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Dans une déclaration à la MAP à l'issue de la réunion internationale des coordinateurs nationaux du réseau «Jeunes reporters pour l'environnement», Thierry Lerévérend a souligné, qu'il est nécessaire de préparer les enfants à mieux comprendre les enjeux relatifs à l'environnement et à avoir des comportements leur permettant dans le futur de résoudre les problèmes qui en découlent.
A l'initiative de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement, cette réunion, organisée du 23 au 26 janvier à Rabat, par la Fondation pour l'éducation à l'environnement (FEE), se déroule pour la première fois en dehors d'un pays européen et ce suite à l'adhésion du Maroc, en juillet dernier, à la FEE. Les objectifs de cette réunion, selon lui, sont l'amélioration de la réflexion dans les écoles sur les questions de l'environnement et la définition d'une stratégie commune et les orientations du programme «Jeunes reporters pour l'environnement». Ce programme propose comme méthode de travail de créer un échange à travers la collaboration des équipes de lycéens marocains avec des jeunes de différents pays, travaillant sur des thèmes comme l'agriculture, les déchets, l'énergie, et l'eau. Dans ce contexte, Thierry Lerévérend a estimé que les conséquences du développement humain sur l'environnement ne revêtent plus un caractère local mais global. Il en veut pour exemple: la gestion de l'eau, devenue une ressource rare, de plus en plus polluée et qu'il faut partager entre une population en constante augmentation, la gestion des déchets, la baisse de fertilité des sols due à l'intensification de l'agriculture et à l'utilisation de produits fertilisants, la pollution de l'air, le réchauffement du climat et la réduction de la biodiversité.
Le programme «Jeunes reporters pour l'environnement» compte environ 5000 jeunes reporters répartis dans 17 pays, en l'occurrence, le Danemark, Chypre, l'Espagne, l'Estonie, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, la Lettonie, le Maroc, la Norvège, le Portugal, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse et la Turquie.
A l'initiative de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement, cette réunion, organisée du 23 au 26 janvier à Rabat, par la Fondation pour l'éducation à l'environnement (FEE), se déroule pour la première fois en dehors d'un pays européen et ce suite à l'adhésion du Maroc, en juillet dernier, à la FEE. Les objectifs de cette réunion, selon lui, sont l'amélioration de la réflexion dans les écoles sur les questions de l'environnement et la définition d'une stratégie commune et les orientations du programme «Jeunes reporters pour l'environnement». Ce programme propose comme méthode de travail de créer un échange à travers la collaboration des équipes de lycéens marocains avec des jeunes de différents pays, travaillant sur des thèmes comme l'agriculture, les déchets, l'énergie, et l'eau. Dans ce contexte, Thierry Lerévérend a estimé que les conséquences du développement humain sur l'environnement ne revêtent plus un caractère local mais global. Il en veut pour exemple: la gestion de l'eau, devenue une ressource rare, de plus en plus polluée et qu'il faut partager entre une population en constante augmentation, la gestion des déchets, la baisse de fertilité des sols due à l'intensification de l'agriculture et à l'utilisation de produits fertilisants, la pollution de l'air, le réchauffement du climat et la réduction de la biodiversité.
Le programme «Jeunes reporters pour l'environnement» compte environ 5000 jeunes reporters répartis dans 17 pays, en l'occurrence, le Danemark, Chypre, l'Espagne, l'Estonie, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, la Lettonie, le Maroc, la Norvège, le Portugal, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse et la Turquie.
