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Comment voyez vous le tourisme dans le sud ?
Le sud est une région touristique de premier ordre. Elle est dotée de plusieurs caractéristiques qui font son originalité.
Nous sommes nés et avons grandi dans la région c’est ce qui a fait que nous la connaissons très bien. De plus, les multiples participations aux éditions du marathon des sables m’ont fait découvrir des lieux que moi-même, je ne connaissais pas. Depuis quelques années , les gens sont constamment à la recherche du calme et de la quiétude. Il suffit d’y être une fois pour tomber sous son charme.
A votre avis pourquoi les gens délaissent les grandes villes pour aller dans le désert ?
En partant en vacances, les gens fuient le stress, la pollution et en général ils ont besoin d’aller vers l’inconnu chacun d’entre nous à au fond de lui même cette envie.
Les touristes en choisissant ce genre de tourisme, vont vers la découverte. Le fait d’être nul par dans le désert, de marcher à pied ou sur les dos de chameaux et de dormir au clair de la lune, procure une sensation de bien être.
Comment est née l’idée de votre projet ?
La région a beaucoup de potentialités ceci est un constat de fait. Ceci étant, ma participation aux marathons m’a permis de faire la connaissance de beaucoup de personnes et ces derniers émettent de temps à autre le souhait de visiter la région et surtout la découvrir ce qui m’a donné l’idée avec mon frère qui est guide touristique de programmer des voyages dans la région. Et vu l’engouement non seulement des touristes mais aussi des locaux pour la région. Nous avons acheté des chameaux pour transporter les bagages et d’autres pour les gens qui veulent faire le trajet à dos de chameaux et nous organisons des virées dans le Sahara vers les dunes de Zagora. Cela fait cinq ans qu’on a lancé notre projet, nous avons obtenu notre autorisation sans problèmes et je ne le regrette pas.
La plupart des personnes qui demandent à faire le trekking ont perdu l’habitude d’aller dans un hôtel. Vous savez, les caractéristiques d’un hôtel, on les retrouve partout ce ne sont que les décors qui différent et ce touriste cherche le changement. Il recherche des fois ce qu’il ne retrouve pas chez lui. Le désert dormir sous une tente, se passer du réveil pour se lever aux premiers rayons du soleil. C’est ce qui fait la différence.
Vous avez parlé de touristes ? Est ce que vous visez les étrangers ?
Pas du tout. Quand je dis touriste. Je veux dire toute personne habitant en dehors de la ville de Zagora et ses régions. C’est vrai qu’au début, c’était surtout des étrangers qui venaient dans cette région mais depuis quelques temps, des Marocains se mettent à la découverte de leurs pays. Il y a beaucoup de familles qui viennent pour passer une à deux semaines il y a aussi des groupes d’amis qui pour se retrouver, choisissent cette destination. Ceci étant, ils restent une minorité par rapport aux étrangers. Certes leurs choix différent et des fois le trajet qu’ils choisissent aussi car jamais nous n’avons imposé un programme à un client c’est lui qui nous dit ce qu’il veut visiter et ce qu’il veut faire de son séjour et nous lui proposons le programme et c’est à lui de dire oui ou non. D’autant plus que c’est lui le principal concerné.
Après cinq ans, comment jugez vous votre expérience ?
C’est une bonne expérience qui dure toujours. Nous avons six chameaux quoique des fois, nous empruntons les chameaux des autres chameliers si bien sûr nous avons plus de demande.
Ceci aide aussi les personnes qui n’ont pas de travail à en trouver un s’ils nous accompagnent dans nos randonnées c’est clair c’est bénéfique pour eux aussi.
Quel est le budget approximatif pour une randonnée dans le désert, et quelle est la haute saison ?
Le budget varie en fonction du nombre de personnes, la durée du séjour et la nature de la randonnée qui se fait des fois en vélos tous terrains, en 4x4 et des fois à pieds.
Le prix en principe varie entre 250 et 600 dirhams. Ce tarif comprend en principe les repas, l’hébergement et le transport.
En ce qui concerne le personnel, il varie aussi en fonction du nombre de personnes.
Pour nous la haute saison est en principe durant la fin d’année et les deux premiers trimestres où le climat est en principe modéré. Pendant l’été, tout le monde fuit la région à cause de la chaleur.
Quels sont vos projets d’avenir ?
J’envisage d’organiser un marathon dans le désert vers la fin d’année. C’est un marathon de 42 kilomètres et pour la soirée du réveillon, un grand bivouac est programmé dans le désert en l’honneur des marathoniens et aussi des personnes qui les ont accompagnés.
Je prévois aussi la création d’une association sportive «association des gazelles du sud» ce qui encouragera énormément les athlètes.
A travers le marathon prévu, un autre volet sera traité. Il s’agit de l’environnement, chaque athlète devra planter un arbuste qu’il visitera tous les ans s’il veut et entre temps c’est l’association qui se chargera de l’entretien. Vous savez, il est capital de prendre l’environnement et on en est tous responsables.
Le sud est une région touristique de premier ordre. Elle est dotée de plusieurs caractéristiques qui font son originalité.
Nous sommes nés et avons grandi dans la région c’est ce qui a fait que nous la connaissons très bien. De plus, les multiples participations aux éditions du marathon des sables m’ont fait découvrir des lieux que moi-même, je ne connaissais pas. Depuis quelques années , les gens sont constamment à la recherche du calme et de la quiétude. Il suffit d’y être une fois pour tomber sous son charme.
A votre avis pourquoi les gens délaissent les grandes villes pour aller dans le désert ?
En partant en vacances, les gens fuient le stress, la pollution et en général ils ont besoin d’aller vers l’inconnu chacun d’entre nous à au fond de lui même cette envie.
Les touristes en choisissant ce genre de tourisme, vont vers la découverte. Le fait d’être nul par dans le désert, de marcher à pied ou sur les dos de chameaux et de dormir au clair de la lune, procure une sensation de bien être.
Comment est née l’idée de votre projet ?
La région a beaucoup de potentialités ceci est un constat de fait. Ceci étant, ma participation aux marathons m’a permis de faire la connaissance de beaucoup de personnes et ces derniers émettent de temps à autre le souhait de visiter la région et surtout la découvrir ce qui m’a donné l’idée avec mon frère qui est guide touristique de programmer des voyages dans la région. Et vu l’engouement non seulement des touristes mais aussi des locaux pour la région. Nous avons acheté des chameaux pour transporter les bagages et d’autres pour les gens qui veulent faire le trajet à dos de chameaux et nous organisons des virées dans le Sahara vers les dunes de Zagora. Cela fait cinq ans qu’on a lancé notre projet, nous avons obtenu notre autorisation sans problèmes et je ne le regrette pas.
La plupart des personnes qui demandent à faire le trekking ont perdu l’habitude d’aller dans un hôtel. Vous savez, les caractéristiques d’un hôtel, on les retrouve partout ce ne sont que les décors qui différent et ce touriste cherche le changement. Il recherche des fois ce qu’il ne retrouve pas chez lui. Le désert dormir sous une tente, se passer du réveil pour se lever aux premiers rayons du soleil. C’est ce qui fait la différence.
Vous avez parlé de touristes ? Est ce que vous visez les étrangers ?
Pas du tout. Quand je dis touriste. Je veux dire toute personne habitant en dehors de la ville de Zagora et ses régions. C’est vrai qu’au début, c’était surtout des étrangers qui venaient dans cette région mais depuis quelques temps, des Marocains se mettent à la découverte de leurs pays. Il y a beaucoup de familles qui viennent pour passer une à deux semaines il y a aussi des groupes d’amis qui pour se retrouver, choisissent cette destination. Ceci étant, ils restent une minorité par rapport aux étrangers. Certes leurs choix différent et des fois le trajet qu’ils choisissent aussi car jamais nous n’avons imposé un programme à un client c’est lui qui nous dit ce qu’il veut visiter et ce qu’il veut faire de son séjour et nous lui proposons le programme et c’est à lui de dire oui ou non. D’autant plus que c’est lui le principal concerné.
Après cinq ans, comment jugez vous votre expérience ?
C’est une bonne expérience qui dure toujours. Nous avons six chameaux quoique des fois, nous empruntons les chameaux des autres chameliers si bien sûr nous avons plus de demande.
Ceci aide aussi les personnes qui n’ont pas de travail à en trouver un s’ils nous accompagnent dans nos randonnées c’est clair c’est bénéfique pour eux aussi.
Quel est le budget approximatif pour une randonnée dans le désert, et quelle est la haute saison ?
Le budget varie en fonction du nombre de personnes, la durée du séjour et la nature de la randonnée qui se fait des fois en vélos tous terrains, en 4x4 et des fois à pieds.
Le prix en principe varie entre 250 et 600 dirhams. Ce tarif comprend en principe les repas, l’hébergement et le transport.
En ce qui concerne le personnel, il varie aussi en fonction du nombre de personnes.
Pour nous la haute saison est en principe durant la fin d’année et les deux premiers trimestres où le climat est en principe modéré. Pendant l’été, tout le monde fuit la région à cause de la chaleur.
Quels sont vos projets d’avenir ?
J’envisage d’organiser un marathon dans le désert vers la fin d’année. C’est un marathon de 42 kilomètres et pour la soirée du réveillon, un grand bivouac est programmé dans le désert en l’honneur des marathoniens et aussi des personnes qui les ont accompagnés.
Je prévois aussi la création d’une association sportive «association des gazelles du sud» ce qui encouragera énormément les athlètes.
A travers le marathon prévu, un autre volet sera traité. Il s’agit de l’environnement, chaque athlète devra planter un arbuste qu’il visitera tous les ans s’il veut et entre temps c’est l’association qui se chargera de l’entretien. Vous savez, il est capital de prendre l’environnement et on en est tous responsables.
