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C'est une véritable et forte impulsion Royale à l'émergence et au décollage de la ville, c'est également un souffle renouvelé aux nombreux projets économiques, sociaux, culturels et humains. Poursuivant ainsi la tournée entamée lundi dans la province d'Oujda, Sa Majesté le Roi Mohammed VI multiplie les initiatives de développement et de rénovation.
Après le lancement de l'ambitieux programme de mise à niveau urbaine de la ville, nécessitant une impressionnante enveloppe budgétaire de 1,27 milliard de dirhams, destinée notamment à réhabiliter de manière significative l'ancienne médina, laissée à l'abandon alors qu'elle incarne l'âme de la cité, accompagné également de la création d'un ensemble d'espaces verts et favorisant le restructuration de foyers jugés précaires, le Souverain a continué mardi sur la même lancée d'innovations, parachevant, ce faisant, une démarche dont la logique et le bon sens interpellent tout un chacun : après les structures spatiales, l'environnement, l'assainissement, enfin le cadre existentiel pour une meilleure qualité de vie.
On ne peut pas ne pas saisir la dimension humaine d'un vaste plan de développement articulé sur une multidimensionnalité infrastructurelle, financière et humaine dont la cohérence est à la mesure des enjeux. On ne peut non plus s'empêcher de souligner que les transformations opérées chaque jour, tendant à l'objectif ultime de favoriser les conditions d'un développement global, répondent en écho aux aspirations des habitants de l'Oriental dont l'irréductible attachement à la Monarchie ne s'est jamais démenti.
On mesure à quel point l'initiative Royale, inspirée d'une grande vision humaniste, a toujours constitué le vecteur d'une espérance collective et mobilise avec une continuité remarquable les énergies et les talents. Elle s'identifie à une pédagogie de l'espoir qui a la caractéristique d'associer les acteurs de la société civile, l'Etat, les institutions comme le Fonds Hassan II et la Fondation Mohammed V pour la solidarité, constamment aux avant-postes, chacune à sa manière, le secteur privé.
Elle incarne enfin une ambition nationale dont le trait dominant est de nous faire redresser, de nous inspirer et de nourrir la nation des innovations majeures qui marquent le nouveau siècle. L'enjeu est d'autant plus significatif qu'aux yeux de S.M. le Roi Mohammed VI, il n'est de développement que global, intégré, harmonieux et équitable. Qu'ensuite, il n'est pas d'antinomie ou de distorsion entre le centre et la périphérie, la ville et la campagne, les agglomérations urbaines et les populations rurales.
Conscient, en effet, d'un tel impératif, qui s'apparente à vrai dire à une vertueuse dialectique, le Souverain prend à bras-le-corps le destin, se fraie le chemin du défi, érige ainsi la proximité au niveau d'une politique d'Etat – ce qui au passage nous déshabitue des discussions feutrées -, part à la conquête du terrain, s'enquiert avec assiduité des problématiques, parcourt le terrain en friche des projets, enfin donne aussitôt la réplique. Volonté d'homme et de Roi qui, aussitôt arrivé lundi à Oujda, s'est lancé au pas de course sur le terrain et les sites de travail. Les décisions d'en haut, institutionnelles dirions-nous, raccourcissent à notre bonheur le parcours et échappent au maquis bureaucratique.
Comment ne pas se rendre à cette évidence que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a réinventé la politique dans sa noblesse, affermi le rapport consubstantiel entre le Trône et le peuple, rendu justice à des populations recluses dans une inadmissible ignorance, redonné confiance aux millions de jeunes qui, c'est le moins que l'on puisse dire, s'identifient en lui avec enthousiasme et un volontarisme à toute épreuve.
La province d'Oujda, enclavée pendant longtemps entre l'Algérie et l'étendue aride de Guercif, nous offre à présent, l'accueil enthousiaste réservé à S.M. le Roi en témoigne, la preuve de sa motivation et de son patriotisme. La restructuration urbanistique de la ville, mobilisant des moyens financiers considérables est corroborée également par une importante initiative , celle de mettre en œuvre l'assainissement liquide de la ville et des projets environnementaux qui mobilisent une enveloppe budgétaire de l'ordre de 511 millions de dirhams.
L'approvisionnement en eau, appuyée sur l'extension, le renforcement et le renouvellement du réseau ; la protection de la ville contre les inondations ; transport et épuration des eaux usées enfin, tous ces paramètres s'intègrent dans un schéma global et imbriqué du programme d'assainissement liquide de la ville d'Oujda. Ce ne sont pas seulement des moyens financiers significatifs qui ont été engagés pour leur réalisation, mais c'est aussi, surtout, la sollicitude Royale qui y préside. C'est enfin la volonté de restaurer l'équilibre écologique sur la base d'une pertinente relance urbaine de la ville, conformément aux impératifs de modernité et de cohésion mais aussi d'une croissance où le facteur de santé et d'hygiène devient le corollaire naturel.
Ce n'est pas pécher par un truisme que d'affirmer que le Souverain entend concilier ici croissance durable, disons développement et sauvegarde de l'environnement, de réguler entre deux impératifs qui, pour être à première vue antinomiques, n'en sont pas moins de nos jours les deux pôles d'une même exigence : la dignité sociale.
Près d'un demi-million de personnes apprécieront dans leur vie quotidienne l'impact de telles initiatives qui s'apparentent à des réformes profondes, urbanistiques, environnementales, architecturales, spatio-temporelles et, participant de la même dynamique, esthétiques. C'est dire que, sollicitude Royale exige, la conurbation d'Oujda connaîtra désormais une transfiguration digne de son histoire et de son patrimoine, qui épouse son temps et rattrapera le retard causé par une marginalisation dans laquelle elle a été confinée, laissant la voie libre aux ressentiments exacerbés et au désespoir.
La visite que S.M. le Roi Mohammed VI a effectuée en mars 2003 avait provoqué un effet d'entraînement évident au niveau de la restauration de la confiance entre l'Etat et les populations. Le discours Royal avait constitué un véritable appel d'air, un vaste programme d'orientation qui a nourri les espoirs collectifs et les projets portés par une dynamique dont S.M. le Roi incarne à la fois la force, le rempart inexpugnable et l'inspirateur.
Après le lancement de l'ambitieux programme de mise à niveau urbaine de la ville, nécessitant une impressionnante enveloppe budgétaire de 1,27 milliard de dirhams, destinée notamment à réhabiliter de manière significative l'ancienne médina, laissée à l'abandon alors qu'elle incarne l'âme de la cité, accompagné également de la création d'un ensemble d'espaces verts et favorisant le restructuration de foyers jugés précaires, le Souverain a continué mardi sur la même lancée d'innovations, parachevant, ce faisant, une démarche dont la logique et le bon sens interpellent tout un chacun : après les structures spatiales, l'environnement, l'assainissement, enfin le cadre existentiel pour une meilleure qualité de vie.
On ne peut pas ne pas saisir la dimension humaine d'un vaste plan de développement articulé sur une multidimensionnalité infrastructurelle, financière et humaine dont la cohérence est à la mesure des enjeux. On ne peut non plus s'empêcher de souligner que les transformations opérées chaque jour, tendant à l'objectif ultime de favoriser les conditions d'un développement global, répondent en écho aux aspirations des habitants de l'Oriental dont l'irréductible attachement à la Monarchie ne s'est jamais démenti.
On mesure à quel point l'initiative Royale, inspirée d'une grande vision humaniste, a toujours constitué le vecteur d'une espérance collective et mobilise avec une continuité remarquable les énergies et les talents. Elle s'identifie à une pédagogie de l'espoir qui a la caractéristique d'associer les acteurs de la société civile, l'Etat, les institutions comme le Fonds Hassan II et la Fondation Mohammed V pour la solidarité, constamment aux avant-postes, chacune à sa manière, le secteur privé.
Elle incarne enfin une ambition nationale dont le trait dominant est de nous faire redresser, de nous inspirer et de nourrir la nation des innovations majeures qui marquent le nouveau siècle. L'enjeu est d'autant plus significatif qu'aux yeux de S.M. le Roi Mohammed VI, il n'est de développement que global, intégré, harmonieux et équitable. Qu'ensuite, il n'est pas d'antinomie ou de distorsion entre le centre et la périphérie, la ville et la campagne, les agglomérations urbaines et les populations rurales.
Conscient, en effet, d'un tel impératif, qui s'apparente à vrai dire à une vertueuse dialectique, le Souverain prend à bras-le-corps le destin, se fraie le chemin du défi, érige ainsi la proximité au niveau d'une politique d'Etat – ce qui au passage nous déshabitue des discussions feutrées -, part à la conquête du terrain, s'enquiert avec assiduité des problématiques, parcourt le terrain en friche des projets, enfin donne aussitôt la réplique. Volonté d'homme et de Roi qui, aussitôt arrivé lundi à Oujda, s'est lancé au pas de course sur le terrain et les sites de travail. Les décisions d'en haut, institutionnelles dirions-nous, raccourcissent à notre bonheur le parcours et échappent au maquis bureaucratique.
Comment ne pas se rendre à cette évidence que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a réinventé la politique dans sa noblesse, affermi le rapport consubstantiel entre le Trône et le peuple, rendu justice à des populations recluses dans une inadmissible ignorance, redonné confiance aux millions de jeunes qui, c'est le moins que l'on puisse dire, s'identifient en lui avec enthousiasme et un volontarisme à toute épreuve.
La province d'Oujda, enclavée pendant longtemps entre l'Algérie et l'étendue aride de Guercif, nous offre à présent, l'accueil enthousiaste réservé à S.M. le Roi en témoigne, la preuve de sa motivation et de son patriotisme. La restructuration urbanistique de la ville, mobilisant des moyens financiers considérables est corroborée également par une importante initiative , celle de mettre en œuvre l'assainissement liquide de la ville et des projets environnementaux qui mobilisent une enveloppe budgétaire de l'ordre de 511 millions de dirhams.
L'approvisionnement en eau, appuyée sur l'extension, le renforcement et le renouvellement du réseau ; la protection de la ville contre les inondations ; transport et épuration des eaux usées enfin, tous ces paramètres s'intègrent dans un schéma global et imbriqué du programme d'assainissement liquide de la ville d'Oujda. Ce ne sont pas seulement des moyens financiers significatifs qui ont été engagés pour leur réalisation, mais c'est aussi, surtout, la sollicitude Royale qui y préside. C'est enfin la volonté de restaurer l'équilibre écologique sur la base d'une pertinente relance urbaine de la ville, conformément aux impératifs de modernité et de cohésion mais aussi d'une croissance où le facteur de santé et d'hygiène devient le corollaire naturel.
Ce n'est pas pécher par un truisme que d'affirmer que le Souverain entend concilier ici croissance durable, disons développement et sauvegarde de l'environnement, de réguler entre deux impératifs qui, pour être à première vue antinomiques, n'en sont pas moins de nos jours les deux pôles d'une même exigence : la dignité sociale.
Près d'un demi-million de personnes apprécieront dans leur vie quotidienne l'impact de telles initiatives qui s'apparentent à des réformes profondes, urbanistiques, environnementales, architecturales, spatio-temporelles et, participant de la même dynamique, esthétiques. C'est dire que, sollicitude Royale exige, la conurbation d'Oujda connaîtra désormais une transfiguration digne de son histoire et de son patrimoine, qui épouse son temps et rattrapera le retard causé par une marginalisation dans laquelle elle a été confinée, laissant la voie libre aux ressentiments exacerbés et au désespoir.
La visite que S.M. le Roi Mohammed VI a effectuée en mars 2003 avait provoqué un effet d'entraînement évident au niveau de la restauration de la confiance entre l'Etat et les populations. Le discours Royal avait constitué un véritable appel d'air, un vaste programme d'orientation qui a nourri les espoirs collectifs et les projets portés par une dynamique dont S.M. le Roi incarne à la fois la force, le rempart inexpugnable et l'inspirateur.
