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C'est le genre de match qu'on n'aimerait pas voir et surtout ne pas téléviser car il a de quoi décourager plus d'un mordu. Tout était calamiteux à commencer par l'état de la pelouse, l'état des gradins, les prises de vue et la prestation des acteurs. Chercher l'explication reviendrait à savoir qui de la poule et du coq est venu au monde, le premier. En tout cas, le public est resté sur sa faim nonobstant le nombre de buts inscrits qui ne reflètent nullement la physionomie d'un match à classer dans le rayon des navets.
En tout cas, l'ASS n'avait pas droit à l'erreur après une période de vaches maigres qui dure depuis la 18e journée et qui a plongé les poulains de Aziz Khyati dans les profondeurs de la hiérarchie, eux qui faisaient figure de bourreau impitoyable, il y a un an. La victoire était d'autant plus impérative que les Slaouis se sont vu infligés une sanctionné de la part de la Commission des règlements et statuts qui leur a retiré un point suite à l'incorporation d'un joueur qui cumulait deux cartons.
Ils ont introduit un recours en appel pour casser le verdict de la Commission. Pour sa part, la JSM ne pouvait accepter de retraverser le Bouregreg berdouille après une disette qui dure depuis le départ du coach Saad Dahane. Les Sahraouis restaient sur deux défaites, une à Safi et l'autre à Laayoune face aux FAR.
Deux équipes forcément nerveuses qui se sont donc retrouvées sur le gazon teigneux, devant quelque 500 personnes incrédules qui assistaient à deux équipes qui ont passé une mi-temps à rivaliser dans la … maladresse. Les joueurs étaient incapables d'aligner trois passes avant de perdre le ballon au profit de l'adversaire.
La bêtise a atteint son paroxysme quand Borji a botté délibérément son coéquipier, Sina, qui l'a gêné sur le seul ballon dangereux qui s'est offert aux locaux. Il a fallu attendre la 44e mn avant d'assister enfin à un tir lointain de Moussafi qui aurait fait mouche s'il était cadré. Alors que le temps était consommé, le libero slaoui tire maladroitement sur le talon de son coéquipier, le ballon revient chez Saqim trop heureux du présent providentiel qui n'eut qu'à glisser tranquillement dans la cage de l'infortuné gardien Rmili.
Un but entaché d'une petite poussée de Saqim que M. Slimane Brahmi n'a pas vue. Un but venu à moment psychologique très important. Moussafi a failli effacer cette avance avant le terme du premier half quand il préféra tirer sur un défenseur au lieu de viser les bois.
A quelque chose malheur est bon pour les Slaouis qui vont entamer la seconde manche à toute allure, visiblement secoués par leur coach pendant le repos. Le pressing n'a pas tardé à porter ses fruits, prématurément même, à la suite d'une faute inutile de Khalis sur Qabli à l'orée de la surface de réparation.
Issam Rifaî qui vient de suppléer Diop, fit preuve d'une grande adresse, décrochant un ballon lifté qui logea dans la lucarne après avoir blessé au passage le gardien Derbani (54e). Celui-ci cédera sa place à Bounouara. Le match est enfin emballé, comme par enchantement, mais sans se départir des imperfections qui l'ont caractérisé.
Moussafi s'offrit deux opportunités franches qu'il rata tour à tour. Il aura finalement gain de cause sur la 3e. C'était à la suite d'une faute sur Qabli qui effectua lui-même l'ouverture millimétrée sur Moussafi qui réussit l'amorti à la Zidane et libérer gradins et banc de touche (73e). Qabli n'avait pas arrêté le ballon avant d'effectuer la passe libératrice.
L'acquis a failli toutefois partir en fumée quand un ballon aérien anodin a atterri sur la transversale de la cage slaouie (78e). Le jusqu'au boutisme des Sahraouis ne sera d'aucun effet face à la double muraille défensive locale, hermétiquement close.
En tout cas, l'ASS n'avait pas droit à l'erreur après une période de vaches maigres qui dure depuis la 18e journée et qui a plongé les poulains de Aziz Khyati dans les profondeurs de la hiérarchie, eux qui faisaient figure de bourreau impitoyable, il y a un an. La victoire était d'autant plus impérative que les Slaouis se sont vu infligés une sanctionné de la part de la Commission des règlements et statuts qui leur a retiré un point suite à l'incorporation d'un joueur qui cumulait deux cartons.
Ils ont introduit un recours en appel pour casser le verdict de la Commission. Pour sa part, la JSM ne pouvait accepter de retraverser le Bouregreg berdouille après une disette qui dure depuis le départ du coach Saad Dahane. Les Sahraouis restaient sur deux défaites, une à Safi et l'autre à Laayoune face aux FAR.
Deux équipes forcément nerveuses qui se sont donc retrouvées sur le gazon teigneux, devant quelque 500 personnes incrédules qui assistaient à deux équipes qui ont passé une mi-temps à rivaliser dans la … maladresse. Les joueurs étaient incapables d'aligner trois passes avant de perdre le ballon au profit de l'adversaire.
La bêtise a atteint son paroxysme quand Borji a botté délibérément son coéquipier, Sina, qui l'a gêné sur le seul ballon dangereux qui s'est offert aux locaux. Il a fallu attendre la 44e mn avant d'assister enfin à un tir lointain de Moussafi qui aurait fait mouche s'il était cadré. Alors que le temps était consommé, le libero slaoui tire maladroitement sur le talon de son coéquipier, le ballon revient chez Saqim trop heureux du présent providentiel qui n'eut qu'à glisser tranquillement dans la cage de l'infortuné gardien Rmili.
Un but entaché d'une petite poussée de Saqim que M. Slimane Brahmi n'a pas vue. Un but venu à moment psychologique très important. Moussafi a failli effacer cette avance avant le terme du premier half quand il préféra tirer sur un défenseur au lieu de viser les bois.
A quelque chose malheur est bon pour les Slaouis qui vont entamer la seconde manche à toute allure, visiblement secoués par leur coach pendant le repos. Le pressing n'a pas tardé à porter ses fruits, prématurément même, à la suite d'une faute inutile de Khalis sur Qabli à l'orée de la surface de réparation.
Issam Rifaî qui vient de suppléer Diop, fit preuve d'une grande adresse, décrochant un ballon lifté qui logea dans la lucarne après avoir blessé au passage le gardien Derbani (54e). Celui-ci cédera sa place à Bounouara. Le match est enfin emballé, comme par enchantement, mais sans se départir des imperfections qui l'ont caractérisé.
Moussafi s'offrit deux opportunités franches qu'il rata tour à tour. Il aura finalement gain de cause sur la 3e. C'était à la suite d'une faute sur Qabli qui effectua lui-même l'ouverture millimétrée sur Moussafi qui réussit l'amorti à la Zidane et libérer gradins et banc de touche (73e). Qabli n'avait pas arrêté le ballon avant d'effectuer la passe libératrice.
L'acquis a failli toutefois partir en fumée quand un ballon aérien anodin a atterri sur la transversale de la cage slaouie (78e). Le jusqu'au boutisme des Sahraouis ne sera d'aucun effet face à la double muraille défensive locale, hermétiquement close.
