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Après Akreuch, Oulja : des solutions pour les décharges publiques

La décharge publique de Akreuch fait encore parler d’elle mais cette fois-ci en bien… Cette décharge que des documents des plus officiels sur la protection de l’environnement dans la région citent parmi les facteurs de dégradation de la

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Ce n’est pas pour demain, mais des dispositions ont été prises pour que le projet aboutisse au plus tard dans un an. La décharge d'Akreuch, qui reçoit près de 220.000 tonnes de déchets par an, est présentée comme une des principales source de dégradation de l’environnement de la région de Rabat. Sur un plan urbanistique, elle freine le développement de la ville dans la direction de Akreuch et reste une menace pour le projet d’aménagement de la Vallée du Bouregreg. Tout aussi grave, elle est présentée comme un des principaux facteurs de pollution des eaux de Bouregreg et de la nappe phréatique. Depuis plusieurs années, un site alternatif avait été identifié dans la préfecture de Skhirat-Temara. Il s’agit d’un terrain d’une superficie de près de 500 Ha, situé sur le territoire de la commune rurale d'Oum Azza. Les appels d'offres qui vont être lancés concernent aussi bien la réhabilitation de la décharge d'Akreuch que l'étude, l'aménagement, la construction et l'exploitation d'un centre de recyclage à Oum Azza. Le nouveau site est appelé, selon les initiateurs du projet, à constituer une réponse globale et définitive à la question des déchets solides de la wilaya, tant au niveau des préfectures de Rabat, Salé Médina, Sala Al Jadida que de Skhirat-Témara. La démarche est en train d’aboutir pour Akreuch mais quid de la décharge à ciel ouvert de Oulja, moins importante, certes, mais incontestable facteur de pollution dans la région?
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