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Cette causerie a été animée par Cheikh Mohamed Sayyed Tantaoui, grand imam et recteur de la mosquée Al-Azhar Acharif en Egypte sur le thème «La bonne conduite du Prophète Sidna Mohammed».
Le conférencier s'est inspiré du Hadith Acharif suivant : «La bonne conduite et le savoir que Dieu m'a donné pour mission de répandre sont comparables à une pluie abondante qui arrose le sol. Là où il se trouve un terrain fertile l'eau est absorbée et les plantes, herbes et arbustes y poussent en grand nombre.
Ailleurs, il est des endroits peu perméables qui retiennent les eaux. Dieu les fait servir aux hommes à boire, à abreuver les animaux et à cultiver. Enfin, il existe une autre catégorie d'endroits où l'eau tombe, ce sont des terrains plats qui ne retiennent pas les eaux et où il ne pousse aucune herbe.
De même, il y a ceux qui se sont instruits dans la religion de Dieu et à qui profitent les choses pour lesquelles Dieu m'a envoyé, ils se sont instruits et ont enseigné, et ceux qui ne daignent pas lever la tête et qui n'acceptent point le droit chemin que Dieu m'a envoyé leur montrer.» (D'après El-Boukhari).
Le conférencier a indiqué que dans ce Hadith, le Prophète Sidna Mohammed a classé les Hommes en trois catégories. La première catégorie d'Hommes se sont investis totalement dans la quête du savoir et de la connaissance et ont excellé -avec modestie- dans la compréhension de leur religion et de leurs affaires temporelles, et ne se sont jamais dérobés à leur mission de diffuser le savoir que Dieu a bien voulu répandre parmi Ses créatures.
La deuxième catégorie regroupe des personnes qui se contentent du minimum du savoir, a ajouté le conférencier qui a assimilé cette catégorie à une terre qui retient de l'eau dans ses couches mais qui n'en bénéficie pas. Ces gens sont à comparer à ceux qui ordonnent le bien et oublient leurs propres personnes, a-t-il indiqué.
Quant au troisième groupe, il concerne des personnes qui ont tout perdu d'ici-bas et dans l'au-delà. Le Prophète les a comparés à des terrains plats qui ne retiennent pas les eaux et où il ne pousse aucune herbe, a poursuivi cheikh Tantaoui, ajoutant que ces personnes se refusent à suivre la bonne voie tracée par les Prophètes, ignorent les recommandations de l'Islam et se permettent, en tant qu'hommes de religion, de proférer des assertions dénuées de tout fondement sur l'Islam et le Prophète Sidna Mohammed (QPSSL) tels les propos selon lesquels la religion islamique se serait répandue, de par le monde, par la force du glaive et que le Messager de Dieu n'aurait apporté que du mauvais et de l'inhumain, a indiqué M. Tantatoui.
Celui qui a rapporté ces propos ne devrait point les citer mais plutôt les commenter dans le sens d'un rejet pur et simple.
Cette attitude va donc à l'encontre de l'éthique dictée par la sainte religion et de la bonne conduite, car toute personne raisonnable sait pertinemment que l'Islam s'est propagé par la seule persuasion, a affirmé M.Tantaoui.
Et le conférencier de souligner que le savoir utile, telle l'ondée qui transforme la terre la plus inhospitalière en une terre verdoyante, soustrait les esprits du sous-développement vers le progrès et de la faiblesse vers la force, ce qui cadre parfaitement avec les enseignements du prophète à savoir sortir l'humanité des ténèbres de l'associationnisme à la lumière de l'unicité de Dieu.
Au terme de cette causerie religieuse, S.M. le Roi a été salué par plusieurs participants aux causeries religieuses.
Il s'agit de MM. Mustapha Ouzjane, ancien prédicateur d'Istanbul, directeur général du groupe Kaynak, Nouzad Sawach, chef de service arabe au Centre des études académiques de la même ville et rédacteur en chef du magasine "Hiraâ", Jamal Tourk, directeur du Centre d'études académiques à Istanbul, Ibrahim Taher Moussa, membre de l'académie du Fiqh relevant du Conseil islamique nigérian et Mohammed Harchi, membre du comité de l'Ifta'a" au sein de la province Saktou (Nigeria).
Le Souverain a été également salué par MM. Billou Cheikh Moujtabi, membre du conseil de l'Ifta'a et du Conseil islamique du Nigeria, Ahmed Cheikh Taher Osman , l'un des ouléma du Nigeria, le juge Moussa Mohammed Soung, membre du comité de l'Ifta'a" et du Conseil islamique du Nigeria, Haj Mounir Jaafar, un des ouléma du Nigeria, Mohammed Taher Rizki, enseignant des sciences religieuses à l'Université "Azaitouna" de Tunis, Abdellatif Lambsibik, secrétaire général adjoint du Rassemblement des élus du Conseil français de la religion islamique, secrétaire général du Rassemblement des musulmans de la région de Midi-Pyrénées, Abderrahim Berkaoui, président du Rassemblement des élus du Conseil français de la religion islamique, président du Rassemblement des musulmans de la région Languedoc-Roussillon et Daoud Kasouit, président du comité maroco-américain d'échange pédagogique et culturel de Rabat.
Par la suite, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, a remis à S.M. le Roi les causeries religieuses au titre de l'année 1426 de l'Hégire en langue arabe et leurs traductions en langues française, anglaise, espagnole et russe, ainsi que leur enregistrement sur CD et cassettes-audio.
Le conférencier s'est inspiré du Hadith Acharif suivant : «La bonne conduite et le savoir que Dieu m'a donné pour mission de répandre sont comparables à une pluie abondante qui arrose le sol. Là où il se trouve un terrain fertile l'eau est absorbée et les plantes, herbes et arbustes y poussent en grand nombre.
Ailleurs, il est des endroits peu perméables qui retiennent les eaux. Dieu les fait servir aux hommes à boire, à abreuver les animaux et à cultiver. Enfin, il existe une autre catégorie d'endroits où l'eau tombe, ce sont des terrains plats qui ne retiennent pas les eaux et où il ne pousse aucune herbe.
De même, il y a ceux qui se sont instruits dans la religion de Dieu et à qui profitent les choses pour lesquelles Dieu m'a envoyé, ils se sont instruits et ont enseigné, et ceux qui ne daignent pas lever la tête et qui n'acceptent point le droit chemin que Dieu m'a envoyé leur montrer.» (D'après El-Boukhari).
Le conférencier a indiqué que dans ce Hadith, le Prophète Sidna Mohammed a classé les Hommes en trois catégories. La première catégorie d'Hommes se sont investis totalement dans la quête du savoir et de la connaissance et ont excellé -avec modestie- dans la compréhension de leur religion et de leurs affaires temporelles, et ne se sont jamais dérobés à leur mission de diffuser le savoir que Dieu a bien voulu répandre parmi Ses créatures.
La deuxième catégorie regroupe des personnes qui se contentent du minimum du savoir, a ajouté le conférencier qui a assimilé cette catégorie à une terre qui retient de l'eau dans ses couches mais qui n'en bénéficie pas. Ces gens sont à comparer à ceux qui ordonnent le bien et oublient leurs propres personnes, a-t-il indiqué.
Quant au troisième groupe, il concerne des personnes qui ont tout perdu d'ici-bas et dans l'au-delà. Le Prophète les a comparés à des terrains plats qui ne retiennent pas les eaux et où il ne pousse aucune herbe, a poursuivi cheikh Tantaoui, ajoutant que ces personnes se refusent à suivre la bonne voie tracée par les Prophètes, ignorent les recommandations de l'Islam et se permettent, en tant qu'hommes de religion, de proférer des assertions dénuées de tout fondement sur l'Islam et le Prophète Sidna Mohammed (QPSSL) tels les propos selon lesquels la religion islamique se serait répandue, de par le monde, par la force du glaive et que le Messager de Dieu n'aurait apporté que du mauvais et de l'inhumain, a indiqué M. Tantatoui.
Celui qui a rapporté ces propos ne devrait point les citer mais plutôt les commenter dans le sens d'un rejet pur et simple.
Cette attitude va donc à l'encontre de l'éthique dictée par la sainte religion et de la bonne conduite, car toute personne raisonnable sait pertinemment que l'Islam s'est propagé par la seule persuasion, a affirmé M.Tantaoui.
Et le conférencier de souligner que le savoir utile, telle l'ondée qui transforme la terre la plus inhospitalière en une terre verdoyante, soustrait les esprits du sous-développement vers le progrès et de la faiblesse vers la force, ce qui cadre parfaitement avec les enseignements du prophète à savoir sortir l'humanité des ténèbres de l'associationnisme à la lumière de l'unicité de Dieu.
Au terme de cette causerie religieuse, S.M. le Roi a été salué par plusieurs participants aux causeries religieuses.
Il s'agit de MM. Mustapha Ouzjane, ancien prédicateur d'Istanbul, directeur général du groupe Kaynak, Nouzad Sawach, chef de service arabe au Centre des études académiques de la même ville et rédacteur en chef du magasine "Hiraâ", Jamal Tourk, directeur du Centre d'études académiques à Istanbul, Ibrahim Taher Moussa, membre de l'académie du Fiqh relevant du Conseil islamique nigérian et Mohammed Harchi, membre du comité de l'Ifta'a" au sein de la province Saktou (Nigeria).
Le Souverain a été également salué par MM. Billou Cheikh Moujtabi, membre du conseil de l'Ifta'a et du Conseil islamique du Nigeria, Ahmed Cheikh Taher Osman , l'un des ouléma du Nigeria, le juge Moussa Mohammed Soung, membre du comité de l'Ifta'a" et du Conseil islamique du Nigeria, Haj Mounir Jaafar, un des ouléma du Nigeria, Mohammed Taher Rizki, enseignant des sciences religieuses à l'Université "Azaitouna" de Tunis, Abdellatif Lambsibik, secrétaire général adjoint du Rassemblement des élus du Conseil français de la religion islamique, secrétaire général du Rassemblement des musulmans de la région de Midi-Pyrénées, Abderrahim Berkaoui, président du Rassemblement des élus du Conseil français de la religion islamique, président du Rassemblement des musulmans de la région Languedoc-Roussillon et Daoud Kasouit, président du comité maroco-américain d'échange pédagogique et culturel de Rabat.
Par la suite, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, a remis à S.M. le Roi les causeries religieuses au titre de l'année 1426 de l'Hégire en langue arabe et leurs traductions en langues française, anglaise, espagnole et russe, ainsi que leur enregistrement sur CD et cassettes-audio.
