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Des tas d'ordures dans les rues, des restes de nourriture et d'articles ménagers abandonnés, ces choses sont devenues un spectacle courrant dans la capitale économique du Royaume. A l’angle de chaque rue, il y a un dépotoir. Il y a aussi des concentrations d’ordures sur plusieurs voies publiques ( Rues Aârar, Agadir, Driss Slaoui, Mers Sultan, Ziraoui, etc.). Ces amas d’ordures ménagères portent atteinte à la dignité des citoyens qui doivent se frayer un chemin entre les détritus éparpillés dans chaque coin de rue. La ville étouffe sous le poids des ordures qui jonchent les rues et les trottoirs.
Pire, le paysage de la ville devient triste et nauséabond. Ce n’est pas la première fois que Casablanca se trouve dans une situation pareille.
Chaque fois que le ramassage des ordures ne se fait pas à temps par les services de la voirie, c’est les mêmes images qui reviennent. Le comportement des citoyens aggrave également la situation puisque certaines personnes déposent les ordures à côtés des poubelles, d’autres jettent dans la rue les emballages, les sachets de plastiques, les papiers, etc.
Ces énormes tas de détritus rappellent quelques mauvais souvenirs relatifs à la grève des éboueurs il y a un peu moins de deux ans. La situation actuelle est une preuve que les autorités publiques ne se promènent pas un peu dans les artères de la métropole pour constater les petites décharges qui se sont formées par ci par là. Qui dira un étranger qui visite Casablanca pour la première fois ? Quelle image gardera -t-il de la métropole ? Que dira-t-il de nous ? Ces questions, on ne se les pose pas ou rarement. Les citoyens crient au scandale d’autant plus que tout les citoyens payent la taxe d’édilité. C’est regrettable et gênant d’avoir des ordures partout, note Rachid B. qui considère également que ce problème porte atteinte à la dignité humaine. Les autorités publiques sont quasiment incapables de résoudre ce problème. Les services de ramassage de la commune sont pratiquement inexistants. Leur rendement est en-deçà de ce que l’on peut attendre. Hamid G. ne cache pas son amertume et sa colère contre ce spectacle dégradant. C’est inhumain de se promener dans ces rues défigurées par la saleté, lance-il.
Face à ce grand problème, les Casablancais placent leur espoir dans la gestion déléguée pour venir à bout de ces ordures qui s’accumulent à répétition dans la métropole. L’échec du service public du ramassage des ordures a poussé récemment la commune urbaine à lancer un appel d’offres international pour la gestion déléguée des ordures. Trois candidats peuvent encore prétendre à ce marché. Smarcolect, Segedema et Tecmed. Souhaitons bonne chance à l’heureux ou les heureux élus.
Pire, le paysage de la ville devient triste et nauséabond. Ce n’est pas la première fois que Casablanca se trouve dans une situation pareille.
Chaque fois que le ramassage des ordures ne se fait pas à temps par les services de la voirie, c’est les mêmes images qui reviennent. Le comportement des citoyens aggrave également la situation puisque certaines personnes déposent les ordures à côtés des poubelles, d’autres jettent dans la rue les emballages, les sachets de plastiques, les papiers, etc.
Ces énormes tas de détritus rappellent quelques mauvais souvenirs relatifs à la grève des éboueurs il y a un peu moins de deux ans. La situation actuelle est une preuve que les autorités publiques ne se promènent pas un peu dans les artères de la métropole pour constater les petites décharges qui se sont formées par ci par là. Qui dira un étranger qui visite Casablanca pour la première fois ? Quelle image gardera -t-il de la métropole ? Que dira-t-il de nous ? Ces questions, on ne se les pose pas ou rarement. Les citoyens crient au scandale d’autant plus que tout les citoyens payent la taxe d’édilité. C’est regrettable et gênant d’avoir des ordures partout, note Rachid B. qui considère également que ce problème porte atteinte à la dignité humaine. Les autorités publiques sont quasiment incapables de résoudre ce problème. Les services de ramassage de la commune sont pratiquement inexistants. Leur rendement est en-deçà de ce que l’on peut attendre. Hamid G. ne cache pas son amertume et sa colère contre ce spectacle dégradant. C’est inhumain de se promener dans ces rues défigurées par la saleté, lance-il.
Face à ce grand problème, les Casablancais placent leur espoir dans la gestion déléguée pour venir à bout de ces ordures qui s’accumulent à répétition dans la métropole. L’échec du service public du ramassage des ordures a poussé récemment la commune urbaine à lancer un appel d’offres international pour la gestion déléguée des ordures. Trois candidats peuvent encore prétendre à ce marché. Smarcolect, Segedema et Tecmed. Souhaitons bonne chance à l’heureux ou les heureux élus.
