Le taux de participation était, en effet, la seule grande inconnue de ses élections présidentielles. Le président Poutine candidat à sa propre succession, est désormais assuré de remporter l'élection présidentielle.
Le chef du kremlin avait, lui-même, appelé ses concitoyens à voter massivement en faveur du candidat de leur choix et surtout à éviter l'abstention.
Au niveau des réactions internationales, et avant même la clôture du scrutin, les Etats-Unis se sont interrogés sur l'équité de la campagne au cours de laquelle les médias d'Etat ont fait la part belle au président sortant ainsi que sur la manière dont ce dernier est assuré de l'emporter. «Il faut laisser les candidats avoir tous accès aux médias (...)», a estimé le secrétaire d'Etat Colin Powell sur Fox News.
Vladimir Poutine va disposer de quatre années supplémentaires pour mettre en oeuvre les réformes qu'il a promises: donner à la majorité de la population une part des richesses créées par la croissance économique et poursuivre son travail de «stabilisation» du pays.
Les autres candidats - la libérale Irina Khakamada, le communiste Nikolaï Kharitonov et le nationaliste Sergueï Glaziev - accusent les médias de partialité dans la couverture de la campagne électorale et reprochent à Poutine d'avoir volontairement esquivé tout débat.
Les observateurs étrangers constatent également l'aspect insolite du scrutin dans un pays disposant formellement de tous les outils démocratiques.
Le chef du kremlin avait, lui-même, appelé ses concitoyens à voter massivement en faveur du candidat de leur choix et surtout à éviter l'abstention.
Au niveau des réactions internationales, et avant même la clôture du scrutin, les Etats-Unis se sont interrogés sur l'équité de la campagne au cours de laquelle les médias d'Etat ont fait la part belle au président sortant ainsi que sur la manière dont ce dernier est assuré de l'emporter. «Il faut laisser les candidats avoir tous accès aux médias (...)», a estimé le secrétaire d'Etat Colin Powell sur Fox News.
Vladimir Poutine va disposer de quatre années supplémentaires pour mettre en oeuvre les réformes qu'il a promises: donner à la majorité de la population une part des richesses créées par la croissance économique et poursuivre son travail de «stabilisation» du pays.
Les autres candidats - la libérale Irina Khakamada, le communiste Nikolaï Kharitonov et le nationaliste Sergueï Glaziev - accusent les médias de partialité dans la couverture de la campagne électorale et reprochent à Poutine d'avoir volontairement esquivé tout débat.
Les observateurs étrangers constatent également l'aspect insolite du scrutin dans un pays disposant formellement de tous les outils démocratiques.