux et régionaux du M.E.N et des représentants de la société civile, a été marquée par des ateliers portant notamment sur le Maroc face à l'expansionnisme étranger à travers l'Histoire et la place réservée à la préservation du patrimoine national dans les activités éducatives et culturelles organisées dans le cadre scolaire.
