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L’homme à la tribune a la barbe naissante. Il porte, certes, costume-cravate, mais s’exprime dans l’enceinte d’un parti qui, il y a quelques années à peine, avait déclaré la guerre aux féministes que ses barons qualifiaient de “ débauchées ”, “ dévergondées ” et “ mécréantes ”. Aussi, son hommage appuyé à toutes les femmes, aux activistes des ONG de défense des droits des femmes et… aux féministes laisse perplexe. Mais, c’est ainsi. La métamorphose du PJD est réelle. Le PJD aime les femmes.
C’est ce que laisse entendre cet autre militant du parti qui souligne que parmi ses membres se trouvent une élite formée de médecins, de juristes et d’universitaires. Toutes représentant la gente féminine.
Dans un brouhaha de slogans, criés à pleines poumons, en faveur de la Palestine, de l’Irak et de la démocratie, les voix de jeunes filles se lancent dans un chant patriotique. Et oui, les femmes chantent au PJD. C’est également un signe de changement.
Le parti est, par ailleurs, intransigeant sur la discipline, digne d’une caserne militaire. Hommes et femmes sont contraints de s’y confirmer. Les procédures d’élections, qui donnent à l’élite du parti le choix de choisir et désigner les candidats aux différents postes dirigeants sont respectés à la lettre. Personne n’y trouve à redire. Dans les couloirs du congrès des hommes habillés de bleu portent sur leurs vestons une inscription qui interpelle : “ Comité de sécurité ”. Et, oui. Tous jeunes, ils sont chargés de veiller à la sécurité.
Comme quoi, on ne plaisante avec la discipline au PJD. Les comités ne manquent pas pour veiller à tous les détails d’organisation d’un congrès que l’on voulait visiblement réussir à tous prise. Pas moins de 16 comités dont les tâches sont réparties avec la plus grande munutie. Y compris la gestion des imprévus est prise en compte. Un comité y est chargé. Libre à lui de trouver les solutions adéquates en temps opportun et surtout sans rien perturber de l’ordre établi.
Un guide est mis à la disposition des congressistes pour prendre connaissance de tous ces détails. C’est du moins ce qui figure parmi les documents distribués à la presse. Celle-ci est traitée avec les plus grands égards. Le parti veut communiquer et le fait plutôt bien. Il utilise pour le moins les outils de communication les plus modernes pour faire passer ses messages.
VCD faisant la promotion de l’image revue et corrigée du parti, site web totalement dédié au congrès et installation informatique pour la transmission directe des résultas des élections prévues lors de ces cinquièmes assises. Un dispositif moderne est mis en place pour relever le pari d’un congrès très suivi.
C’est ce que laisse entendre cet autre militant du parti qui souligne que parmi ses membres se trouvent une élite formée de médecins, de juristes et d’universitaires. Toutes représentant la gente féminine.
Dans un brouhaha de slogans, criés à pleines poumons, en faveur de la Palestine, de l’Irak et de la démocratie, les voix de jeunes filles se lancent dans un chant patriotique. Et oui, les femmes chantent au PJD. C’est également un signe de changement.
Le parti est, par ailleurs, intransigeant sur la discipline, digne d’une caserne militaire. Hommes et femmes sont contraints de s’y confirmer. Les procédures d’élections, qui donnent à l’élite du parti le choix de choisir et désigner les candidats aux différents postes dirigeants sont respectés à la lettre. Personne n’y trouve à redire. Dans les couloirs du congrès des hommes habillés de bleu portent sur leurs vestons une inscription qui interpelle : “ Comité de sécurité ”. Et, oui. Tous jeunes, ils sont chargés de veiller à la sécurité.
Comme quoi, on ne plaisante avec la discipline au PJD. Les comités ne manquent pas pour veiller à tous les détails d’organisation d’un congrès que l’on voulait visiblement réussir à tous prise. Pas moins de 16 comités dont les tâches sont réparties avec la plus grande munutie. Y compris la gestion des imprévus est prise en compte. Un comité y est chargé. Libre à lui de trouver les solutions adéquates en temps opportun et surtout sans rien perturber de l’ordre établi.
Un guide est mis à la disposition des congressistes pour prendre connaissance de tous ces détails. C’est du moins ce qui figure parmi les documents distribués à la presse. Celle-ci est traitée avec les plus grands égards. Le parti veut communiquer et le fait plutôt bien. Il utilise pour le moins les outils de communication les plus modernes pour faire passer ses messages.
VCD faisant la promotion de l’image revue et corrigée du parti, site web totalement dédié au congrès et installation informatique pour la transmission directe des résultas des élections prévues lors de ces cinquièmes assises. Un dispositif moderne est mis en place pour relever le pari d’un congrès très suivi.
