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La Gazette du Maroc : «Le monde tel que je suis»
« Nadia Yassine n’a pas le moral », nous dit La Gazette du Maroc. La raison évoquée par l’hebdomadaire casablancais en est le refus de représentantes d’associations « d’obédience progressiste et démocratique » de participer au débat de la jamaâ sur la situation de la femme marocaine.
Contestant « l’esprit et la méthode » du dialogue de Nadia, ces femmes, rapporte le journal, ont « boycotté la rencontre ».
Qu’elles aient raison ou tort, ces femmes ont exprimé, à travers leur attitude, une opinion. Mais là où le bât blesse, écrit La Gazette, c’est quand « Nadia sort de ses gonds, rouspète, râle ». Ses propos, rapportés par l’hebdomadaire, se passent de commentaire. « L’avenir est à nous ». « Nous vaincrons ». « De toutes manière, nous ne comptons pas sur les partis politiques pour construire l’avenir du Maroc ». « Ces partis sont déjà morts ». « On ne visite les cimetières que pour se recueillir ».
Commentaire de La Gazette : « Franchement, on ne sait pas ce qui l’afflige le plus ou la vie des ces partis, ou leur mort ! De toute manière, le plus naturel exercice de son esprit est le courroux, et cette arrogance souvent propre aux…revenants…Sinon, pourquoi la fille du cheikh Yassine s’offusque-t-elle autant d’un boycott, somme toute naturel, venant des morts ? …Ou bien, elle entend des voix, celles des morts.
Ou bien, ces morts ne sont pas complètement morts (vivement morts !) et que Nadia Yassine ne les voit pas ! Dans un cas, comme dans l’autre, il y a un déréglement des sens. Sens, en terme cognitif bien évidemment ».
Al Maâraka : La mouvance unie arrive
Mahjoubi Aherdane est heureux. C’est ce qu’on devine à la lecture du journal Al Maâraka (la bataille), organe de presse du Mouvement national populaire qu’il dirige. « Ce qui importe, c’est que les partis de la mouvance populaire soient aujourd’hui parvenus à unir leurs rangs. Car, ce qui rassemble la famille populaire est plus important que ce qui la divise ».
Le chef de file du MNP porte, par ailleurs, un œil critique sur les pratiques politiques et partisanes. Une question au sujet du réaménagement du calendrier électoral et les commentaires qui accompagnent cet événement suscitent l’ire du leader politique.
« Pourquoi certains insistent à ne voir que le mauvais côté des choses ? Ils prétendent tout savoir et expliquent même ce qui n’a pas besoin de l’être au point qu’ils sont devenus « les maîtres du doute », puisqu’ils sèment le doute à propos de tout. Cette attitude nihiliste revient à chercher midi à 14 h 00 »
Concernant le rapport des citoyens à la politique, M. Aherdane a également son mot à dire : « Partant de mon expérience personnelle je peux affirmer que les Marocains ne rejettent pas la politique, mais ont des réserves sur des pratiques précises de la politique ».
LA MAÑANA : notre objectif : informer
« Il y avait une seule radio, un seul quotidien, une seule cellule politique et le mouvement de l’ensemble du personnel était contrôlé.
Pour ces raisons, on n’a rien su des violations des droits de l’Homme commises par le polisario ». Ces propos, recueillis par notre confrère
LA MAÑANA, sont du président de l’Association des familles des Sahraouis victimes de la répression dans les camps de Tindouf. El Houcine Baida, un revenant des camps de Tindouf, sait de quoi il parle.
Evoquant le témoignage impartial d’Alejandro Garcia, qui a consacré un livre à la vie dans les camps de Tindouf après y avoir séjourné, M. Baida souligne le traitement inhumain que les dirigeants du polisario réservent à tous ceux qui s’opposent à leur politique.
Les prisons, construites depuis la création du clan en témoignent. L’objectif de son association, dit El Houcine Baida, est d’en informer l’opinion publique internationale.
« Nadia Yassine n’a pas le moral », nous dit La Gazette du Maroc. La raison évoquée par l’hebdomadaire casablancais en est le refus de représentantes d’associations « d’obédience progressiste et démocratique » de participer au débat de la jamaâ sur la situation de la femme marocaine.
Contestant « l’esprit et la méthode » du dialogue de Nadia, ces femmes, rapporte le journal, ont « boycotté la rencontre ».
Qu’elles aient raison ou tort, ces femmes ont exprimé, à travers leur attitude, une opinion. Mais là où le bât blesse, écrit La Gazette, c’est quand « Nadia sort de ses gonds, rouspète, râle ». Ses propos, rapportés par l’hebdomadaire, se passent de commentaire. « L’avenir est à nous ». « Nous vaincrons ». « De toutes manière, nous ne comptons pas sur les partis politiques pour construire l’avenir du Maroc ». « Ces partis sont déjà morts ». « On ne visite les cimetières que pour se recueillir ».
Commentaire de La Gazette : « Franchement, on ne sait pas ce qui l’afflige le plus ou la vie des ces partis, ou leur mort ! De toute manière, le plus naturel exercice de son esprit est le courroux, et cette arrogance souvent propre aux…revenants…Sinon, pourquoi la fille du cheikh Yassine s’offusque-t-elle autant d’un boycott, somme toute naturel, venant des morts ? …Ou bien, elle entend des voix, celles des morts.
Ou bien, ces morts ne sont pas complètement morts (vivement morts !) et que Nadia Yassine ne les voit pas ! Dans un cas, comme dans l’autre, il y a un déréglement des sens. Sens, en terme cognitif bien évidemment ».
Al Maâraka : La mouvance unie arrive
Mahjoubi Aherdane est heureux. C’est ce qu’on devine à la lecture du journal Al Maâraka (la bataille), organe de presse du Mouvement national populaire qu’il dirige. « Ce qui importe, c’est que les partis de la mouvance populaire soient aujourd’hui parvenus à unir leurs rangs. Car, ce qui rassemble la famille populaire est plus important que ce qui la divise ».
Le chef de file du MNP porte, par ailleurs, un œil critique sur les pratiques politiques et partisanes. Une question au sujet du réaménagement du calendrier électoral et les commentaires qui accompagnent cet événement suscitent l’ire du leader politique.
« Pourquoi certains insistent à ne voir que le mauvais côté des choses ? Ils prétendent tout savoir et expliquent même ce qui n’a pas besoin de l’être au point qu’ils sont devenus « les maîtres du doute », puisqu’ils sèment le doute à propos de tout. Cette attitude nihiliste revient à chercher midi à 14 h 00 »
Concernant le rapport des citoyens à la politique, M. Aherdane a également son mot à dire : « Partant de mon expérience personnelle je peux affirmer que les Marocains ne rejettent pas la politique, mais ont des réserves sur des pratiques précises de la politique ».
LA MAÑANA : notre objectif : informer
« Il y avait une seule radio, un seul quotidien, une seule cellule politique et le mouvement de l’ensemble du personnel était contrôlé.
Pour ces raisons, on n’a rien su des violations des droits de l’Homme commises par le polisario ». Ces propos, recueillis par notre confrère
LA MAÑANA, sont du président de l’Association des familles des Sahraouis victimes de la répression dans les camps de Tindouf. El Houcine Baida, un revenant des camps de Tindouf, sait de quoi il parle.
Evoquant le témoignage impartial d’Alejandro Garcia, qui a consacré un livre à la vie dans les camps de Tindouf après y avoir séjourné, M. Baida souligne le traitement inhumain que les dirigeants du polisario réservent à tous ceux qui s’opposent à leur politique.
Les prisons, construites depuis la création du clan en témoignent. L’objectif de son association, dit El Houcine Baida, est d’en informer l’opinion publique internationale.
