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M. El Azizi a noté que l'ensemble maghrébin présente autant de facteurs communs sur les plans linguistique, religieux, social et économique, qu'il est mieux placé pour bâtir un édifice solide dans les domaines stratégiques, lesquels facteurs sont à même de faciliter les opérations d'échange de produits et la circulation des personnes entre les pays de l'Union.
Il a ainsi mis l'accent sur l'action commune et l'intensification des efforts pour l'activation de la mise en oeuvre des décisions et recommandations dont il a été convenu lors des précédents conseils, tout en oeuvrant à surmonter les difficultés pour la réalisation des objectifs communs liés au secteur du transport. Il a cité en particulier les objectifs ayant un impact positif, pratique et immédiat sur l'augmentation du volume des échanges entre les pays du Maghreb et la promotion des secteurs productifs.
Unification des positions
Il s'agit en particulier de la matérialisation des accords maghrébins relatifs au transport terrestre et l'amélioration des services du transmaghrébin, en plus de la coopération en matière de transport aérien et maritime, surtout dans la perspective d'échéances internationales décisives, qui exigent davantage de coordination et d'unification des positions sur les plans régional et international. Il a souligné que le Royaume du Maroc tient compte de la portée maghrébine dans ses plans d'équipement, essentiellement les programmes routiers et ferroviaires, conformément aux directives de S.M. le Roi Mohammed VI.
Il a exprimé l'espoir qu'une formule d'accord cadre soit trouvée pour favoriser un espace ouvert entre les pays du Maghreb, afin de lever les obstacles et barrières entravant l'action des sociétés spécialisées en matière de transport aérien, pour leur permettre d'opérer sans restriction à l'intérieur des cinq pays du Maghreb et de contribuer au renforcement de leur présence face aux autres groupements régionaux.
Le chef de la délégation marocaine a également insisté sur la coopération et la complémentarité dans le domaine du transport maritime, d'autant plus que le problème de vétusté des bateaux et le transport de produits dangereux par voie maritime se pose avec acuité, en plus des mesures restrictives obligatoires imposées par de nombreux pays et groupements, dont l'Union européenne qui se montre très ferme depuis quelque temps, après la catastrophe écologique provoquée par le bateau «Le prestige» au large de la Galicie (Espagne). Il a mis l'accent sur la nécessité de se pencher sur le problème de la pollution en mer et l'examen des moyens de prévenir les dangers éventuels sur les côtes maghrébines, qui donnent sur des voies maritimes empruntées quotidiennement par de nombreux pétroliers géants, d'où la nécessité de trouver une formule pratique et coordonnée pour le contrôle des bateaux et l'échange d'informations à ce sujet, de façon permanente et régulière.
Il a ainsi mis l'accent sur l'action commune et l'intensification des efforts pour l'activation de la mise en oeuvre des décisions et recommandations dont il a été convenu lors des précédents conseils, tout en oeuvrant à surmonter les difficultés pour la réalisation des objectifs communs liés au secteur du transport. Il a cité en particulier les objectifs ayant un impact positif, pratique et immédiat sur l'augmentation du volume des échanges entre les pays du Maghreb et la promotion des secteurs productifs.
Unification des positions
Il s'agit en particulier de la matérialisation des accords maghrébins relatifs au transport terrestre et l'amélioration des services du transmaghrébin, en plus de la coopération en matière de transport aérien et maritime, surtout dans la perspective d'échéances internationales décisives, qui exigent davantage de coordination et d'unification des positions sur les plans régional et international. Il a souligné que le Royaume du Maroc tient compte de la portée maghrébine dans ses plans d'équipement, essentiellement les programmes routiers et ferroviaires, conformément aux directives de S.M. le Roi Mohammed VI.
Il a exprimé l'espoir qu'une formule d'accord cadre soit trouvée pour favoriser un espace ouvert entre les pays du Maghreb, afin de lever les obstacles et barrières entravant l'action des sociétés spécialisées en matière de transport aérien, pour leur permettre d'opérer sans restriction à l'intérieur des cinq pays du Maghreb et de contribuer au renforcement de leur présence face aux autres groupements régionaux.
Le chef de la délégation marocaine a également insisté sur la coopération et la complémentarité dans le domaine du transport maritime, d'autant plus que le problème de vétusté des bateaux et le transport de produits dangereux par voie maritime se pose avec acuité, en plus des mesures restrictives obligatoires imposées par de nombreux pays et groupements, dont l'Union européenne qui se montre très ferme depuis quelque temps, après la catastrophe écologique provoquée par le bateau «Le prestige» au large de la Galicie (Espagne). Il a mis l'accent sur la nécessité de se pencher sur le problème de la pollution en mer et l'examen des moyens de prévenir les dangers éventuels sur les côtes maghrébines, qui donnent sur des voies maritimes empruntées quotidiennement par de nombreux pétroliers géants, d'où la nécessité de trouver une formule pratique et coordonnée pour le contrôle des bateaux et l'échange d'informations à ce sujet, de façon permanente et régulière.
