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A l’issue des débats, quatre séries de mesures ont été envisagées en vue d’une poursuite normale des activités touristiques au sein de la métropole conformément aux normes en vigueur.
Au niveau social et organisationnel, il a été ainsi décidé que des circulaires soient adressées par chaque association adhérente à ses membres en vue de les rassurer et de conforter leur mobilisation. Dans ce cadre et malgré l’état de la situation, les diverses associations signataires se sont engagées à ne procéder actuellement à aucun dégraissage ou réduction d’emploi. Elles ont également décidé de l’ouverture d’un compte de solidarité par le C.R.T. en faveur des membres du personnel ou des familles des employés qui ont été directement touchés par les actes terroristes ainqi que de la mise en place d’un numéro de téléphone pour informer les professionnels et lutter contre toute désinformation éventuelle.
En ce qui concerne le volet sécuritaire, les opérateurs ont adopté, chacun en ce qui concerne son secteur d’activité, des dispositifs et des procédures permanents de nature à renforcer la sécurité à l’intérieur des établissements touristiques (badges pour le personnel, contrôle et fiabilisation des accès, «emergency plan», vigilance du personnel, contrôle des colis abandonnés, etc.) .
Pour ce qui est de la sécurité externe, l’ensemble des opérateurs ont sollicité les autorités pour qu’elles renforcent, de manière visible, la présence des éléments de la sécurité publique aux portes et dans les environs des établissements touristiques de la ville.
En matière de communication et de promotion, décision a été prise de lancer une campagne de communication tant au niveau national qu’à l’étranger. Au premier registre : affichage, télévision, radio et presse écrite seront sollicités à la veille de la saison estivale pour mettre en relief les qualités et les attraits de la capitale économique. Une réunion se tiendra à ce matin effet au siège de l’ONMT à Rabat.
Au plan international, les opérateurs ont décidé de saisir l’opportunité de la présence des représentants des médias étrangers pour leur faire découvrir la traditionnelle hospitalité de la ville et la quiétude de ses habitants.
Une action urgente de promotion et de communication ciblant les MRE à travers les radio-communautaires sera également initiée.
Dès aujourd’hui, une démarche auprès des agences de voyage et des tours-opérateurs étrangers sera par ailleurs entamée via les délégations de l’Office national marocain du tourisme.
Au cours de la réunion du comité de crise, il a été également décidé de réfléchir sur une action de communication planifiée à lancer sur les marchés émetteurs importants (France, Espagne, Moyen-Orient, etc.) en septembre prochain à l’occasion du Salon Top Resa et sur une autre action destinée aux spécialistes des évènementiels qui se réuniront à partir de demain à Genève.
Au volet économique et financier, les opérateurs touristiques de la capitale économique ont décidé de soumettre aux autorités compétentes un dispositif comprenant des mesures relatives aux charges fiscales et sociales ainsi qu’à l’aménagement de leurs échéances financières au cas où la situation l’exigerait.
Au niveau social et organisationnel, il a été ainsi décidé que des circulaires soient adressées par chaque association adhérente à ses membres en vue de les rassurer et de conforter leur mobilisation. Dans ce cadre et malgré l’état de la situation, les diverses associations signataires se sont engagées à ne procéder actuellement à aucun dégraissage ou réduction d’emploi. Elles ont également décidé de l’ouverture d’un compte de solidarité par le C.R.T. en faveur des membres du personnel ou des familles des employés qui ont été directement touchés par les actes terroristes ainqi que de la mise en place d’un numéro de téléphone pour informer les professionnels et lutter contre toute désinformation éventuelle.
En ce qui concerne le volet sécuritaire, les opérateurs ont adopté, chacun en ce qui concerne son secteur d’activité, des dispositifs et des procédures permanents de nature à renforcer la sécurité à l’intérieur des établissements touristiques (badges pour le personnel, contrôle et fiabilisation des accès, «emergency plan», vigilance du personnel, contrôle des colis abandonnés, etc.) .
Pour ce qui est de la sécurité externe, l’ensemble des opérateurs ont sollicité les autorités pour qu’elles renforcent, de manière visible, la présence des éléments de la sécurité publique aux portes et dans les environs des établissements touristiques de la ville.
En matière de communication et de promotion, décision a été prise de lancer une campagne de communication tant au niveau national qu’à l’étranger. Au premier registre : affichage, télévision, radio et presse écrite seront sollicités à la veille de la saison estivale pour mettre en relief les qualités et les attraits de la capitale économique. Une réunion se tiendra à ce matin effet au siège de l’ONMT à Rabat.
Au plan international, les opérateurs ont décidé de saisir l’opportunité de la présence des représentants des médias étrangers pour leur faire découvrir la traditionnelle hospitalité de la ville et la quiétude de ses habitants.
Une action urgente de promotion et de communication ciblant les MRE à travers les radio-communautaires sera également initiée.
Dès aujourd’hui, une démarche auprès des agences de voyage et des tours-opérateurs étrangers sera par ailleurs entamée via les délégations de l’Office national marocain du tourisme.
Au cours de la réunion du comité de crise, il a été également décidé de réfléchir sur une action de communication planifiée à lancer sur les marchés émetteurs importants (France, Espagne, Moyen-Orient, etc.) en septembre prochain à l’occasion du Salon Top Resa et sur une autre action destinée aux spécialistes des évènementiels qui se réuniront à partir de demain à Genève.
Au volet économique et financier, les opérateurs touristiques de la capitale économique ont décidé de soumettre aux autorités compétentes un dispositif comprenant des mesures relatives aux charges fiscales et sociales ainsi qu’à l’aménagement de leurs échéances financières au cas où la situation l’exigerait.
