Le ministre qui est allé au plus près du peuple, en septembre dernier, en se faisant candidat aux élections communales, en est convaincu : le plus vieux parti marocain a de beaux jours devant lui. Dans sa bouche, les arguments se bousculent : parti maroco-marocain appartenant désormais au patrimoine national. Pour la première fois, Karim Ghellab raconte son aventure électorale.
Pourquoi s'est-il fait candidat, à Sbata, une cité-dortoir casablancaise ? «Pour connaître de manière concrète ce qu'est une expérience électorale, les problématiques réelles des citoyens. Il est fondamental pour un homme politique -je ne parle pas de moi particulièrement- d'avoir une prise directe. C'est comme une connexion Internet avec la vie des citoyens que j'ai recherchée par ce biais électoral. Avec ce lien, on est en ligne au moins avec une région, une agglomération, un quartier.
Ce qui permet réellement d'avoir la consistance que j'estime nécessaire à celui qui exerce une fonction publique à l'échelle gouvernementale», répond-il, le regard brillant. Ses rêves de mairie, dit-il, n'étaient pas de l'ambition démesurée. «Je n'arrête jamais l'élan d'une course.
C'est dans cet esprit que je me suis porté candidat à la mairie de Casablanca.»
Ce «Ponts et Chaussées», volontiers présenté par ses collaborateurs comme un fort en thème, reconnaît faire de la politique «tous les matins en [se] rendant au bureau». «Je ne suis pas dans une tour d'ivoire. Le département de l'Equipement et des Transports que je dirige est éminemment politique car il concerne le quotidien des citoyens».
De l'action gouvernementale, il ne préfère regarder que «la partie pleine du verre». «Il y a des actions réussies à inscrire à l'actif de l'Exécutif. Ce sont des résultats concrets (…) La communication est ici fondamentale parce que l'opinion publique doit savoir».
Pourquoi s'est-il fait candidat, à Sbata, une cité-dortoir casablancaise ? «Pour connaître de manière concrète ce qu'est une expérience électorale, les problématiques réelles des citoyens. Il est fondamental pour un homme politique -je ne parle pas de moi particulièrement- d'avoir une prise directe. C'est comme une connexion Internet avec la vie des citoyens que j'ai recherchée par ce biais électoral. Avec ce lien, on est en ligne au moins avec une région, une agglomération, un quartier.
Ce qui permet réellement d'avoir la consistance que j'estime nécessaire à celui qui exerce une fonction publique à l'échelle gouvernementale», répond-il, le regard brillant. Ses rêves de mairie, dit-il, n'étaient pas de l'ambition démesurée. «Je n'arrête jamais l'élan d'une course.
C'est dans cet esprit que je me suis porté candidat à la mairie de Casablanca.»
Ce «Ponts et Chaussées», volontiers présenté par ses collaborateurs comme un fort en thème, reconnaît faire de la politique «tous les matins en [se] rendant au bureau». «Je ne suis pas dans une tour d'ivoire. Le département de l'Equipement et des Transports que je dirige est éminemment politique car il concerne le quotidien des citoyens».
De l'action gouvernementale, il ne préfère regarder que «la partie pleine du verre». «Il y a des actions réussies à inscrire à l'actif de l'Exécutif. Ce sont des résultats concrets (…) La communication est ici fondamentale parce que l'opinion publique doit savoir».