Qualifiant le secteur du bâtiment de très important, M. Mbarki a rappelé que cette activité est classée deuxième après le commerce et par conséquent, il engendre plusieurs occasions directes et indirectes d'emploi.
C'était une occasion pour la première autorité de passer à la loupe tout ce qui a rapport avec le secteur, comment faire évoluer de l'immobilier, comment participer à la conservation du cachet authentique hispano-mauresque et arabo-andalous de nos villes et ensuite diagnostiquer les séquelles et problèmes de cet important secteur où n'interviennent malheureusement que cinq bureaux d'étude.
M. Mbarki devait sonner l'alarme quant à la responsabilité des différents intervenants au bâtiment rappelant que “ce que nous construisons aujourd'hui devra être un momnument du futur ”.
Aussi, il a fait référence aux innovations des décrets et lois en vigueur pour l'amélioration d'un produit sensé passer par la commercialisation, publicité et marketing et que ces produits doivent jouer un rôle primordial quant à l'offre de l'emploi. Parallèlement au programme national des logements sociaux, il faut aussi porter des valeurs ajoutées et des inspirations de l'architecte tétouanais en ce qui concerne les logements de haut standing.
Autres problèmes ont été abordés à cette occasion, tels que le phénomène des “signataires ” hors-site qui visent des projets locaux à la place de l'archictcte de la ville de Tétouan devant suivre de près le chantier des différents travaux à même de participer à l'esthétique, alignement et ordonnancement architectural à cachet “ Made in Tetouan ”.
Il a été aussi rappelé l'état des matériaux de construction, des briqueteries et autres points considérés comme un vrai handicap de l'évolution du secteur immobilier, “ Nous devons être à la hauteur des recommandations de S.M. le Roi Mohammed VI et doubler d'haleine pour participer au développement du secteur de la construction et de l'édification ”, a déclaré M. Noureddine El Harouchi, membre de l'Association des promoteurs immobiliers à Tétouan.
C'était une occasion pour la première autorité de passer à la loupe tout ce qui a rapport avec le secteur, comment faire évoluer de l'immobilier, comment participer à la conservation du cachet authentique hispano-mauresque et arabo-andalous de nos villes et ensuite diagnostiquer les séquelles et problèmes de cet important secteur où n'interviennent malheureusement que cinq bureaux d'étude.
M. Mbarki devait sonner l'alarme quant à la responsabilité des différents intervenants au bâtiment rappelant que “ce que nous construisons aujourd'hui devra être un momnument du futur ”.
Aussi, il a fait référence aux innovations des décrets et lois en vigueur pour l'amélioration d'un produit sensé passer par la commercialisation, publicité et marketing et que ces produits doivent jouer un rôle primordial quant à l'offre de l'emploi. Parallèlement au programme national des logements sociaux, il faut aussi porter des valeurs ajoutées et des inspirations de l'architecte tétouanais en ce qui concerne les logements de haut standing.
Autres problèmes ont été abordés à cette occasion, tels que le phénomène des “signataires ” hors-site qui visent des projets locaux à la place de l'archictcte de la ville de Tétouan devant suivre de près le chantier des différents travaux à même de participer à l'esthétique, alignement et ordonnancement architectural à cachet “ Made in Tetouan ”.
Il a été aussi rappelé l'état des matériaux de construction, des briqueteries et autres points considérés comme un vrai handicap de l'évolution du secteur immobilier, “ Nous devons être à la hauteur des recommandations de S.M. le Roi Mohammed VI et doubler d'haleine pour participer au développement du secteur de la construction et de l'édification ”, a déclaré M. Noureddine El Harouchi, membre de l'Association des promoteurs immobiliers à Tétouan.