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Décidément le cycle des provocations du Premier ministre israélien ne connaît pas de fin. Jamais la paix entre Israéliens et Palestiniens n'a paru aussi lointaine.
Il suffit de revenir un an et demi en arrière pour se rendre compte du fossé qui sépare aujourd'hui Palestiniens et Israéliens. En effet, depuis l'arrivée d'Ariel Sharon à la tête de l'exécutif en Israël, tout ce qui a été laborieusement réalisé sur le chemin de la paix s'est estompé à coup de blocus, d'assassinats ciblés et de bulldozers. Sharon n'a jamais caché son hostilité vis-à-vis du processus de paix et des Palestiniens d'une façon générale. Et pour entraver davantage la situation à chaque fois que des lueurs de médiation apparaissent, le Premier ministre israélien monte les enchères en se livrant à des actes de provocation qui, automatiquement appellent à des représailles palestiniennes. Car lorsqu'il s'attaque à un symbole de la résistance palestinienne, il n'ignore nullement que riposte il y aura, ce qui lui donne le prétexte de renforcer encore plus sa répression dont, l'image sinistre la plus éloquente est l'encerclement du Président palestinien.
La diplomatie, Sharon n'en veut pas . Il ne veut pas de rôle européen et pas de pressions américaines non plus, si ce n'est envers les Palestiniens qu'il ne cesse de taxer de terroristes.
Il apparaît ainsi qu'il s'agit purement et simplement d'une guerre ethnique, d'une approche raciste qui dépasse peut être même celle menée il y a quelques années par un certain Milosevic qui en répond aujourd'hui devant le tribunal international de La Haye.
Milosevic est poursuivi pour avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité. Sharon quant à lui massacre impunément tout un peuple et bafoue toutes les conventions internationales.
Il suffit de revenir un an et demi en arrière pour se rendre compte du fossé qui sépare aujourd'hui Palestiniens et Israéliens. En effet, depuis l'arrivée d'Ariel Sharon à la tête de l'exécutif en Israël, tout ce qui a été laborieusement réalisé sur le chemin de la paix s'est estompé à coup de blocus, d'assassinats ciblés et de bulldozers. Sharon n'a jamais caché son hostilité vis-à-vis du processus de paix et des Palestiniens d'une façon générale. Et pour entraver davantage la situation à chaque fois que des lueurs de médiation apparaissent, le Premier ministre israélien monte les enchères en se livrant à des actes de provocation qui, automatiquement appellent à des représailles palestiniennes. Car lorsqu'il s'attaque à un symbole de la résistance palestinienne, il n'ignore nullement que riposte il y aura, ce qui lui donne le prétexte de renforcer encore plus sa répression dont, l'image sinistre la plus éloquente est l'encerclement du Président palestinien.
La diplomatie, Sharon n'en veut pas . Il ne veut pas de rôle européen et pas de pressions américaines non plus, si ce n'est envers les Palestiniens qu'il ne cesse de taxer de terroristes.
Il apparaît ainsi qu'il s'agit purement et simplement d'une guerre ethnique, d'une approche raciste qui dépasse peut être même celle menée il y a quelques années par un certain Milosevic qui en répond aujourd'hui devant le tribunal international de La Haye.
Milosevic est poursuivi pour avoir commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité. Sharon quant à lui massacre impunément tout un peuple et bafoue toutes les conventions internationales.
