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Touarga a séduit par son jeu, sa technique et surtout par sa combativité. Des qualités qui lui ont valu d'ailleurs la montée chez les grands la saison précédente. Elle jouait samedi son premier match chez l'élite après … 17 ans de purgatoire ! Quel effet pour Khairi ? “Pour moi, c'est tout simplement un autre défi à relever ”. Le défi a failli être relevé lors de ce lever de rideau face à une équipe sahraouie revanchard jusqu'aux godasses après sa contre-performance le week-end précédent en demi-finale de la Coupe du Trône. Le suspens était donc de mise.
Les Tourouguis ont fait d'entrée de jeu main basse sur les débats jusqu'à forcer le score à la 15ème par le feu follet Boustani. Mais c'était sans compter sur la maladresse de son gardien, trop confiant, qui laissa échapper un ballon anodin que Laaroussi glissa tranquillement dans la cage. Ce coup de poignard dans le dos réduisit au silence une galerie rbatie qui criait déjà victoire après le 1er but. Accusant mal le coup, les locaux vont errer sans âme pendant 15 mn avant de retrouver leur mordant crescendo, crachant au passage sur un cadeau de la défense adverse (30è). Puis, c'est la transversale qui s'interposa pour dévier dehors le tir Aouani (35è). Il y avait une odeur de but en l'air. L'arbitre M. Jayed ferma les yeux sur le penalty. Mais ce n'était que partie remise. Boustani finira par pousser la défense visiteuse à la faute, obligeant le libero à tromper son propre gardien (45è).
Du retour des vestiaires, la physionomie du match ne changea pas. Mais pas pour longtemps car les Tourouguis pencheront progressivement vers la défensive, à la surprise générale : “Je n'ai pas ordonné ce repli. Il s'agit seulement du manque d'expérience des joueurs”, se défendit Khairi. Une aubaine inespérée pour les visiteurs qui multiplieront les velléités. La rentrée de Ghayat donna une bouffée d'oxygène supplémentaire à l'attaque. Il rate le but tout fait (62è). La JSM était ressuscité face à des Rbatis tirant des boulets de plomb après la débauche d'énergie du premier half. En perdant la bataille du milieu du terrain, les locaux ont mis en péril leur maigre avance.
Leur gardien sort en catastrophe pour éloigner un ballon brûlant (70è). Khairi effectua deux changements d'un seul trait. La rentrée de Chahramane est saluée bruyamment par le public. Mais personne ne pouvait soupçonnait que ce joueur allait offrir l'égalisation aux visiteurs. Ce sera à la suite d'une faute inutile sur Ghayat, en pleine surface de réparation. Hamid Boujar, le meilleur élément sahraoui, transforma le penalty (75è). Les Tourouguis n'étaient pas au bout de leurs soucis, échappant de justesse au ko après l'échappée de Arsalane qui leva trop haut son lobe face au gardien battu (77è). Les Poulains de Dahane pesèrent de tout leur poids, à la recherche de la victoire qui n'était qu'à deux doigts. Mais ils faillirent être cueillis par El Amri qui mit dans les nuages un ballon qu'il pouvait mettre dans les filets, avec un minimum de lucidité.
Le coup de sifflet vint finalement sceller la parité qui reste équitable. Elle semble avoir satisfait les deux coaches, ex-coéquipiers au sein de la légendaire équipe des FAR des années 85-86. Sportivité oblige, Dahane loua la qualité du team tourougui : “Je préviens, pas mal d'équipes risqueront de laisser des plumes sur la pelouse du Barid ”. Il parlait en toute connaissance de cause, lui, qui doit une sacrée chandelle à certains joueurs tourouguis … étourdis.
Les Tourouguis ont fait d'entrée de jeu main basse sur les débats jusqu'à forcer le score à la 15ème par le feu follet Boustani. Mais c'était sans compter sur la maladresse de son gardien, trop confiant, qui laissa échapper un ballon anodin que Laaroussi glissa tranquillement dans la cage. Ce coup de poignard dans le dos réduisit au silence une galerie rbatie qui criait déjà victoire après le 1er but. Accusant mal le coup, les locaux vont errer sans âme pendant 15 mn avant de retrouver leur mordant crescendo, crachant au passage sur un cadeau de la défense adverse (30è). Puis, c'est la transversale qui s'interposa pour dévier dehors le tir Aouani (35è). Il y avait une odeur de but en l'air. L'arbitre M. Jayed ferma les yeux sur le penalty. Mais ce n'était que partie remise. Boustani finira par pousser la défense visiteuse à la faute, obligeant le libero à tromper son propre gardien (45è).
Du retour des vestiaires, la physionomie du match ne changea pas. Mais pas pour longtemps car les Tourouguis pencheront progressivement vers la défensive, à la surprise générale : “Je n'ai pas ordonné ce repli. Il s'agit seulement du manque d'expérience des joueurs”, se défendit Khairi. Une aubaine inespérée pour les visiteurs qui multiplieront les velléités. La rentrée de Ghayat donna une bouffée d'oxygène supplémentaire à l'attaque. Il rate le but tout fait (62è). La JSM était ressuscité face à des Rbatis tirant des boulets de plomb après la débauche d'énergie du premier half. En perdant la bataille du milieu du terrain, les locaux ont mis en péril leur maigre avance.
Leur gardien sort en catastrophe pour éloigner un ballon brûlant (70è). Khairi effectua deux changements d'un seul trait. La rentrée de Chahramane est saluée bruyamment par le public. Mais personne ne pouvait soupçonnait que ce joueur allait offrir l'égalisation aux visiteurs. Ce sera à la suite d'une faute inutile sur Ghayat, en pleine surface de réparation. Hamid Boujar, le meilleur élément sahraoui, transforma le penalty (75è). Les Tourouguis n'étaient pas au bout de leurs soucis, échappant de justesse au ko après l'échappée de Arsalane qui leva trop haut son lobe face au gardien battu (77è). Les Poulains de Dahane pesèrent de tout leur poids, à la recherche de la victoire qui n'était qu'à deux doigts. Mais ils faillirent être cueillis par El Amri qui mit dans les nuages un ballon qu'il pouvait mettre dans les filets, avec un minimum de lucidité.
Le coup de sifflet vint finalement sceller la parité qui reste équitable. Elle semble avoir satisfait les deux coaches, ex-coéquipiers au sein de la légendaire équipe des FAR des années 85-86. Sportivité oblige, Dahane loua la qualité du team tourougui : “Je préviens, pas mal d'équipes risqueront de laisser des plumes sur la pelouse du Barid ”. Il parlait en toute connaissance de cause, lui, qui doit une sacrée chandelle à certains joueurs tourouguis … étourdis.
