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Le Front des forces socialistes (FFS) du vieil opposant Hocine Aït Ahmed a appelé au boycottage du référendum sur "un projet de charte pour la paix et la réconciliation" prévu le 29 septembre, dans un communiqué reçu dimanche par l'AFP.
Le FFS "appelle les Algériennes et Algériens épris de paix, de justice, et de vérité à se démarquer de la tromperie historique qui ne fait qu'aggraver la crise", selon ce texte qui précise que le parti "se prononce pour une campagne imaginative et active des structures, des militants et sympathisants pour la réussite du boycott du scrutin".
"Le projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale dicté unilatéralement par le cercle des décideurs est un acte de guerre contre la société qui va aggraver les haines et les ressentiments", a estimé le FFS.
Il a ajouté qu'"il ne peut cautionner un texte qui glorifie la force et déclasse la médiation politique, consacre l'impunité et l'amnésie, et enfin qui négocie la douleur et la souffrance".
Ce projet "n'est qu'un stratagème destiné à ceux et celles parmi l'opinion publique nationale et internationale qui veulent encore se laisser manipuler et tromper, qui consiste à absoudre les coupables de crimes et culpabiliser les victimes, et à amalgamer les causes et les effets de la crise algérienne", selon la même source.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika avait annoncé, le 14 août, ce référendum destiné à "faire cesser l'effusion du sang" en Algérie, confrontée depuis plus d'une décennie aux violences des groupes armés islamistes qui ont fait plus de 150.000 morts, selon un bilan officiel.
Le FFS "appelle les Algériennes et Algériens épris de paix, de justice, et de vérité à se démarquer de la tromperie historique qui ne fait qu'aggraver la crise", selon ce texte qui précise que le parti "se prononce pour une campagne imaginative et active des structures, des militants et sympathisants pour la réussite du boycott du scrutin".
"Le projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale dicté unilatéralement par le cercle des décideurs est un acte de guerre contre la société qui va aggraver les haines et les ressentiments", a estimé le FFS.
Il a ajouté qu'"il ne peut cautionner un texte qui glorifie la force et déclasse la médiation politique, consacre l'impunité et l'amnésie, et enfin qui négocie la douleur et la souffrance".
Ce projet "n'est qu'un stratagème destiné à ceux et celles parmi l'opinion publique nationale et internationale qui veulent encore se laisser manipuler et tromper, qui consiste à absoudre les coupables de crimes et culpabiliser les victimes, et à amalgamer les causes et les effets de la crise algérienne", selon la même source.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika avait annoncé, le 14 août, ce référendum destiné à "faire cesser l'effusion du sang" en Algérie, confrontée depuis plus d'une décennie aux violences des groupes armés islamistes qui ont fait plus de 150.000 morts, selon un bilan officiel.
