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Il a souligné que le Maroc a une ferme volonté de développer les relations étroites qu'entretiennet les peuples des deux pays, des relations basées sur la sincérité et la préservation des intérêts communs, souhaitant que la 6-ème session de la haute commission soit le point de départ vers la consolidation de ces relations.
M. Azeroual a ajouté que toutes les conditions sont réunies pour promouvoir les relations bilatérales et inaugurer «une nouvelles ère marquée par un esprit de partenariat et par de grandes réalisations ayant des retombées positives sur les deux pays ainsi que sur l'édification de l'Union du Maghreb arabe».
Evoquant le volume des échanges commerciaux entre le Maroc et la Libye, le chef de la délégation marocaine a noté que les chiffres disponibles à ce sujet ne reflètent guère le caractère privilégié des relations politiques entre les deux pays.
A cet égard, M. Azeroual a appelé à la nécessité d'envisager de nouvelles formules pour l'établissement d'une coopération qui englobe tous les secteurs.
Pour sa part, le chef de la délégation libyenne, M. Jamal Al-Bark, directeur de la coopération au comité populaire général chargé des relations extérieures et de la coopération internationale, a exprimé la volonté de son pays de renforcer ses relations avec le Maroc afin de parvenir à une complémentarité dans les différents domaines.
Le responsable libyen a rappelé à ce propos que plusieurs sous-commissions ont tenu leurs réunions entre la session précédente et la session actuelle dans le but promouvoir les échanges commerciaux, encourager les investisseurs, établir des partenariats économiques et consolider la coopération notamment dans les domaines de l'enseignement, la culture et le tourisme.
M. Al-Bark a proposé d'évaluer les programmes établis précédemment, d'examiner ceux qui n'ont pas été mis en oeuvre et de suggérer de nouvelles approches en vue de développer les relations bilatérales, tout en insistant sur l'importance de la tenue régulière de la haute commission mixte pour assurer le suivi de la réalisation des projets arrêtés en commun.
Les deux parties ont convenu d'intégrer les sous-commissions au sein de trois commissions sectorielles, à savoir la commission économique et financière qui examinera notamment l'aspect financier, les échanges commerciaux, les questions douanières, industrielles et d'investissement, la commission des ressources humaines chargée notamment de l'enseignement, de la formation professionnelle, de la justice et de la santé et la commission des infrastructures chargée notamment du transport, de l'habitat et des télécommunications.
Ces réunions préparatoires connaissent la participation de plusieurs responsables gouvernementaux et d'experts des deux pays représentant les secteurs public et privé.
La haute commission mixte maroco-libyenne, qui débutera ses travaux samedi, verra la participation de plusieurs ministres et représentants des institutions publiques et du secteur privé des deux pays.
M. Azeroual a ajouté que toutes les conditions sont réunies pour promouvoir les relations bilatérales et inaugurer «une nouvelles ère marquée par un esprit de partenariat et par de grandes réalisations ayant des retombées positives sur les deux pays ainsi que sur l'édification de l'Union du Maghreb arabe».
Evoquant le volume des échanges commerciaux entre le Maroc et la Libye, le chef de la délégation marocaine a noté que les chiffres disponibles à ce sujet ne reflètent guère le caractère privilégié des relations politiques entre les deux pays.
A cet égard, M. Azeroual a appelé à la nécessité d'envisager de nouvelles formules pour l'établissement d'une coopération qui englobe tous les secteurs.
Pour sa part, le chef de la délégation libyenne, M. Jamal Al-Bark, directeur de la coopération au comité populaire général chargé des relations extérieures et de la coopération internationale, a exprimé la volonté de son pays de renforcer ses relations avec le Maroc afin de parvenir à une complémentarité dans les différents domaines.
Le responsable libyen a rappelé à ce propos que plusieurs sous-commissions ont tenu leurs réunions entre la session précédente et la session actuelle dans le but promouvoir les échanges commerciaux, encourager les investisseurs, établir des partenariats économiques et consolider la coopération notamment dans les domaines de l'enseignement, la culture et le tourisme.
M. Al-Bark a proposé d'évaluer les programmes établis précédemment, d'examiner ceux qui n'ont pas été mis en oeuvre et de suggérer de nouvelles approches en vue de développer les relations bilatérales, tout en insistant sur l'importance de la tenue régulière de la haute commission mixte pour assurer le suivi de la réalisation des projets arrêtés en commun.
Les deux parties ont convenu d'intégrer les sous-commissions au sein de trois commissions sectorielles, à savoir la commission économique et financière qui examinera notamment l'aspect financier, les échanges commerciaux, les questions douanières, industrielles et d'investissement, la commission des ressources humaines chargée notamment de l'enseignement, de la formation professionnelle, de la justice et de la santé et la commission des infrastructures chargée notamment du transport, de l'habitat et des télécommunications.
Ces réunions préparatoires connaissent la participation de plusieurs responsables gouvernementaux et d'experts des deux pays représentant les secteurs public et privé.
La haute commission mixte maroco-libyenne, qui débutera ses travaux samedi, verra la participation de plusieurs ministres et représentants des institutions publiques et du secteur privé des deux pays.
