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Ils s'enquerront également du «timing» des nouveaux projets initiés. Ainsi en sera-t-il de l'édification, au cours de cette année, de zones touristiques diversifiées à Marrakech, Tanger, Casablanca, Fès... ou encore, de la mise en place de nouveaux outils visant le développement du secteur. Autant de thèmes qui ne peuvent que focaliser l'attention, car ils permettent d'emblée de formaliser des programmes éclectiques, tout en fixant des deadlines tangibles. C'est que, conformément aux Hautes instructions Royales, les Assises nationales du tourisme doivent être axées sur l'examen de «l'état d'avancement des chantiers du contrat programme» et plus particulièrement ceux qui vont façonner le tourisme national au cours de la décennie. Evénement-phare, la rencontre d'Agadir permettra, dans ce sens, de cerner les avancées réalisées durant les deux dernières années. Les efforts de développement qui se sont nettement consolidés, surtout au cours de l'exercice écoulé, ont permis d'amorcer un changement d'autant plus qualitatif qu'il s'est manifesté à travers le développement de nouveaux sites répondant aux normes internationales, la dynamisation du tourisme culturel et la mise en œuvre de mesures visant la stabilité de l'emploi et la rentabilisation des investissements.
Il est vrai que les événements internationaux du passé récent ont quelque peu perturbé l'élan de certaines activités. Néanmoins, ce qu'il faut dire, c'est que les relatifs passages à vide auront été d'autant plus éphémères que certains indicateurs n'ont pas viré au rouge.
Il est vrai que les événements internationaux du passé récent ont quelque peu perturbé l'élan de certaines activités. Néanmoins, ce qu'il faut dire, c'est que les relatifs passages à vide auront été d'autant plus éphémères que certains indicateurs n'ont pas viré au rouge.
