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Ambitieux mais pas trop gourmand, l'ancien arrière latéral puis milieu de terrain du Raja de Casablanca de 1971 à 1982, ne cherche pas à mettre la barre haute. «Nous allons nous fixer des objectifs réalisables», a-t-il déclaré à l'agence MAP.
L'homme, qui s'est forgé une réputation de gagneur avec un palmarès qui pèse lourd, tentera «d'améliorer les performances» d'une équipe qui avait fait profil bas ces dernières saisons. Définir une trajectoire et bâtir une «architecture» dictée par les priorités pour être en phase avec ses ambitions, tel est le programme qu'il veut réaliser à la tête d'une équipe en mal de résultats et de titres.
Dans les jours à venir, une réunion avec le staff dirigeant de l'AS FAR, va permettre au nouveau coach d'arrêter la liste des partants et des recrutements en fonction des postes à pourvoir avant d'entamer la préparation de la prochaine saison avec une concentration de trois semaines à Ifrane plutôt qu'au Portugal.
«A Ifrane, nous aurons la possibilité de tester un plus grand nombre de joueurs, d'en tester certains durant quelques jours seulement et de renvoyer tous ceux qui n'ont pas satisfait au test, n'ayant pas les qualités requises ou encore les indisciplinés ce qui, bien sûr, ne sera pas possible à l'étranger», a-t-il expliqué.
D'ailleurs, le stage d'Ifrane offre l'opportunité de «se mesurer à des équipes du championnat national», histoire de situer le niveau de son groupe. Il a ainsi choisi de jauger son effectif contre des équipes qu'il rencontrera en championnat.
Depuis qu'il a entamé sa seconde carrière (entraîneur), Fakhir possède une carte de visite la plus fournie parmi les techniciens marocains avec une Coupe du Trône avec le Raja de Casablanca en 1996 à Fès lors de la victoire des «Vert et blanc» contre sa future équipe des FAR (but de Jrindou à la 118è). Son premier essai loin du Raja à Sidi Kacem s'était révélé infructueux et il avait «claqué la porte après trois mois à cause d'absence des conditions de travail».
Directeur technique durant cinq ans au Raja, il «sortira de l'ombre» en réussissant une excellente saison avec la Renaissance de Settat qu'il qualifie en finale de la Coupe du Trône (2000) avec une troisième place au classement général avant d'aller empocher deux titres de champions au Souss.
L'homme, qui s'est forgé une réputation de gagneur avec un palmarès qui pèse lourd, tentera «d'améliorer les performances» d'une équipe qui avait fait profil bas ces dernières saisons. Définir une trajectoire et bâtir une «architecture» dictée par les priorités pour être en phase avec ses ambitions, tel est le programme qu'il veut réaliser à la tête d'une équipe en mal de résultats et de titres.
Dans les jours à venir, une réunion avec le staff dirigeant de l'AS FAR, va permettre au nouveau coach d'arrêter la liste des partants et des recrutements en fonction des postes à pourvoir avant d'entamer la préparation de la prochaine saison avec une concentration de trois semaines à Ifrane plutôt qu'au Portugal.
«A Ifrane, nous aurons la possibilité de tester un plus grand nombre de joueurs, d'en tester certains durant quelques jours seulement et de renvoyer tous ceux qui n'ont pas satisfait au test, n'ayant pas les qualités requises ou encore les indisciplinés ce qui, bien sûr, ne sera pas possible à l'étranger», a-t-il expliqué.
D'ailleurs, le stage d'Ifrane offre l'opportunité de «se mesurer à des équipes du championnat national», histoire de situer le niveau de son groupe. Il a ainsi choisi de jauger son effectif contre des équipes qu'il rencontrera en championnat.
Depuis qu'il a entamé sa seconde carrière (entraîneur), Fakhir possède une carte de visite la plus fournie parmi les techniciens marocains avec une Coupe du Trône avec le Raja de Casablanca en 1996 à Fès lors de la victoire des «Vert et blanc» contre sa future équipe des FAR (but de Jrindou à la 118è). Son premier essai loin du Raja à Sidi Kacem s'était révélé infructueux et il avait «claqué la porte après trois mois à cause d'absence des conditions de travail».
Directeur technique durant cinq ans au Raja, il «sortira de l'ombre» en réussissant une excellente saison avec la Renaissance de Settat qu'il qualifie en finale de la Coupe du Trône (2000) avec une troisième place au classement général avant d'aller empocher deux titres de champions au Souss.
