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On notera parmi les séquences significatives le rappel fait par S.M. le Roi Juan Carlos 1er de la disposition de l'Espagne à aider au rapprochement des positions des parties concernées afin de trouver une solution consensuelle, juste et définitive à la question du Sahara.
Le Souverain a précisé qu'une telle solution revêt un «intérêt particulier» pour son pays. S.M. le Roi Juan Carlos a insisté, à cet égard, sur la volonté de son pays à contribuer «au rapprochement des positions en vue de parvenir à une solution consensuelle, juste, définitive et négociée par toutes les parties concernées dans le cadre de la légalité internationale et des efforts des Nations unies».
Et S.M. Juan Carlos d'ajoutrer : «Nous avons foi à ce que l'intégration nécessaire du Maghreb soit menée à bout le plus tôt possible. Nous sommes également confiants en la possibilité de trouver prochainement des voies pour parvenir à une solution du problème du Sahara».
Le Souverain espagnol commençait son discours, lors de cette session spéciale qui réunissait les deux chambres du Parlement, par rappeler l'histoire commune, une histoire longue et complexe qu'il faut connaître, dit-il, afin de mieux saisir la densité des relations entre le Maroc et l'Espagne.
L'histoire de huit siècles, partagée entre le Maroc et l'Espagne, et représentée par une civilisation commune, vécue à travers un échange et le partage d'expériences ayant présidé à l'émergence depuis des siècles d'un ensemble géopolitique et culturel cohérent. La civilisation andalouse, patrimoine commun de l'Espagne et du monde arabe, constitue un élément de fierté pour les deux peuples, a encore souligné le Souverain espagnol.
C'est en raison d'une histoire partagée et d'un futur commun, d'une proximité géographique et de défis conjoints que le Maroc représente un partenaire stratégique que l'on suit avec l'intérêt qu'il faut. S.M. Juan Carlos a rappelé, également, un élément essentiel dans les relations maroco-espagnoles, et qui, à ses yeux, devrait dicter l'orientation à donner à ces relations.
Cet élément fondamental n'est autre que le traité d'amitié, de bon voisinage et de coopération, signé entre les deux pays en 1991. Ce traité trace le cadre pour des relations positives et consacre la volonté de concorde entre nos deux peuples. Ce sont ces fondements que "la visite d'Etat entend impulser dans toute sa plénitude, l'esprit et les possibilités qu'elle offre", souligne S.M. Juan Carlos.
Le Souverain a précisé qu'une telle solution revêt un «intérêt particulier» pour son pays. S.M. le Roi Juan Carlos a insisté, à cet égard, sur la volonté de son pays à contribuer «au rapprochement des positions en vue de parvenir à une solution consensuelle, juste, définitive et négociée par toutes les parties concernées dans le cadre de la légalité internationale et des efforts des Nations unies».
Et S.M. Juan Carlos d'ajoutrer : «Nous avons foi à ce que l'intégration nécessaire du Maghreb soit menée à bout le plus tôt possible. Nous sommes également confiants en la possibilité de trouver prochainement des voies pour parvenir à une solution du problème du Sahara».
Le Souverain espagnol commençait son discours, lors de cette session spéciale qui réunissait les deux chambres du Parlement, par rappeler l'histoire commune, une histoire longue et complexe qu'il faut connaître, dit-il, afin de mieux saisir la densité des relations entre le Maroc et l'Espagne.
L'histoire de huit siècles, partagée entre le Maroc et l'Espagne, et représentée par une civilisation commune, vécue à travers un échange et le partage d'expériences ayant présidé à l'émergence depuis des siècles d'un ensemble géopolitique et culturel cohérent. La civilisation andalouse, patrimoine commun de l'Espagne et du monde arabe, constitue un élément de fierté pour les deux peuples, a encore souligné le Souverain espagnol.
C'est en raison d'une histoire partagée et d'un futur commun, d'une proximité géographique et de défis conjoints que le Maroc représente un partenaire stratégique que l'on suit avec l'intérêt qu'il faut. S.M. Juan Carlos a rappelé, également, un élément essentiel dans les relations maroco-espagnoles, et qui, à ses yeux, devrait dicter l'orientation à donner à ces relations.
Cet élément fondamental n'est autre que le traité d'amitié, de bon voisinage et de coopération, signé entre les deux pays en 1991. Ce traité trace le cadre pour des relations positives et consacre la volonté de concorde entre nos deux peuples. Ce sont ces fondements que "la visite d'Etat entend impulser dans toute sa plénitude, l'esprit et les possibilités qu'elle offre", souligne S.M. Juan Carlos.
