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S'exprimant, jeudi à Marrakech, lors d'une conférence de presse consacrée à l'évaluation des actions entreprises par le Conseil, M.Es-Saadi a relevé que les crédits d'investissement qui proviennent en totalité des recettes de l'IGR et de l'IS ont connu une évolution sensible durant cette période et que la région n'a bénéficié que d'une seule subvention de l'ordre de cinq millions de dirhams en 1998.
L'investissement dans la région a concerné tous les secteurs vitaux tels l'approvisionnement en eau potable, l'électrification rurale, l'assainissement, les infrastructures sportives et culturelles, la protection de l'environnement, outre sa contribution à la réalisation et à l'équipement du Centre orthopédique en partenariat avec le gouvernement allemand, a-t-il ajouté.
La région a également contribué à l'équipement des centres de formation de la Promotion nationale, l'intégration de la femme rurale dans le processus de développement et à certains programmes de recherche de l'Université Cadi Ayyad, a-t-il dit, faisant remarquer que la société civile a bénéficié de subventions de plus de 22 millions DH sur quatre ans et qu'un montant de près de 1,7 million DH a été alloué aux colonies de vacances organisées depuis 1998 à raison de 400 bénéficiaires par an.
Après avoir relevé que la politique de développement de la région repose sur un partenariat avec tous les acteurs économiques, M. Es-Saadi a rappelé dans ce sens que 13 conventions ont été conclues avec des partenaires publics et privés pour la réalisation de projets nécessitant un investissement d'environ 475 millions DH. La région y contribue pour 16 %.
Le Conseil a, en outre, conclu deux conventions de partenariat avec les régions françaises de Midi-Pyrénées et de la Corse portant sur la coopération dans les domaines du tourisme, l'agriculture, la formation professionnelle, l'industrie, la promotion de la femme rurale et de l'enseignement, a-t-il précisé.
Et M. Es-Saadi de conclure que la région est confrontée à plusieurs contraintes liées notamment à la pollution conséquente, de l'assainissement solide et liquide, le recours abusif à la forêt, l'inégalité de l'exploitation minière, la concentration de l'industrie à Marrakech, la faiblesse de l'infrastructure sociale et à la propagation de l'habitat insalubre.
L'investissement dans la région a concerné tous les secteurs vitaux tels l'approvisionnement en eau potable, l'électrification rurale, l'assainissement, les infrastructures sportives et culturelles, la protection de l'environnement, outre sa contribution à la réalisation et à l'équipement du Centre orthopédique en partenariat avec le gouvernement allemand, a-t-il ajouté.
La région a également contribué à l'équipement des centres de formation de la Promotion nationale, l'intégration de la femme rurale dans le processus de développement et à certains programmes de recherche de l'Université Cadi Ayyad, a-t-il dit, faisant remarquer que la société civile a bénéficié de subventions de plus de 22 millions DH sur quatre ans et qu'un montant de près de 1,7 million DH a été alloué aux colonies de vacances organisées depuis 1998 à raison de 400 bénéficiaires par an.
Après avoir relevé que la politique de développement de la région repose sur un partenariat avec tous les acteurs économiques, M. Es-Saadi a rappelé dans ce sens que 13 conventions ont été conclues avec des partenaires publics et privés pour la réalisation de projets nécessitant un investissement d'environ 475 millions DH. La région y contribue pour 16 %.
Le Conseil a, en outre, conclu deux conventions de partenariat avec les régions françaises de Midi-Pyrénées et de la Corse portant sur la coopération dans les domaines du tourisme, l'agriculture, la formation professionnelle, l'industrie, la promotion de la femme rurale et de l'enseignement, a-t-il précisé.
Et M. Es-Saadi de conclure que la région est confrontée à plusieurs contraintes liées notamment à la pollution conséquente, de l'assainissement solide et liquide, le recours abusif à la forêt, l'inégalité de l'exploitation minière, la concentration de l'industrie à Marrakech, la faiblesse de l'infrastructure sociale et à la propagation de l'habitat insalubre.
