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Aussi, contrairement à ce qui a été colporté à droite et à gauche, il ne sera nullement question d’assemblée générale extraordinaire. Cependant, une grande partie des adhérents aurait déja pris la décision de transformer l’AGO en AGE à condition que la majorité des adhérents le demande expressément.
Certes, le comité a été réduit depuis au strict minimum depuis le départ de plusieurs ténors dont les plus influents sont MM Lasky et Abied qui ont cohabité avec Hadj Abdeslam Hanat, alors secrétaire général puis, vice-président, avant de devenir président, et ce, dans tous les comités présidés successivement par M. Rhallam et M. Amor, mais, légalement, rien ne pourra empêcher ces ex-membres de renouveler leur candidature, quitte à ce que la base des 170 adhérents leur fasse confiance ou non.
Il est vrai, aussi, que les deux adhérents, MM. El Yamani et Benyakoub, qui se sont fait geler leur adhésion par le comité et ont été empêché de participer à l’AG de ce soir ont obtenu gain de cause auprès des instances judiciaires. De ce fait, cela risque de faire jurisprudence à l’avenir si le jugement sur le fond et l’appel interjeté par le comité du Raja venait à être débouté demain mardi.
Que peut-on alors reprocher sincèrement au comité actuel ?
Peut-être le fait d’avoir raté deux titres à sa portée en moins de douze mois (la Ligue des champions africains devant Zamalek et, le championnat du Maroc) compte tenu de son effectif considéré comme le plus riche de notre championnat. Peut-être d’autres choses que seuls les adhérents connaissent et qui seront déballées ce soir ?
Si pour la finale contre Zamalek, on peut imputer la perte du titre à l’entraîneur belge, pour le titre de champion du Maroc, c’est le hasard qui en a décidé ainsi. Car sans le nul du WAC devant le Hassania à Agadir, le titre ne pouvait revenir normalement aux « Verts », mais, à l’équipe gadirie. En réalité, le titre de champion du Maroc s’est joué en début de saison avec les résultats calamiteux de la formation casablancaise dus principalement aux mauvais choix de l’entraîneur belge Walter Meeuws, remercié un peu tard, et à la pression des matches de la Ligue des champions du mois d’août au mois de décembre 2002 avec les nombreux reports et les blessures des joueurs.
Mais, depuis, les «Verts» ont réussi quatre belles victoires en aller et retour tant sur le Hassania, futur champion, que sur leur frère ennemi, le WAC, grâce en grande partie aux choix tactiques du nouvel entraîneur, le français Henri Michel. Dans ces conditions, il est difficile de demander mieux. D’ailleurs, sous la houlette de ce dernier, le Raja a fait un retour de tonnerre « piétinant » tout sur son passage.
S’il est vrai que le Raja a raté sur le fil deux titres cette saison, il reste qualifié pour une finale de la Coupe du Trône non jouée à ce jour. Ceci dit, le moins que l’on puisse dire est qu’il a tout de même réussi un come back sensationnel depuis l’arrivée de Henri Michel. La seule fausse note réside dans le faible niveau développé lors de la dernière coupe arabe. Mais, là aussi, l’équipe casablancaise n’aurait jamais dû y participer compte tenu de la fatigue générale des joueurs qui n’ont pas pris de repos depuis 13 mois. Mais alors qui blâmer ? Le GNF, la FRMF ou le comité du Raja ? De plus, la perte du titre de champion devant le Kawkab n’a guère facilité la tâche des joueurs qui sont partis avec un moral au-dessous de zéro.
Toutes ces raisons font que la famille du Raja va, certainement, encore une fois sortir de cette AGO plus soudée que jamais. Car c’est dans les moments difficiles qu’on reconnaît les grands clubs. Ce n’est pas sans raison que le président Hadj Hanat a déclaré à un confrère que son équipe a besoin plus que jamais de personnes capables de travailler dans l’optique de la gestion d’une entreprise. C’est dire que les adhérents du Raja sont appelés ce soir à faire des choix judicieux. Car, aimer son équipe n’est plus suffisant aujourd’hui pour en devenir un dirigeant. Il faut nécessairement apporter un plus.
Certes, le comité a été réduit depuis au strict minimum depuis le départ de plusieurs ténors dont les plus influents sont MM Lasky et Abied qui ont cohabité avec Hadj Abdeslam Hanat, alors secrétaire général puis, vice-président, avant de devenir président, et ce, dans tous les comités présidés successivement par M. Rhallam et M. Amor, mais, légalement, rien ne pourra empêcher ces ex-membres de renouveler leur candidature, quitte à ce que la base des 170 adhérents leur fasse confiance ou non.
Il est vrai, aussi, que les deux adhérents, MM. El Yamani et Benyakoub, qui se sont fait geler leur adhésion par le comité et ont été empêché de participer à l’AG de ce soir ont obtenu gain de cause auprès des instances judiciaires. De ce fait, cela risque de faire jurisprudence à l’avenir si le jugement sur le fond et l’appel interjeté par le comité du Raja venait à être débouté demain mardi.
Que peut-on alors reprocher sincèrement au comité actuel ?
Peut-être le fait d’avoir raté deux titres à sa portée en moins de douze mois (la Ligue des champions africains devant Zamalek et, le championnat du Maroc) compte tenu de son effectif considéré comme le plus riche de notre championnat. Peut-être d’autres choses que seuls les adhérents connaissent et qui seront déballées ce soir ?
Si pour la finale contre Zamalek, on peut imputer la perte du titre à l’entraîneur belge, pour le titre de champion du Maroc, c’est le hasard qui en a décidé ainsi. Car sans le nul du WAC devant le Hassania à Agadir, le titre ne pouvait revenir normalement aux « Verts », mais, à l’équipe gadirie. En réalité, le titre de champion du Maroc s’est joué en début de saison avec les résultats calamiteux de la formation casablancaise dus principalement aux mauvais choix de l’entraîneur belge Walter Meeuws, remercié un peu tard, et à la pression des matches de la Ligue des champions du mois d’août au mois de décembre 2002 avec les nombreux reports et les blessures des joueurs.
Mais, depuis, les «Verts» ont réussi quatre belles victoires en aller et retour tant sur le Hassania, futur champion, que sur leur frère ennemi, le WAC, grâce en grande partie aux choix tactiques du nouvel entraîneur, le français Henri Michel. Dans ces conditions, il est difficile de demander mieux. D’ailleurs, sous la houlette de ce dernier, le Raja a fait un retour de tonnerre « piétinant » tout sur son passage.
S’il est vrai que le Raja a raté sur le fil deux titres cette saison, il reste qualifié pour une finale de la Coupe du Trône non jouée à ce jour. Ceci dit, le moins que l’on puisse dire est qu’il a tout de même réussi un come back sensationnel depuis l’arrivée de Henri Michel. La seule fausse note réside dans le faible niveau développé lors de la dernière coupe arabe. Mais, là aussi, l’équipe casablancaise n’aurait jamais dû y participer compte tenu de la fatigue générale des joueurs qui n’ont pas pris de repos depuis 13 mois. Mais alors qui blâmer ? Le GNF, la FRMF ou le comité du Raja ? De plus, la perte du titre de champion devant le Kawkab n’a guère facilité la tâche des joueurs qui sont partis avec un moral au-dessous de zéro.
Toutes ces raisons font que la famille du Raja va, certainement, encore une fois sortir de cette AGO plus soudée que jamais. Car c’est dans les moments difficiles qu’on reconnaît les grands clubs. Ce n’est pas sans raison que le président Hadj Hanat a déclaré à un confrère que son équipe a besoin plus que jamais de personnes capables de travailler dans l’optique de la gestion d’une entreprise. C’est dire que les adhérents du Raja sont appelés ce soir à faire des choix judicieux. Car, aimer son équipe n’est plus suffisant aujourd’hui pour en devenir un dirigeant. Il faut nécessairement apporter un plus.
