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L'opération Intilaka permettra à la masse salariale de la fonction publique de baisser sensiblement. En effet, elle enregistrera en 2006 un recul de 13 à 11,8% du Produit intérieur brut (PIB), la première du genre dans l'histoire de l'Administration publique marocaine.
Dans le cadre du programme de mise à niveau de l'économie programmé sur plusieurs années et suite à des recommandations prônées par la Banque mondiale et le FMI, les dépenses publiques devraient être maîtrisées et rationalisées de manière à ce que le rythme de leur progression soit inférieur à celui des recettes fiscales. Dans ce sens, les pouvoirs publics comptent réduire le poids de la masse salariale à moyen terme à moins de 10% du PIB. Les actions initiées concernent notamment l'encouragement des départs anticipés à la retraite à travers l'opération Intilaka qui a connu un grand succès, la limitation des recrutements au renouvellement partiel des départs à la retraite et le redéploiement du personnel de l'Etat.
Par ailleurs, M. Boussaid a tenu à signaler que ces départs n'auront pas de répercussions négatives sur le fonctionnement de l'Administration.
Pourtant, certains secteurs comme celui de la santé publique ont été les plus touchés par l'opération : les partants sont au nombre de 2.181. Plus de 10% des départs volontaires, soit exactement 236 praticiens soit plus de la moyenne demandée.
Dans le cadre du programme de mise à niveau de l'économie programmé sur plusieurs années et suite à des recommandations prônées par la Banque mondiale et le FMI, les dépenses publiques devraient être maîtrisées et rationalisées de manière à ce que le rythme de leur progression soit inférieur à celui des recettes fiscales. Dans ce sens, les pouvoirs publics comptent réduire le poids de la masse salariale à moyen terme à moins de 10% du PIB. Les actions initiées concernent notamment l'encouragement des départs anticipés à la retraite à travers l'opération Intilaka qui a connu un grand succès, la limitation des recrutements au renouvellement partiel des départs à la retraite et le redéploiement du personnel de l'Etat.
Par ailleurs, M. Boussaid a tenu à signaler que ces départs n'auront pas de répercussions négatives sur le fonctionnement de l'Administration.
Pourtant, certains secteurs comme celui de la santé publique ont été les plus touchés par l'opération : les partants sont au nombre de 2.181. Plus de 10% des départs volontaires, soit exactement 236 praticiens soit plus de la moyenne demandée.
