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Le deuxième congrès national du Collège National des Médecins Stomatologistes chirurgiens Maxillo-faciaux et Esthéticiens de la Face du Maroc organisé les 11 et 12 derniers à Casablanca a consacré une part fondamentale à l'implantation faciale. Une technique de chirurgie préprothétique qui apporte une solution efficace aux édentations unitaires, partielles ou totales.
En clair, un implant dentaire est une racine artificielle insérée dans l'os de la mâchoire et destinée à créer un ancrage résistant et durable sur lequel le praticien adapte secondairement un élément prothétique (la ou les fausses dents). C'est au début des années 1980 que des progrès significatifs ont été accomplis dans le domaine de l'implantologie orale. Aujourd'hui, cette discipline de pointe marque une sorte de révolution dans le domaine de l'odonto-stomatologie.
Le congrès a offert aux spécialistes marocains, français, espagnols, tunisiens et roumains la possibilité d'échanger leurs expériences particulièrement sur cette discipline clinique qui suscite une intense activité de recherche. Elle a également permis la création d'une Fédération internationale d'implantologie faciale. Le but est de soutenir les besoins d'apprentissage continu des praticiens pour leur permettre de prodiguer les meilleurs soins possibles à travers des congrès qui seront organisés tous les deux ans dans l'un des pays membre de la fédération mais également à travers des formations qui seront assurées par les conférenciers en marge de ces mêmes rencontres.
D'ailleurs, la première promotion des praticiens marocains années 2004-2005 qui a obtenu le certificat inter-universitaire d'implantologie orale a bénéficié dans le cadre de ce congrès d'une formation clinique du 06 au 10 novembre au service de stomatologie et de chirurgie maxillo-Faciales à l'hôpital 20 Août (CHU De Casablanca sous la direction du Pr A. Chekkoury Idrrissi, chef de ce service, le Pr Yves Commission, chef de service de stomatologie et de chirurgie maxillo-Faciales à l'hôpital Cochin( France), Pr Norina Forna, doyenne de la faculté de stomatologie de Iasi (Roumanie), le Pr Francis André Poulmaire, président de la société française des biomatériaux et système implantable à Paris ainsi que plusieurs autres spécialistes des facultés de médecine de Casablanca et de Rabat. «Former des praticiens qui désirent pratiquer l'implantologie faciale et orale, les instruire des limites organiques-biologiques, et leur donner les notions avancées des possibilités qu'offre l'implantologie orale et maxillo-faciale est notre principal objectif», ont précisé les intervenants du congrès.
L'implantologie orale nécessite en effet, des notions très appronfondies de réhabilitation orale prothétique, d'orthodontie, de parodontologie, d'anatomie et de chirurgie orale, de métabolisme osseux, d'interaction des tissus vivants-biomatériaux,...
Elle nécessite également un partenariat thérapeutique associant à l'équipe implantaire le radiologue et le technicien de laboratoire. Cette équipe chirurgicale et prothétique sollicite les potentialités d'autres disciplines (parodontologie, l'orthodontie….). Le Pr Chekoury demande aux praticiens d'être vigilants et de s'abstenir d'effectuer toute intervention dont l'importance excéderait les limites de l'enseignement acquis lors de leur formation et leurs propres capacités techniques concrètes.
Sur un autre registre, le congrès a fourni aux spécialistes une occasion pour faire le point sur les nouvelles techniques de rajeunissements, notamment le lifting cervico-facial et dermo-cosmétologie qui connaissent un essor sans précédent. La chirurgie esthétique et la dermo-cosmétologie sont devenues des pratiques courantes et même incontournables dans l'arsenal thérapeutique «anti-âge». Elles s'adressaient autrefois essentiellement aux Stars soucieuses de leur apparence mais depuis quelques années, de plus en plus de personnes se sentent
concernées et leurs demandes ne cessent de croître. Le désir et le besoin de rester compétitif tant sur le plan professionnel que personnel a développé ce processus qui tend à devenir pour beaucoup une nécessité car notre époque exige compétence et jeunesse. Tant mieux puisque le vieillissement ne constitue plus une fatalité impossible à surmonter.
Il existe, en effet, des techniques chirurgicales, non chirurgicales et une grande variété de produits pour entretenir, soigner et réparer l'outrage du temps. Ces techniques existent au Maroc avec des compétences avérées. Mais pour des résultats performants, tous les spécialistes dans le domaine doivent travailler ensemble.
Un intervenant français a en effet, déclaré que le rôle, par exemple du dermatologue par rapport au chirurgien plasticien est indispensable. Elle a précisé que «le dermatologue doit intervenir aussi bien avant qu'après l'acte chirurgical pour permettre un résultat plus complet et plus harmonieux».
En clair, un implant dentaire est une racine artificielle insérée dans l'os de la mâchoire et destinée à créer un ancrage résistant et durable sur lequel le praticien adapte secondairement un élément prothétique (la ou les fausses dents). C'est au début des années 1980 que des progrès significatifs ont été accomplis dans le domaine de l'implantologie orale. Aujourd'hui, cette discipline de pointe marque une sorte de révolution dans le domaine de l'odonto-stomatologie.
Le congrès a offert aux spécialistes marocains, français, espagnols, tunisiens et roumains la possibilité d'échanger leurs expériences particulièrement sur cette discipline clinique qui suscite une intense activité de recherche. Elle a également permis la création d'une Fédération internationale d'implantologie faciale. Le but est de soutenir les besoins d'apprentissage continu des praticiens pour leur permettre de prodiguer les meilleurs soins possibles à travers des congrès qui seront organisés tous les deux ans dans l'un des pays membre de la fédération mais également à travers des formations qui seront assurées par les conférenciers en marge de ces mêmes rencontres.
D'ailleurs, la première promotion des praticiens marocains années 2004-2005 qui a obtenu le certificat inter-universitaire d'implantologie orale a bénéficié dans le cadre de ce congrès d'une formation clinique du 06 au 10 novembre au service de stomatologie et de chirurgie maxillo-Faciales à l'hôpital 20 Août (CHU De Casablanca sous la direction du Pr A. Chekkoury Idrrissi, chef de ce service, le Pr Yves Commission, chef de service de stomatologie et de chirurgie maxillo-Faciales à l'hôpital Cochin( France), Pr Norina Forna, doyenne de la faculté de stomatologie de Iasi (Roumanie), le Pr Francis André Poulmaire, président de la société française des biomatériaux et système implantable à Paris ainsi que plusieurs autres spécialistes des facultés de médecine de Casablanca et de Rabat. «Former des praticiens qui désirent pratiquer l'implantologie faciale et orale, les instruire des limites organiques-biologiques, et leur donner les notions avancées des possibilités qu'offre l'implantologie orale et maxillo-faciale est notre principal objectif», ont précisé les intervenants du congrès.
L'implantologie orale nécessite en effet, des notions très appronfondies de réhabilitation orale prothétique, d'orthodontie, de parodontologie, d'anatomie et de chirurgie orale, de métabolisme osseux, d'interaction des tissus vivants-biomatériaux,...
Elle nécessite également un partenariat thérapeutique associant à l'équipe implantaire le radiologue et le technicien de laboratoire. Cette équipe chirurgicale et prothétique sollicite les potentialités d'autres disciplines (parodontologie, l'orthodontie….). Le Pr Chekoury demande aux praticiens d'être vigilants et de s'abstenir d'effectuer toute intervention dont l'importance excéderait les limites de l'enseignement acquis lors de leur formation et leurs propres capacités techniques concrètes.
Sur un autre registre, le congrès a fourni aux spécialistes une occasion pour faire le point sur les nouvelles techniques de rajeunissements, notamment le lifting cervico-facial et dermo-cosmétologie qui connaissent un essor sans précédent. La chirurgie esthétique et la dermo-cosmétologie sont devenues des pratiques courantes et même incontournables dans l'arsenal thérapeutique «anti-âge». Elles s'adressaient autrefois essentiellement aux Stars soucieuses de leur apparence mais depuis quelques années, de plus en plus de personnes se sentent
concernées et leurs demandes ne cessent de croître. Le désir et le besoin de rester compétitif tant sur le plan professionnel que personnel a développé ce processus qui tend à devenir pour beaucoup une nécessité car notre époque exige compétence et jeunesse. Tant mieux puisque le vieillissement ne constitue plus une fatalité impossible à surmonter.
Il existe, en effet, des techniques chirurgicales, non chirurgicales et une grande variété de produits pour entretenir, soigner et réparer l'outrage du temps. Ces techniques existent au Maroc avec des compétences avérées. Mais pour des résultats performants, tous les spécialistes dans le domaine doivent travailler ensemble.
Un intervenant français a en effet, déclaré que le rôle, par exemple du dermatologue par rapport au chirurgien plasticien est indispensable. Elle a précisé que «le dermatologue doit intervenir aussi bien avant qu'après l'acte chirurgical pour permettre un résultat plus complet et plus harmonieux».
