Les tourouguis ont été dominés aussi bien sur le terrain que sur les gradins.
Ils ont été expéditifs. Il leur a fallu en effet juste 9 minutes avant que Jamaa n’ouvre le score. Le délire des tourouguis ne dura pas plus d’une minute puisque le FUS obtiendra la parité par l’entremise de Ouichou. Nullement impressionnés, les poulains de Khairi gagnèrent plutôt en motivation, jouant avec un cœur gros, comme ça, ragaillardis par la fébrilité de leur vis à vis. Le danger venait d’un mercure appelé Mrabeh, l’homme du match.
Il donna du fil à retordre à une défense qui est loin d’avoir l’assurance requise. La nervosité était un handicap supplémentaire pour les fussistes apparemment touchés dans leur amour propre par « l’insolence » des « amateurs ».
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Nsasra est expulsé pour cumul de deux cartons (40è). Touarga ne demandait pas mieux. Le FUS optera désormais pour la défensive. Le manque de condition physique (ou psychologique ?) apparent chez ses joueurs ne pouvait faire aboutir cette option. Aussi, Hannouni était obligé d’effectuer deux changements, d’un trait.
En vain. L’équipe du Méchouar était décidée à frapper un grand coup ce jour. Elle campa dans la surface fussiste, ratant au passage un but (59è). Ce n’était que partie remise puisque Boustani va sonner le glas par un joli heading qui souleva les filets devant le regard impuissant de Ousseinou qui a sauvé bien d’autres occasion franches (58è). Titubant, le FUS se replia carrément en défense, dans l’espoir d’éviter le carton qui ne tenait en fait qu’à un fil.
La raclée aurait été possible sans la précipitation des attaquants locaux qui dilapidèrent deux occasions limpides (67è et 3è) avant que ce diable de … Mrabeh ne plie le match définitivement (82è). La galerie fussiste silencieuse se retrouva alors dans une situation délicate, vexée par l’addition et soumise aux moqueries des supporters tourouguis. Malheureux.
On ne peut terminer sans souligner l’excellente prestation du trio arbitral et la grande sportivité des deux protagonistes.
Ils ont été expéditifs. Il leur a fallu en effet juste 9 minutes avant que Jamaa n’ouvre le score. Le délire des tourouguis ne dura pas plus d’une minute puisque le FUS obtiendra la parité par l’entremise de Ouichou. Nullement impressionnés, les poulains de Khairi gagnèrent plutôt en motivation, jouant avec un cœur gros, comme ça, ragaillardis par la fébrilité de leur vis à vis. Le danger venait d’un mercure appelé Mrabeh, l’homme du match.
Il donna du fil à retordre à une défense qui est loin d’avoir l’assurance requise. La nervosité était un handicap supplémentaire pour les fussistes apparemment touchés dans leur amour propre par « l’insolence » des « amateurs ».
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Nsasra est expulsé pour cumul de deux cartons (40è). Touarga ne demandait pas mieux. Le FUS optera désormais pour la défensive. Le manque de condition physique (ou psychologique ?) apparent chez ses joueurs ne pouvait faire aboutir cette option. Aussi, Hannouni était obligé d’effectuer deux changements, d’un trait.
En vain. L’équipe du Méchouar était décidée à frapper un grand coup ce jour. Elle campa dans la surface fussiste, ratant au passage un but (59è). Ce n’était que partie remise puisque Boustani va sonner le glas par un joli heading qui souleva les filets devant le regard impuissant de Ousseinou qui a sauvé bien d’autres occasion franches (58è). Titubant, le FUS se replia carrément en défense, dans l’espoir d’éviter le carton qui ne tenait en fait qu’à un fil.
La raclée aurait été possible sans la précipitation des attaquants locaux qui dilapidèrent deux occasions limpides (67è et 3è) avant que ce diable de … Mrabeh ne plie le match définitivement (82è). La galerie fussiste silencieuse se retrouva alors dans une situation délicate, vexée par l’addition et soumise aux moqueries des supporters tourouguis. Malheureux.
On ne peut terminer sans souligner l’excellente prestation du trio arbitral et la grande sportivité des deux protagonistes.