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Selon ses initiateurs, les derniers enregistrements vont bon train et l'on croit, d'ores et déjà, qu'elle aura des échos grandioses sur le plan international. Plusieurs facteurs expliquent cet optimisme. D'abord, la situation du peuple palestinien est tellement calvairique que l'ensemble de la communauté internationale condamne actuellement les "actes barbares de l'autorité israélienne". La solidarité des peuples arabes, musulmans et autres avec la population palestinienne se manifeste de plus en plus.
L'artiste leader
Le grand public ne pourra ainsi qu'accueillir favorablement une telle œuvre artistique. Ensuite, la participation gracieuse de stars de la chanson arabe tels que Mohammed El Helou et Hani Chaker d'Egypte, Saber Roubaï et Dikra Mohamed de Tunisie, Rached El Majid, Nabil Chouaïl et Abdelmajid Abdallah de l'Arabie Saoudite ou encore de Hayat El Idrissi, Fouad Zbadi et Mohamed El Ghaoui du Maroc est un gage de réussite de l'opérette puisque ces artistes jouissent actuellement d'une grande renommée et ont un public de fans très large.
La présence de la chanteuse libanaise Diana Haddad, du chanteur tunisien Abdou Deriassa, des stars Koweitiens Abdallah Rouaïched et Naoual ou de la chanteuse syrienne Nour Mhana ne peut qu'assurer un vaste rayonnement à l'œuvre.
Enfin, la conception artistique se base sur une mise en scène, signée Mohamed Fadel, qui intègre aussi bien les techniques de l'opérette traditionnelle que des innovations esthétiques et stylistiques. Cette ouverture sur les techniques modernes du spectacle est motivée par la volonté d'être au diapason du goût du public. Le même effort de rapprochement au public est exercé par le compositeur Taoufiq Hilmi et le distributeur Salah Nasr. Autant de procédés qui sont mis en œuvre pour mettre en évidence la beauté du texte écrit par le parolier Kamal Housni.
Par ailleurs, cette création artistique s'inscrit dans une vision particulière où l'art doit jouer son véritable rôle de soutien aux démunies dans le monde d'une part et où les artistes doivent exercer un certain pouvoir sur les décisions des politiciens afin de changer le cours des événements de l'autre. D'ailleurs, les concepteurs de l'œuvre le disent clairement : "Ce sont l'artiste et le public qui doivent influencer le politicien et non pas le contraire".
L'opérette adresse donc un message bien précis aux gouvernements arabes : "Unissons-nous pour pouvoir lutter ensemble contre les injustices notamment celles qui sévissent contre le peuple palestinien et aussi afin de relever les défis de l'avenir...".
En somme, c'est une "révolution artistique" menée par des artistes engagés pour une cause humanitaire à un moment où "les manoeuvres politiques sont avortées et les cris des peuples restent inaudibles".
C'est un cri de dénonciation lancé avec l'espoir de trouver bons entendeurs et de stimuler ainsi les pouvoirs décisionnels de la communauté internationale.
Enfin, pour les initiateurs du projet, le lancement de cette opérette à partir du Maroc a une valeur hautement symbolique. Le fait que S.M. le Roi Mohammed VI soit le président du Comité d'Al Qods confère à ce lancement un support moral indéniable. Reste enfin à accompagner l'effort artistique par une large campagne de médiatisation et une stratégie marketing agressive afin de lui assurer le succès mondial escompté.
Il est à noter que le projet est une coproduction privée maroco-égyptienne. Aussi, la production prévoit de verser 35% des recettes au Fond d'Al Qods, et entre 15 et 20% aux handicapées.
Autant dire que la création artistique et l'engagement social, humanitaire et politique peuvent faire bon ménage.
L'artiste leader
Le grand public ne pourra ainsi qu'accueillir favorablement une telle œuvre artistique. Ensuite, la participation gracieuse de stars de la chanson arabe tels que Mohammed El Helou et Hani Chaker d'Egypte, Saber Roubaï et Dikra Mohamed de Tunisie, Rached El Majid, Nabil Chouaïl et Abdelmajid Abdallah de l'Arabie Saoudite ou encore de Hayat El Idrissi, Fouad Zbadi et Mohamed El Ghaoui du Maroc est un gage de réussite de l'opérette puisque ces artistes jouissent actuellement d'une grande renommée et ont un public de fans très large.
La présence de la chanteuse libanaise Diana Haddad, du chanteur tunisien Abdou Deriassa, des stars Koweitiens Abdallah Rouaïched et Naoual ou de la chanteuse syrienne Nour Mhana ne peut qu'assurer un vaste rayonnement à l'œuvre.
Enfin, la conception artistique se base sur une mise en scène, signée Mohamed Fadel, qui intègre aussi bien les techniques de l'opérette traditionnelle que des innovations esthétiques et stylistiques. Cette ouverture sur les techniques modernes du spectacle est motivée par la volonté d'être au diapason du goût du public. Le même effort de rapprochement au public est exercé par le compositeur Taoufiq Hilmi et le distributeur Salah Nasr. Autant de procédés qui sont mis en œuvre pour mettre en évidence la beauté du texte écrit par le parolier Kamal Housni.
Par ailleurs, cette création artistique s'inscrit dans une vision particulière où l'art doit jouer son véritable rôle de soutien aux démunies dans le monde d'une part et où les artistes doivent exercer un certain pouvoir sur les décisions des politiciens afin de changer le cours des événements de l'autre. D'ailleurs, les concepteurs de l'œuvre le disent clairement : "Ce sont l'artiste et le public qui doivent influencer le politicien et non pas le contraire".
L'opérette adresse donc un message bien précis aux gouvernements arabes : "Unissons-nous pour pouvoir lutter ensemble contre les injustices notamment celles qui sévissent contre le peuple palestinien et aussi afin de relever les défis de l'avenir...".
En somme, c'est une "révolution artistique" menée par des artistes engagés pour une cause humanitaire à un moment où "les manoeuvres politiques sont avortées et les cris des peuples restent inaudibles".
C'est un cri de dénonciation lancé avec l'espoir de trouver bons entendeurs et de stimuler ainsi les pouvoirs décisionnels de la communauté internationale.
Enfin, pour les initiateurs du projet, le lancement de cette opérette à partir du Maroc a une valeur hautement symbolique. Le fait que S.M. le Roi Mohammed VI soit le président du Comité d'Al Qods confère à ce lancement un support moral indéniable. Reste enfin à accompagner l'effort artistique par une large campagne de médiatisation et une stratégie marketing agressive afin de lui assurer le succès mondial escompté.
Il est à noter que le projet est une coproduction privée maroco-égyptienne. Aussi, la production prévoit de verser 35% des recettes au Fond d'Al Qods, et entre 15 et 20% aux handicapées.
Autant dire que la création artistique et l'engagement social, humanitaire et politique peuvent faire bon ménage.
