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La Fédération Royale marocaine de lutte est à pied d'œuvre et prépare intensément le 24e Championnat d'Afrique prévu à Casablanca du 12 au 15 mai prochain et qui comprendra les trois styles de cette discipline (gréco-romaine, lutte libre et lutte féminine).
Au cours d'une conférence de presse tenue récemment, le président de la FRML, Hadj Mohamed Ibn Zouhir, a souligné que l'organisation de cette manifestation a été confiée au Maroc lors du congrès de la FIFA tenu en août dernier à Athènes.
Le président de la FRML a, par ailleurs, décrit le cheminement et les principales étapes de la candidature du Maroc pour l'organisation de ce grand forum sportif continental.
M. Ibn Zouhir a rappelé que Casablanca abritera ce Championnat d'Afrique de lutte sous la nouvelle formule adoptée par la FILA et qui consiste à donner plus d'éclat et de rayonnement à cette discipline olympique.
Ainsi, les règlements de la lutte qui ont connu de grands changements aussi bien dans le système de compétition que dans le fonctionnement de l'arbitrage seront appliqués, pour la première fois, à Casablanca.
D'un autre côté, le président de la FRML a mis en exergue le soutien moral et matériel octroyé par la Fédération internationale pour aider le Maroc à organiser dans les meilleures conditions cet événement continental.
Ainsi, la FRML a reçu deux tapis neufs de lutte (une première dans un pays membre de la FILA). D'un autre côté, et pour diminuer les frais d'organisation de ce championnat, la FILA a réduit le nombre de ses représentants à Casablanca (4 au lieu de 7).
Par ailleurs, le président Hadj Ibn Zouhir et le docteur Abdelghani Chahi ont été désignés respectivement délégué technique et responsable du contrôle anti-dopage de la FILA.
Ce 24e Championnat d'Afrique sera par ailleurs présidé par M. Martinetti et Dusson respectivement président et secrétaire général de la FILA.
Le président Ibn Zahir a enfin noté que le coût approximatif de ces championnats qui verront également la tenue du congrès de la CALA, est estimé à 800.000 DH.
Mekki El Ofir, président de la commission technique et d'arbitrage assisté de Ali Belyaghayri, Brahim Loksaïri et Khalid Fakhari encadreurs respectivement des équipes nationales libre, gréco-romaine et féminine, a donné un aperçu sur la préparation de nos représentants à ce championnat.
Ainsi, un stage de deux mois a été organisé au complexe sportif de Bourgogne et a groupé une trentaine des meilleurs lutteurs du moment dans les trois styles.
Parlant des concentrations hors frontières, El Ofir a tenu à souligner que depuis ces 4 dernières années, il devient de plus en plus difficile de suivre des stages à l'étranger d'abord par manque de moyens financiers en temps voulu (le coût du stage est évalué à 60 dollars par jour et par personne).
D'un autre côté, l'octroi des visas devient un parcours du combattant par les temps qui courent.
Ajouter à cela les moyens financiers de fonctionnement dans lesquels se débattent les associations sportives affiliées à la fédération qui ne permettent pas un choix plus varié des lutteurs.
Malgré toutes les embûches rencontrées, les lutteurs se préparent dans des conditions convenables, les encadreurs veillent sérieusement à leur préparation. Ils auront leur mot à dire lors de ce championnat.
Pour répondre à une question concernant le contrôle antidopage, le Dr. Chahi a tenu à préciser que, encore une fois, les démarches de la FILA ont abouti à la réduction des lutteurs soumis au contrôle antidopage qui concernent uniquement un lutteur par catégorie (21 lutteurs au lieu de 63 prévus initialement).
Ce qui a pour conséquence de réduire énormément le coût occasionné par ce contrôle.
Le centre antidopage de Tunis agrée pour ce genre d'opération expédiera au Maroc le matériel nécessaire alors que le technicien sera fourni par un laboratoire marocain sous la supervision du Dr Chahi, médecin de la FILA.
Au cours d'une conférence de presse tenue récemment, le président de la FRML, Hadj Mohamed Ibn Zouhir, a souligné que l'organisation de cette manifestation a été confiée au Maroc lors du congrès de la FIFA tenu en août dernier à Athènes.
Le président de la FRML a, par ailleurs, décrit le cheminement et les principales étapes de la candidature du Maroc pour l'organisation de ce grand forum sportif continental.
M. Ibn Zouhir a rappelé que Casablanca abritera ce Championnat d'Afrique de lutte sous la nouvelle formule adoptée par la FILA et qui consiste à donner plus d'éclat et de rayonnement à cette discipline olympique.
Ainsi, les règlements de la lutte qui ont connu de grands changements aussi bien dans le système de compétition que dans le fonctionnement de l'arbitrage seront appliqués, pour la première fois, à Casablanca.
D'un autre côté, le président de la FRML a mis en exergue le soutien moral et matériel octroyé par la Fédération internationale pour aider le Maroc à organiser dans les meilleures conditions cet événement continental.
Ainsi, la FRML a reçu deux tapis neufs de lutte (une première dans un pays membre de la FILA). D'un autre côté, et pour diminuer les frais d'organisation de ce championnat, la FILA a réduit le nombre de ses représentants à Casablanca (4 au lieu de 7).
Par ailleurs, le président Hadj Ibn Zouhir et le docteur Abdelghani Chahi ont été désignés respectivement délégué technique et responsable du contrôle anti-dopage de la FILA.
Ce 24e Championnat d'Afrique sera par ailleurs présidé par M. Martinetti et Dusson respectivement président et secrétaire général de la FILA.
Le président Ibn Zahir a enfin noté que le coût approximatif de ces championnats qui verront également la tenue du congrès de la CALA, est estimé à 800.000 DH.
Mekki El Ofir, président de la commission technique et d'arbitrage assisté de Ali Belyaghayri, Brahim Loksaïri et Khalid Fakhari encadreurs respectivement des équipes nationales libre, gréco-romaine et féminine, a donné un aperçu sur la préparation de nos représentants à ce championnat.
Ainsi, un stage de deux mois a été organisé au complexe sportif de Bourgogne et a groupé une trentaine des meilleurs lutteurs du moment dans les trois styles.
Parlant des concentrations hors frontières, El Ofir a tenu à souligner que depuis ces 4 dernières années, il devient de plus en plus difficile de suivre des stages à l'étranger d'abord par manque de moyens financiers en temps voulu (le coût du stage est évalué à 60 dollars par jour et par personne).
D'un autre côté, l'octroi des visas devient un parcours du combattant par les temps qui courent.
Ajouter à cela les moyens financiers de fonctionnement dans lesquels se débattent les associations sportives affiliées à la fédération qui ne permettent pas un choix plus varié des lutteurs.
Malgré toutes les embûches rencontrées, les lutteurs se préparent dans des conditions convenables, les encadreurs veillent sérieusement à leur préparation. Ils auront leur mot à dire lors de ce championnat.
Pour répondre à une question concernant le contrôle antidopage, le Dr. Chahi a tenu à préciser que, encore une fois, les démarches de la FILA ont abouti à la réduction des lutteurs soumis au contrôle antidopage qui concernent uniquement un lutteur par catégorie (21 lutteurs au lieu de 63 prévus initialement).
Ce qui a pour conséquence de réduire énormément le coût occasionné par ce contrôle.
Le centre antidopage de Tunis agrée pour ce genre d'opération expédiera au Maroc le matériel nécessaire alors que le technicien sera fourni par un laboratoire marocain sous la supervision du Dr Chahi, médecin de la FILA.
